Comment j’ai à nouveau franchi le pas!
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Franchir le pas. Ou comment dépasser sa peur. Voilà bien la première étape dans la préparation d’un voyage au long cours. Et c’est sans doute le plus difficile car elle touche à des ressorts psychologiques.
Au milieu du Mékong, au Cambodge
La peur de l’inconnu
Même avec plusieurs voyages au long cours derrière moi, j’ai encore été touché par cette peur. Etonnant ? Non c’est normal et humain.
Car s’il y a bien un besoin fondamental qui guide l’homme, c’est bien celui de la recherche de la sécurité. Plus que l’argent, c’est cela qui conduit les hommes. Car qu’est ce l’argent si ce n’est la sécurité ? Donc, tout homme a peur de l’inconnu et même si parfois la situation ne lui convient pas, bien souvent il ne va pas bouger en raison de cette peur. Vous retrouvez cela dans tous les domaines de la vie.
Quitter sa zone de confort
C’est souvent une démarche qui n’est pas aisé pour beaucoup d’entre nous. Or, passé le cap, on s’aperçoit que cela débouche très souvent sur des situations enrichissantes. Ces nouvelles expériences nous apportent souvent beaucoup, plus que le train train quotidien dans lequel nous nous prélassons tous au bout d’un certain moment. Pour ma part, je préfère toujours vivre de nouvelles expériences que par exemple acquérir de nouveaux biens.
Et devinez quoi ? Il y a de bonnes chances que peu après, vous vous demandiez pourquoi vous ne l’avez pas fait plus tôt !
Prendre la décision
Quand j’ai repris un cdd en novembre 2009, j’avais déjà dans l’idée de partir en Amérique du sud après. J’ai prolongé cependant mon contrat. Au passage, j’ai tout de même fait deux beaux voyages en Egypte et en Indonésie. Puis à la fin de l’année passée, arrive le moment de prendre une décision pour la suite : prolonger encore de prés d’une année ou partir.
J’ai hésité. Cas classique devant une décision qui implique un saut dans l’inconnu. Et pourtant, je ne peux pas dire que mon boulot était passionnant, et je n’étais pas en CDI. Je ne l’ai jamais été d’ailleurs et j’imagine sans peine que dans ce cas là, franchir le pas doit être plus difficile. Heureusement qu’il y a le congé sabbatique (cf Benoit), sans quoi, moins de monde encore partirait un an autour du monde…
Franchir le pas
Et puis j’ai réfléchi. Je me suis rendu compte que j’hésitais surtout car je m’étais habitué à mon petit confort. L’habitude m’avait pris. J’appréhendais de partir à nouveau et surtout le futur retour. Normal.
Je me rappel une conversation au Laos avec une suissesse. Elle trouvait que le fait que l’homme puisse si facilement s’habituer, s’adapter était une chose plutôt négative. Car ainsi, il oubliait facilement par exemple le plaisir du voyage et cette liberté pour retrouver sa place dans sa société. Comme une brique qui retrouve sa place dans le mur. Est-ce vraiment négatif ? L’homme a une étonnante facilité d’adaptation. N’est-ce pas plutôt positif ? N’est ce pas une force ? Je le crois.
J’ai finalement franchi le pas en me remémorant tout ce que le voyage m’avait apporté auparavant. Et toutes les raisons qui font du voyage une expérience intense et enrichissante. Et comme après tout, je suis en bonne santé, rien de n’en empêche, et sachant par expérience qu’il ne faut pas écouter cette peur, que ce sont des moments que je ne regretterais pas, et bien je n’ai pas prolongé mon contrat.
Et vous savez quoi ? Déjà, je ne le regrette pas du tout !
Aller plus loin...
Un problème pour franchir le pas ?
Vous avez l'envie, le temps et l'argent ?
Mais voilà, cela coince...
Le déclic ne vient pas.
Je connais bien cela. Je peux vous aider !
Je vais tout à fait dans ton sens: la peur est ce qui nous empêche souvent d’avancer, et gouverne nos vies beaucoup plus qu’on ne le croit…
Et pour l’adaptation, je suis aussi tout à fait d’accord avec toi, et c’est parait-il la clé de l’évolution selon Darwin: en gros les espèces qui s’adaptent le mieux sont celles qui ont le plus de chances de survie…
Alors, NON à la peur et OUI à l’adaptation 🙂
C’est vrai, la théorie de l’évolution dit cela. Vu d’où l’on vient, c’est un avantage:-)
Merci pour cet article (je deconne) 😉
Je lis cas et j’ai un relan d’envie de tenter l’expérience sur le plus long terme. Mais ce premier départ pour “longtemps” est bien compliqué à faire accepter à notre inconscient! Enfin, je ne désespère pas!
En effet Julien, l’inconscient (ou la conscience?) peut-être un frein.Tien pour toi, cela serait quoi le plus gros frein?
Le plus gros frein à partir longtemps ? Je dirais mon attachement aux gens ici. J’ai un besoin d’entretenir des relations amicales, familiales sur régulièrement, et ça me manques terriblement quand je pars ne serait-ce que 3 semaines!
Je comprend tout à fait ta raison Julien. Cela depend du caractère de chacun. Je suis sans doute moins sensible à ce côté là.
Cela dit, dit toi que tes amis seront toujours là au retour, ta famille idem et en voyage, des relations amicales peuvent facilement se créer (surtout que tu es très sociable!)
Ouais c’est sûr qu’il faut être courageux pour partir en vacances pendant 6 mois dans des pays de rêve… 😉
On se donne rendez-vous en terre inconnue David?
Envoyez moi une invitation!
Encore un excellent article Fabrice. Tu es mon coach voyages.
Ca me fait penser que ma compagne et moi avont décidé de ne pas partir à Malte cette année… nous partirons dans les Canaries près de Ténérife. Je compte bien y aller en voilier un de ces jours.
Me réjouis.
Ha les Canaries cela doit être top! Tu fait de la voile? Sinon, je pense que tu peut trouver une place d’équipier sur les sites spécialisés (tu tapes sur Google), c’est une destination très courue!
Coach voyages? Tiens, j’y pensais l’autre jour, je me demande si cela existe! Bon, pour le coupe cela serait une petite, petite niche:-)
J’ai fais une saison de voile et j’y ai bien pris goût!
A faire, à refaire et à pratiquer. Je m’en vais visiter les sites que tu m’as conseillé… merci Coach!
Ha si tu as déjà de l’expérience, tu devrais trouver une place! Moi j’aimerais bien, mais sans expérience plus dur! Du veut dire que tu as pris des cours pendant une saison Joël?
Concernant le CDI : j’en avais signé un et au bout de quelques mois j’avais déjà envie de repartir (j’avais déjà gouté 2 fois au voyage). J’avais envie (et besoin) de nouveauté, de challenge, de prendre des risques, bref de voyage.
Je voulais à ce moment là partir un an en Angleterre pour perfectionner mon anglais et finalement après un peu plus d’un an de CDI j’ai démissionné (à l’étonnement de mon entourage “comment ? tu lâche un CDI ?”), je suis parti et je ne l’ai jamais regretté ! Je n’y suis resté que 6 mois, j’ai galéré à mon retour et puis j’ai fait une formation adulte dans le tourisme (après avoir “tenté” plein d’autres choses) et depuis malgré des creux professionnels mais aussi des hauts, je ne regrette pas cette décision. Sans ça je n’aurai jamais fait certaines choses, connu certaines personnes, expérimