Ces femmes que j’ai aimées en voyage, et que j’aime !
38Le voyage, ce sont des rencontres. Le voyage, ce sont des moments intenses : cela rapproche. Le voyage est un accélérateur…de passions, entre autres !
- 1. Amour et voyage
- 2. La femme indépendante
- 3. La femme qui a besoin de quelqu’un
- 4. La femme « fermée »
- 5. La femme avec de l’expérience
- 6. La femme, « tiens, prends-toi un coup de foudre ! »
- 7. La femme à la recherche de l’amant local
- 8. La femme « première fois »
- 9. La femme du pays
- 10. La femme « normale » quoi
Amour et voyage
Je ne vais pas le cacher, j’ai toujours été attiré par les femmes qui aiment voyager. Ce qui est tout à fait normal, vu que le voyage est ma grande passion depuis plus de 15 ans. Forcément, le fait que l’autre partage votre grande passion est un élément important (mais non déterminant) dans une relation.
En fait, même avant de commencer à voyager, j’ai été, si je puis dire, attiré par l’étranger en amour. Ceci est assez commun, nous sommes souvent attiré par l’exotisme chez l’autre.
Ainsi, ma première histoire d’amour fut une étudiante allemande en France, Tanja.
Ce fut ensuite une histoire roumaine, avec Gabriela, une autre étudiante venue de Transylvanie. Vous savez maintenant le pourquoi de ma relation spéciale avec la Roumanie dont j’ai plusieurs fois parlé par le passé sur ce blog de voyage.
Pour tout vous dire, la majorité de mes histoires fortes l’on été avec des non françaises.
Depuis que je voyage, je me suis rendu compte qu’il existait plusieurs sortes de femmes sur la route. Alors, je suis d’accord, il est toujours difficile et hasardeux de catégoriser les gens, choses que je n’aime pas trop faire.
Pour autant, pour cet article, je me suis essayé à l’exercice au risque peut-être de sombrer dans le cliché et de faire des raccourcis. Si c’est le cas pour vous, je vous pris d’avance de me pardonner. Mais « catégoriser » permet disons un effet de style qui m’a permis de présenter un article plus digeste.
J’ai voulu dégager plusieurs catégories de femmes en voyage au regard de mon expérience. Cela n’engage que moi.
Je me souviens en particulier de certaines d’entre elles. Je les ai parfois aimé.
Elles ont fait parties du voyage. Et je les garde en moi comme autant de beaux souvenirs rangés à jamais sur les étages de ma mémoire de voyageur.
La femme indépendante
Elle semble avoir besoin de se prouver quelque chose. Au moins à elle-même.
Aussi, elle est partie seule et compte bien le rester la plupart du temps.
Ce n’est pas elle qui va changer ses plans au moindre prétexte, elle a une idée en tête. Elle veut vivre son expérience à fond selon ses plans.
Revers de la médaille, elle a parfois un sale caractère.
Ainsi, il arrive que la gente masculine la taxe de « chieuse »
En tout cas, elle dégage souvent une impression de femme forte et sûre d’elle.
C’est souvent une apparence fausse.
En effet, une certaine fragilité et sensibilité se dégagent de cette coquille.
Il arrive qu’elle laisse entrevoir parfois cette autre facette, plus «féminine » diront certains, tout du moins est-ce une facette plus touchante.
Quand j’y pense, il y a toujours cette chanson de Cookie Dingler, « femme liberée » qui me revient…
Voilà un cocktail que je trouve très attirant et qui m’a souvent fait craquer par le passé.
C’est aussi le genre de femme sur lequel on peut se casser les dents ou y laisser des plumes.
J’en ai fait les frais. Je me souviens de Mamourine avec qui je n’ai pas pu partir.
La femme qui a besoin de quelqu’un
Elle s’est jetée sur les routes du monde pour un long voyage.
En discutant avec elle, on se dit que la frontière entre voyage et fuite est ici vraiment mince.
Mal dans sa vie, elle a pris son sac comme certains prennent un antidépresseur.
Le premier est préférable sans nul doute.
Elle a quitté son boulot et son copain. Une rupture complète dans sa vie qui nécessitait sans doute aussi une rupture géographique.
Malheureusement, le voyageur emporte toujours ses problèmes dans son sac.
Bien sûr, elle était attirée par ce type de voyage.
Quoique son intérêt soit récent en fait.
Mais voilà, après le premier mois de voyage, elle est déjà avec un routard rencontré dans un hôtel. Elle le suit plus qu’elle ne suit son voyage.
Elle est déjà prête à changer ses plans pour un homme qui, peut-être s’en fout ou du moins, n’est pas sur la même longueur d’onde.
On quitte ces femmes croisées sur la route en se demandant quelle sera la suite pour elles.
Je me souviens en particulier de Céline en Equateur.
La femme « fermée »
Les causes de son voyage peuvent être les mêmes que la femme qui a besoin de quelqu’un.
Pour autant, la réaction est différente.
Autant la première est ouverte, autant la seconde est fermée aux autres.
Elle préfère se replier sur elle-même et vivre son voyage personnellement.
En quête de quelque chose, elle ne souhaite souvent pas être dérangée.
En général, je me souviens plus de leur prénom. L’échange n’a pas dépassé le « oui, ca va. ».
Je me souviens d’une fois où un « je peux rester seul ? » a suivi.
La femme avec de l’expérience
Souvent plus âgée que la moyenne des autres voyageuses, elle n’en est pas à son premier voyage.
Elle est célibataire. Ou du moins célibataire géographique.
Elle est parfois une sorte de femme couguar spécialisée « voyageurs ».
On sait que la relation sera courte.
Mais là, pas de soucis, on l’accepte avec beaucoup de plaisir.
Je me souviens de Carmen sur une île.
La femme, « tiens, prends-toi un coup de foudre ! »
Les coups de foudre, c’est rare. Non ?
Pourtant, cela arrive. Et les chances de se prendre la foudre sont plus grandes en voyage.
Vous faites ce que vous aimez, les gens sont détendus, en vacances.
Vous vivez des trucs forts et vous êtes ailleurs, dans un autre environnement.
Bref, voilà de bonnes dispositions pour attirer la foudre.
Au moment de se quitter, il peut même arriver que l’on verse des larmes au décollage d’un avion, assis à côté d’un général de l’armée qui doit vous prendre pour une lavette.
Le seul problème, c’est le retour de voyage.
Retour dans la réalité. La magie n’opère plus. Enfin, parfois.
Qu’en reste-t-il ? Une amitié dans le meilleur des cas. Et un sacré souvenir que l’on conserve à jamais.
Ce fut fort, mais court, un peu comme une averse tropicale.
Là, je me souviens de Sophie en Birmanie.
La femme à la recherche de l’amant local
Parfois, elle est dans l’optique de chercher absolument une expérience sexuelle avec un local. Cela peut être le fantasme berbère ou Touareg. Ou encore le fantasme de l’étalon noire. L’homme asiatique est peu cité.
Son voyage est voué à cela. Bien sûr, elle ne vous dira jamais cela afin de préserver les apparences.
Aussi, pourquoi perdre son temps avec d’autres voyageurs, à plus forte raison de la même nationalité ?
Bon, cela dit, sur un malentendu ou pour une exception…
La femme « première fois »
En voyage.
Elle vient de découvrir le voyage avec passion. Souvent plutôt jeune, elle déborde d’enthousiasme, d’énergie et de fraicheur.
Elle veut découvrir le monde, voir le conquérir !
Cela fait plaisir à voir ! C’est même parfois attirant, voir carrément très attirant.
Je me souviens notamment de Rachel au Népal.
La femme du pays
Elle vit dans ce pays que vous découvrez. Vous ne faites que passer, elle y est née.
Vous la rencontrez dans une soirée, en faisant du couchsurfing, dans un bus ou simplement en demandant votre chemin.
Vous succombez à la tentation, ou non. Si vous hésitez, vous pensez à la citation d’Oscar Wilde, cela aide.
Et la suite? Vous la snobez, vous vivez l’instant présent à fond. Et vous avez raison !
Le sujet est ici plus complexe et polémique, car oui, vous êtes souvent attirant pour ces femmes car vous êtes synonyme d’argent et/ou de visa potentiel pour sortir du pays. Dans certains cas, c’est vous qui êtes exotique.
Je sais que pour certains, avoir une relation avec une femme locale en voyage fait parti intégrante de l’expérience du voyage. Il est vrai qu’il y a des arguments qui vont dans ce sens !
Cela me fait penser à une célèbre citation de voyage qui dit un truc du genre « Pour bien aimer un pays il faut le manger, le boire et l’entendre chanter ». Il aurait pu rajouter quelque chose.
Enfin, cela pourrait faire l’objet d’un article…
Je me souviens de Tana en Afrique.
La femme « normale » quoi
Une grosse envie de voyage, voilà, elle est partie, seule ou avec une amie.
Ni trop indépendante, ni trop dépendante, elle voyage seule ou pas au gré des rencontres.
Le voyage n’est pas ici une fuite ou un prétexte. Elle se fait plaisir en réalisant un souhait, ni plus, ni moins.
Elle suit ses envies.
Facile à vivre, elle assume sa féminité.
Tout semble plus simple avec elle. Cela l’est en effet !
C’est Laura.
Voilà pour cet article, sans doute l’un des plus perso du blog.
Que vous apparteniez à l’une ou l’autre de ces catégories, de toute manière, je vous aime ! 🙂
Bien sûr, j’ai conscience que cela fait assez cliché, les choses sont plus complexes. Cela dit, vous aurez compris l’exercice de style.
J’imagine mesdemoiselles que pour les hommes, vous pourriez écrire quelque chose d’assez proche non?
Et vous, avez-vous connu de belles histoires en voyage ?
Mesdames, mesdemoiselles, auriez-vous fait un classement proche de celui-ci pour les hommes?
Tiens, je me demande si je suis la première ou la dernière catégorie… ahem !
Je n’ai pas fait de catégorie pour les hommes… Il va falloir que j’y pense…
Sinon, oui j’ai connu deux jolies histoires en voyage. Tout est toujours plus fort, plus rapide, plus passionné ! Et c’est ça qui est chouette. C’est souvent impossible dans le fond… Mais on se dit toujours : et pourquoi pas ? 😉
« C’est souvent impossible dans le fond »
Pourquoi? C’était avec un local? La distance, la différence culturelle?
Tout dépend des relations… Disons que la première aurait pu être possible puisque c’était un français mais lui finissait son voyage et moi je commençais le mien. Donc la distance a fait que…
Le second.. un américain. Chacun allant dans des directions opposées.
En fait, cela aurait pu être possible. Mais les circonstances font que cela rend la relation quasi impossible 😉
Pas mal de portraits pourraient s’appliquer aussi aux hommes en fait, à quelques nuances près non ?
Le domaine où les choses sont par contre souvent très différentes, c’est sans doute concernant les relations avec « la femme du pays ». Dans de nombreux pays, cette relation pour la femme sera considérée comme dégradante pour son honneur, alors qu’un homme du pays roulera sans problème les mécaniques avec une touriste de passage.
Mais il est vrai qu’en voyage, on est plus ouvert aux rencontres. On n’est plus dans notre train-train quotidien à ne plus prendre le temps de regarder les autres. En voyage, on se présente un peu sous son meilleur jour, si tant est que l’autre aime les voyages, mais c’est normalement le cas.
Oui, je pense qu’on retrouverait la plupart de ces profils.
Pour les relations avec la population locale, c’est un peu différent en effet.
La perception n’est pas la même, en tout cas, les femmes qui s’affichent le font sans doute d’une façon plus discrete.
Tu as déjà connu ce type de relation pendant tes voyages? Je veux dire avec une étrangère ?
Une fois oui. Ce fut assez mystérieux, car j’avoue ne pas avoir compris vraiment ce qu’elle recherchait. Elle était très jeune (23/24 ans) alors que j’approchais la quarantaine et je suis on va dire suffisamment réaliste quant à mon « attractivité » pour ne pas considérer normal qu’une jolie jeune fille me tombe dans les bras. Elle n’y cherchait pas un gain « économique », car n’a jamais demandé quoi que ce soit. J’ai même cru au départ à une arnaque, mais non. Bref, quelques jours fort agréables, mais assez mystérieux.
Tu sais, il n’y a pas que le gain économique.
Parfois, l’exotisme joue. Ou autre chose.
Que cela reste mystérieux doit rajouter au charme de ce moment…
« J’aime L. »
C’est beau…
Eh Ho !
Hola,
Je voudrai parlé de la première expérience, celle qui donne le virus du voyage car qui n’a pas connu le premier sentiment d’attirance vers l’étrangère. Mon premier premier voyage fut en Allemagne avec le sac et le dictionnaire allemand. J’avais connu ces petites allemandes lors d’un voyage dans le cadre d’un échange sportif avec mon club de foot. Nous faisions ce voyage tous les ans à l’ascension. Quatre jours dans les familles et la fête; à sortir, boire beaucoup de bière et être la cible des groupies allemandes. Un goût de reviens-y.
J’ai voulu éprouvé ce sentiment seul, et redécouvrir ces jeunes femmes plus émancipées que mes petites françaises. Et puis c’était surtout dépassé mes limites, et cela m’a appris a compter sur moi et gérer les soucis d’un voyage à l’étranger avec un budget, dormir et manger.
Lors de mon premier divorce, j’ai décidé sur un coup de tête de partir à la Martinique et à la Guadeloupe et j’ai réussi à vendre un projet d’extension professionnelle sur les DOM qui a payé après en plus. J’ai retrouvé une copine qui était partie pour vivre là bas et j’y aurai bien installé ma base aussi, mais la vie et les circonstances ont évolués autrement. ce fut torride mais irréaliste car elle me cachait sa vie là bas.
J’ai aussi fait un autre type de voyage qui conjuguait l’amour de ma femme et partagé un beau souvenir avec mes 2 filles. Un revenu imprévu nous est arrivé pour faire un rêve et j’ai choisi celui là de partir avec ma famille à Punta Cana. La première belle image forte est celle du lever de soleil, et ma fille Gwenaëlle, s’étant levée de bonne heure, qui découvre la chaleur et le sable doux dans la main. Puis allez réveiller la maman pour lui montrer la plage, la mer et le ciel merveilleux avec tout ce qui va avec.
Chaque voyage est empreint de merveilleux souvenirs, mais il est bon de vouloir partager avec une amie, une amoureuse de passage ou plus romantique. Pour moi, ma première découverte fut de voir un coucher de soleil splendide du coté du Garbet , à la Martinique au bar des pécheurs, avec le pti punch. Cela m’a ouvert à comprendre que le plus paysage du monde est encore meilleure à partager, sinon c’est comme être sur un tas d’or et être seul à le partager.
Bon article, mais pas assez de tripes à mon avis. Tu sait faire mieux, car c’est un peu fade. Le fait de garder l’anonymat de tes rencontres, te fait aussi obturer tes sentiments. La passion du voyage n’occulte pas la passion et la découverte des sentiments, fussent-il éphémères. Enfin c’est mon avis car beaucoup de récits de voyages font ressortir les sentiments éprouvés lors de ces découvertes.
« Le fait de garder l’anonymat de tes rencontres, » Je vais quand même pas mettre leur nom de famille et leur adresse 🙂
Ce n’est pas Closer ici, et c’est tant mieux.
Tu as occulté la fin de ma phrase, car je trouve normal que tu occultes le nom et la description de tes rencontres. Je ne demande pas de détail croustillant comme certains de tes lecteurs et je respecte trop la femme pour la traiter de cette manière.
J’ai trouvé que tu ne montrais pas assez le coté romantique de ton personnage, ou plutôt la difficulté de faire un choix. Car c’est certainement ce doute ou l’on se trouve confronté à un moment. On se pose la question « Et si il avait un possible dans ce pays avec cette femme ? » Je ne crois pas que tu voyages comme certains pour accumuler les conquêtes dans chaque pays. Mais la beauté d’une rencontre fut-elle éphémère a son charme, mais certaines sont plus profondes que d’autres.
Je ne fais pas du voyeurisme, mais c’est le coté introspectif du voyage et de la rencontre qui m’intéresse. Et le nombre ne fait pas la qualité de la rencontre.
Bonne journée et ne me prête plus d’idées sordides car j’aurai censuré certains commentaires que je trouve déplacés.
« Et si il avait un possible dans ce pays avec cette femme ? »
En fait, l’essentiel des rencontres que j’ai fait en voyage fut avec des voyageuses.
Aussi, je ne me suis pas posé souvent la question, car bon, c’est compliqué: autre nationalité, la distance, d’autres désirs et projets pour l’après voyage…
Le voyage, ce sont des destins qui se croisent, des personnes différentes que la vie n’aurait jamais fait se rencontrer.
C’est un aspect que je trouve assez fascinant.
Yo,
je reconnais bien là celles que j’ai pu rencontrer lors de mes voyages. L’exotisme est toujours attirant,des deux côtés d’ailleurs.Quand tu arrives quelque part ne représentes tu pas une part d’un rêve d’évasion de quelqu’un? Alors oui dans certains pays tu représentes le monde occidental et ses richesses mais pas toujours. Tu es aussi celui qui est venu, l’étranger qui a fait fi de sa réserve naturelle et qui est venu voir son pays,sa culture et quelque part Elle….Et n’est pas une certaine quête de l’Autre que ces amours de voyage…
Très bel article, j’ai pris un grand plaisir à le lire.
J’ai toujours voyagé avec ma femme donc je ne connais pas ces situations mais j’ai pu observer certaines choses qui y ressemblaient 🙂
Mohamed
Merci Mohamed !
Rien à voir, mais tu habites dans quel coin de France, je m’en souviens jamais ?
Suis en France pour l’été.
@Fabrice : je suis en Moselle, envoie moi un email et on peut s’arranger quelque chose 🙂
Mohamed
Quel tombeur dis donc j’aurais du mal à créer autant de catégories… il faut dire que ça fait 10 ans que je bouge avec celui qui est devenu mon mari…
Le plus polémique pour moi c’est quand même c’est celui sur la femme du pays, surtout dans certains pays où certaines femmes feraient tout pour s’en échapper (et à juste raison). C’est sur qu’une petite aventure ça aide à découvrir le pays mais je ne suis pas sure que ce soient des relations la plus part du temps qui soient sur un pied d’égalité… Sans doute mon petit côté féministe qui ressort après avoir vécu 10 ans en Asie …
Bel article Fabrice !
Je me suis fait la même remarque qu’un autre lecteur, a savoir, pourquoi avoir mis l’initiale du prénom plutôt que le prénom en entier, ou alors mettre un faux prénom. Je trouve que cela casse la lecture dans le sens ou tu traites de sentiments, et paf tu tombes sur « C », « L » et autres.
Pour le reste, et pour avoir toujours été moi aussi attire par les étrangères, j’ai été surpris par l’ouverture et la décontraction des femmes a l’étranger (mis a part peut-être les asiatiques). Elles assument leurs envies autant que les hommes et le disent, au lieu d’attendre que les hommes fassent le premier pas, saisissent les gestes subliminaux !
Lors de mon voyage aux USA, j’ ai connu exactement 2 femmes du type « qui a besoin de quelqu’un ». Elles avaient tout quitte pour un moment (6 mois a 1 an), avaient une longue histoire de couple derrière elles (5 ans chacune), n’étaient pas encore séparées mais savaient que c’était inéluctable.
De quoi apprécier d’autant plus ton article 🙂
Salut Sylvain !
Oui, tu as peut-être raison pour les prénoms, je vais les remettre.
Justement, les femmes aux USA sont donc assez libérées et « actives »? Elles prennent les devants j’imagine?
Trait commun aux femmes anglo-saxonnes en général.
Je suis à Lyon le 12 si tu veux te prendre un verre ! Ou en Ardèche le week-end du 8 juin.
Je te suis depuis environ un an et j’aime lire tes articles, dont ce dernier. Par contre, je n’aime pas que les histoires d’amour sont reléguées à des histoires de cul ( n’est ce pas. Nikanti ?) Les deux sont belles et je ne pense pas que tu les confondes. Je suis d’accord sur les prénoms. Les initiales cassent le rythme de la lecture. Invente un prénom pour conserver l’anonymat. Et vive les voyages !
Ah làlààà… en fait, cet article est plutôt le fait d’un grand romantique, ou je me trompe ? 😉
Du coup, ça me fait me demander quelle genre de voyageuse je serais?
Je me demande aussi 🙂
Bonjour Fabrice,
Je ne sais que penser. Je trouve ton article choquant et déprimant, plein de clichés atterrants sur les femmes. On sent qu’avant tout pour toi une femme n’est pas un être humain à la personnalité complexe, mais une petite créature à classer dans une case ou une autre, en fonction de quoi tu sais tout d’elle. J’ai l’impression de lire l’horoscope dans un magazine people. « Les poissons sont comme ça, les sagittaires comme ci. » C’est dingue. Si tu avais fait un article d’humour pourquoi pas, mais là on sent que tu es sérieux. Ravie au passage de savoir qu’il existe une catégorie de femmes »normales », quelle ouverture d’esprit pour un grand voyageur.
Quelle déception pour moi qui aimais te suivre.
Bonjour Anne,
Je suis désolé que tu réagisses comme cela, c’est assez étonnant.
Peut-être, tu as dû rater ce passage :
« je me suis essayé à l’exercice au risque peut-être de sombrer dans le cliché et de faire des raccourcis. Si c’est le cas pour vous, je vous pris d’avance de me pardonner. »
Je suis bien conscient que les êtres humains sont bien plus complexes, femmes ou hommes:-)
Il ne s’agit que d’un article, un exercice de style où j’étais bien obligé de presenter les choses comme cela.
De plus, oui, certaines personnes ont des traits communs, voyageurs ou pas. Ce n’est pas de l’astrologie, mais de la sociologie.
Tu prends les choses trop au sérieux Anne, relax:-)
J’ai bien lu d’un bout à l’autre, ne t’en fais pas. Si tu te rends compte toi-même des gros travers de ton article, alors pourquoi le publier, justement ? « Un exercice de style » n’excuse pas tout. Si tu dois t’excuser par avance de tes propos, il est plus judicieux de ne pas publier, à mon sens. Tu es très lu, donc je le prends d’autant plus sérieusement. Quel mal à cela ?
Et la sociologie n’est pas un assemblage de clichés, ne confondons pas tout 🙂
Si mon commentaire ne fait pas écho chez toi, j’espère qu’il le fera chez certains de tes lecteurs.
Tout d’abord Anne, il y a des sujets un peu sensibles ou polémiques qui ne vont pas plaire à tout le monde.
Tu le sais, je le sais. Aussi, est-ce pour cette raison que tu ne vas pas en parler ? J’espère que non !
Comme tu le sais peut-être, je ne suis pas un adepte de la langue de bois.
Cela ne m’a pas empêcher de publier cet article ou d’autre sur d’autres sujets, même si je sais qu’il y a une petite partie
qui ne vas pas être d’accord. Tiens, regardes celui sur la vie d’expatrié, le sexe ou l’alcool, ou celui sur les dictatures.
Si les gens le prennent mal, c’est leur problème. Je ne blogue pas pour être dans le conformisme.
Pour terminer, tant mieux si tout le monde n’est pas d’accord sur cet article ou d’autres. On ne peut pas être d’accord sur tout.
D’autres part, je dis moi même dans l’article que c’est cliché, donc sur ce point, je suis d’accord avec toi, pas de soucis 🙂
Cela dit, ces clichés reposent sur une réalité, qu’on le veuille ou non, puisque c’est ce que j’ai observé, je l’ai pas inventé.
Exemple, les colombiens sont super optimistes. C’est un cliché n’est-ce pas? Je ne dois pas le dire? Et pourtant, c’est la vérité sur ce que j’ai observé, du moins pour la majorité. D’ailleurs, étrangement, quand quelque chose est positif, on parle moins de cliché…
Sur ce sujet, j’aurais pu faire la même chose sur les hommes ou sur les raisons qui poussent les gens à voyager. L’article aurait été un peu cliché ? Sans doute, mais il représenterait aussi une certaine réalité. J’ai pas la place pour développer et écrire une thèse sur le sujet.
J’apprécie ton blog, et personnellement, je ne m’arrêterais pas à un article. Je pense que tu as ce recul aussi.
Sans rancune Anne j’espère. C’est pas évident de débattre dans les commentaires, mais je suis sûr qu’on poursuivra la discussion si d’aventure nos chemins se croisent;-)
Bonjour Fabrice,
J’aimerais simplement réagir sur le début de ta réponse, parce que c’est là notre grosse différence de point de vue : « […] il y a des sujets un peu sensibles ou polémiques qui ne vont pas plaire à tout le monde. […] Aussi, est-ce pour cette raison que tu ne vas pas en parler ? J’espère que non ! »
Je suis d’accord, ce n’est pas une raison pour ne pas en parler. Mais c’est une raison pour écrire un article réfléchi, calibré, bien informé, qui sache transmettre les nuances de ton expérience, ton jugement, tes conclusions, sans aller vers des clichés qui, loin de faire de ce texte un extrait de ton parcours, te font tomber dans des généralités bien conformistes – ce que tu souhaites justement éviter, puisque tu me dis « Je ne blogue pas pour être dans le conformisme. »
Autre remarque : « c’est la vérité sur ce que j’ai observé, du moins pour la majorité » – ce sont bien tes observations (limitées donc à une seule personne : toi, difficile d’en tirer de grandes conclusions sur toute une population !) et surtout, ce sont tes interprétations, donc ce que tu en retiens, avec des filtres qui te sont propres et ne sont pas du tout « la vérité ». Ta vision de ces rencontres est totalement subjective, un observateur extérieur aurait un autre regard.
Je m’arrête là car en effet c’est fastidieux par commentaire, et relativement stérile, de débattre.
Bonjour
Ca fait un bout de temps que je te « suis » mais n’avais jamais eu l’occasion de réagir
Tu as prété attention à celles que tu rencontrais et ta manière de les traduire est plutôt judicieuse.
Un peu réducteur mais le but de ton blog n’est pas non plus de la psychanalyse
Bref j’ai aimé 😉
Comme convenu sur twitter, j’ai pris le temps de commenter ton billet et d’expliciter autrement qu’en 140 caractères pourquoi je l’ai qualifié de sexiste.
Mon commentaire étant déjà assez long (il pourrait faire l’objet d’un billet de blog à lui tout seul!), je ne me suis concentrée que sur quelques faits saillants, laissant de coté d’autres passages qui me gênaient mais dont certains n’étaient pas moins emplis de sexisme (casse-dédi aux « cougars »).
Pourquoi cet article m’a choquée – et pourquoi est-il sexiste?
Prenons les trois premières catégories (toutes les commenter serait trop long) : « la femme indépendante », « la femme qui a besoin de quelqu’un » et « la femme fermée » et analysons ce que tu en dis. Je paraphrase :
– « La femme indépendante » est déterminée, sure d’elle, mais parfois capricieuse… mais c’est souvent une apparence fausse car en vrai elle est fragile (avec le joli stéréotype de la « féminité » comme expression d’une touchante faiblesse )
– « La femme qui a besoin de quelqu’un » elle voyage pour fuir le malheur (souvent amoureux), le voyage est un antidépresseur. Mais en fait, femme faible (contrairement à l’indépendante) elle va se jeter dans les bras du premier venu et mettre de coté son voyage pour suivre l’homme qu’elle voit comme protecteur et qui n’a peut être rien à foutre d’elle. D’ailleurs, c’est un peu une « fausse voyageuse » car son intérêt pour le voyage est récent…
– « la femme fermée » est aussi indépendante que la femme indépendante sauf qu’elle est fermée aux autres. Ses raisons de voyager sont parfois les mêmes que celle « qui a besoin de quelqu’un ».
Deux choses me heurtent dans cette « catégorisation » – au delà du simple fait déjà peu glorieux que de mettre des gens dans des cases . Tu résumes l’expérience du voyage féminin (et des femmes) à leur rapport aux hommes qu’elles vont rencontrer dans ce même voyage. Quelle réduction!
Mais plus encore, tu les hiérarchises au rapport qu’elles ont pu avoir avec les routards masculins ( en l’occurrence, avec toi)! Car oui, ton vocabulaire laisse clairement entendre une estime diverses pour chacun de ces types que tu as définis. Entre les lignes, on lit ceci :
– « la femme indépendante » : elle est exotique car sûre d’elle -> oh, c’est sexy, une femme sûre d’elle. Mais c’est mieux si ça n’est qu’une façade qui cache une touchante fragilité. En tant qu’homme on est utile comme ça, car c’est une petite chose à protéger. Néanmoins, faut quand même s’en méfier, certaines font souffrir (les méchantes!) quand elles reprennent leur indépendance!
– « la femme qui a besoin de quelqu’un » : c’est beaucoup moins sexy, parce qu’elle n’est pas forte d’apparence… ça devient vite un boulet de malheurs à panser et d’inassurance à protéger de tout… Bref, une sangsue sans personnalité.
– « la femme fermée ». Elle est indépendante -tellement qu’elle ne supporte pas qu’on l’envahisse. Elle refuse l’aventure avec l’autre routard, donc elle est « fermée aux autres » et « se replie sur elle même ». Une associale quoi.
Alors là, vraiment, quel irrespect! Ne t’es-tu pas dit que cette voyageuse « fermée » l’était justement parce que certaines personnes pouvaient la réduire aux deux précédentes catégories? Que la rencontre amoureuse ou sexuelle n’est pas le but de son voyage? Qu’elle envoie bouler pour se protéger de l’enquiquinement des mecs lourds?
En quoi son expérience de voyage, tournée vers la solitude, serait-elle moins noble que les autres? A-t-on le droit, en temps que femme, de ne pas accorder d’intérêt à la gente masculine? Que notre monde ne tourne pas autour de votre personne?
J’ai qualifié cet article de liste de trophées de chasse car c’est l’effet qu’il fait (d’ailleurs, quelques commentaires te qualifient de « quel tombeur! »). Ne parles-tu pas de « beaux souvenirs rangés à jamais sur les étages de ma mémoire de voyageur »?
J’ai trouvé assez peu flatteur pour les jeunes femmes citées d’être résumées à telle ou telle catégorie : ainsi, le portrait dressé de « Céline en équateur » n’est pas flatteur, pas plus que Carmen, une « cougar ».
Quant aux clichés… Tu te protèges derrière ce paragraphe, comme nous en avons parlé sur twitter :
« Pour autant, pour cet article, je me suis essayé à l’exercice au risque peut-être de sombrer dans le cliché et de faire des raccourcis. Si c’est le cas pour vous, je vous pris d’avance de me pardonner. Mais « catégoriser » permet disons un effet de style qui m’a permis de présenter un article plus digeste. »
Comme je te l’ai fait remarquer ce n’est pas parce qu’on dit « je vais faire un cliché, pardonnez-moi » que l’on est dédouané… c’est comme si je disais « je vais dire un truc raciste, mais comme je l’ai annoncé, c’est pas grave, c’est que j’en ai conscience alors ça compte pas… »
… Oui mais… non en fait. Ton point de vue est sexiste (parce que tu catégorises les femmes par rapport à leur rapport aux hommes, parce que tu emploies des tournures de phrases parfois très péjoratives), et le dire ne le pardonnera pas.
Sur twitter, tu m’as dit « Je suis conscient de que je généralise avec des catégories, mais c’est voulu, sinon article indigeste. Plus facile. » Pour moi, c’est tout là, le travail du « bon » blogueur. Savoir trouver les mots, les formules, pour faire un article fin, pas cliché ni stéréotypé. Tu avoues avoir pris la facilité plutôt que travailler à rendre digeste et juste quelque chose que tu jugeais indigeste.
Dans mon entourage de blogging, il m’arrive souvent d’entendre, en off « j’ai mis 6 mois à écrire ce billet, parce que je n’étais pas sûre, parce que j’avais besoin de contrarier des clichés, parce que j’y m’étais trop de cœur ou de colère ». Une sorte de professionnalisme amateur, car un blog est une publication, elle en dit autant sur toi qu’un livre et en a la même pérennité (car visé par le dépôt légal … et oui, ton blog, en .fr, est archivé par la Bibliothèque nationale de France tous les ans!).
Car il y avait pourtant moyen d’écrire un article sur les rencontres amoureuses ou sexuelles en voyage sans tomber dans les clichés, les stéréotypes et le sexisme… Tu aurais pu réfléchir à l’image que tu as de la femme, à ta légitimité pour la mettre dans des cases, à la relativité de ton point de vue. Ainsi, peut-être aurais-tu réussi à véritablement montrer ce que tu prétends, à savoir la beauté de tes souvenirs amoureux (qui, comme le prouve certains commentaires, n’apparaissent décidément pas à tous les lecteurs!)
Houla en effet, c’est long :-)Tu m’as presque donné la migraine à 1 heure du mat là.
Tu mets un filtre perso sur cet article en faisant une analyse de texte qui va chercher loin.
Cela doit être dû à une histoire perso sensible peut-être. Du coup, sur cette question, tu as une sensibilité à fleure de peau.
Et celle-ci te fais interpréter mes propos selon ta façon de penser, c’est tarabiscoté parfois. Alors que tu ne me connais pas.
Comme le mot « baiser » que tu as utilisé pour parler de mes « beaux souvenirs rangés ». Révélateur de ce « filtre » que tu appliques.
Tu t »arretes trop à des détails et à des mots isolés sans prendre du recul sur l’ensemble.
Je sais ce que j’ai voulu dire, cela me suffit.
Comme je l’ai dit,les choses sont bien plus complexes, je le sais, c’est le plus important.
J’ai prévenu au sujet des clichés, car je sais que certaines personnes ont du mal à prendre du recul.
Les choses sont complexes, t’inquiètes, je le sais. Mais les clichés, s’ils sont des clichés qu’il faut dépasser, reposent toujours sur des réalités.
Tu n’aimes pas le style de l’article, ce n’est pas grave, ce n’est qu’un article parmi d’autres.
Ce n’est peut-être pas le meilleur article du blog, pas grave.
Allez, au pire, il est peut-être un peu sexiste, si tu es féministe, il doit forcément l’être un peu. Bon ce n’est pas la fin du monde.
J’aurais pu faire le même article pour les hommes, c’est sexiste aussi? Bon, ok si tu veux.
Une femme aurait écrit la même chose sur les hommes, je l’aurais pris avec le sourire et je pense que j’aurais liké même !
J’aime bien mon article, et après tout c’est l’essentiel 🙂
(Oui bien sûr le blog est archivé, c’est une bonne chose)
Merci pour avoir pris le temps d’expliquer en tout cas, j’apprécie beaucoup vraiment.
Mais il vaut mieux arrêter là, car la discussion sera sans fin et sans issue.
Tu te prends trop la tête, c’est article, c’est une pécadille 😉
Il fallait que je la fasse, je fais dans la facilité, tu le sais.
Promis, je tacherai de faire mieux la prochaine fois sur ce thème:-)
J’attendrai ton commentaire avec anxiété du coup !
C’est à peu de choses près ce que j’ai pensé en lisant l’article, notamment
– le fait qu’on a l’impression qu’une femme ne voyage pas simplement pour vivre une expérience pour / avec elle-même mais dans un rapport à l’homme ;
– le côté catégorie + tableau de chasse fait passer ton texte de « superficiel » à carrément misogyne.
Désolé pour la formule, mais en fait ton texte fait un peu « Guide du crevard » 🙂
Et je suis assez d’accord : si tu penses que le sujet peut être « polémique », peaufine, affine, nuance… Parce que là, tu préviens que tu vas peut être parfois faire dans le cliché mais en fait c’est l’ensemble du texte qui est un ramassis de clichés sur des femmes résumées à un gros trait de crayon bien gras.
Enfin, je lis ta réponse à Pécadille, que je ne connais pas du tout, et woaw… Le coup du filtre / histoire perso sensible / fleur de peau… C’est quand même vachement condescendant. Elle a le droit d’avoir un avis posé et réfléchi qui ne va pas dans ton sens sans pour autant avoir un problème perso à régler, non ?
Tout à fait, chacun exprime son avis 🙂
Ça doit être cela la différence de communication Homme Femme.
Tous les mecs ont bien compris que ça ne devait pas être pris au sens « scientifique » et que ce n’était qu’un point de vue PERSONNEL des relations en voyage, basé sur des expériences PERSONNELLES.
Et t’as forcément des nanas qui se retournent le cerveau a chercher la signification cachée des mots, a nous faire une thèse-antithèse-synthèse sur chaque phrase…
Oui c’est sexiste par là, c’est cliché par ici, faut raccourcir cette phrase …
Youhou! Point de vue PERSONNEL, basé sur des expériences PERSONNELLES.
Je pense que c’est malheureusement pour ça qu’aucun bloggeur ne veut faire d’articles sur les relations sentimentales ou tout simplement le sexe en voyage. (essayez donc d’en trouver…)
Trop casse gueule, trop polémique, tu sais à l’avance que tu seras obligé d’aseptiser à mort ton article, quite à ce qu’il ne respecte pas ton point de vue juste pour faire plaisir.
Aujourd’hui un blog de voyage c’est « Tout le monde il est beau, les autres ils sont sympas, c’est magique »
Sorts de ce système, tu seras sexiste, raciste, fermé, clichés..etc…
Personnellement je suis actuellement en tour du monde et j’ai reconnu certaines femmes dans ta description (surtout la première.)
Voilà Richard, tu as bien résumé la chose, merci !
C’est exactement cela.
Le politiquement correcte, je n’ai jamais été fan 🙂
du coup, ça fait 5 minutes que je me demande dans quelle catégorie je rentre.
Je sais dans celles où je ne vais pas, mais je crois que parfois, on est un peu caméléon avec celui ou celle qu’on rencontre. Les moments ne sont pas les mêmes, aussi, je n’aimerais pas un homme de la même façon selon la période de ma vie 🙂
Mais en tous cas tu nous aimes, et d’une façon belle et généreuse.
C’est drôle, je suis partie en voyage en me disant que l’idée n’était pas de tomber amoureuse, et en le clamant haut et fort. J’ai rencontré un premier voyageur qui m’a dit « Ah tiens, je suis parti pour rencontrer l’amour, moi ». Quand je disais que la route n’était pas un bon terrain pour une rencontre, il me répondait qu’un appartement – CDI – grégaire non plus. ça m’a troublée 🙂
Peut-être d’ici quelque années de voyage, j’écrirai l’article miroir au tien ! Je te l’enverrai, promis 🙂
Salut Aude,
Oui, tout à fait, on est caméléon en fonction de la personne en face et de la période de sa vie.
Tiens, c’est intéressant, je n’ai jamais rencontré un voyageur qui m’a dit « Ah tiens, je suis parti pour rencontrer l’amour, moi ».
Pourquoi pas en effet.
Ce n’est pas une question d’environnement, je pense qu’on trouve l’amour là on se sent le mieux.
Pour certains, en voyage, pour d’autre avec une vie sédentaire. That’s life 🙂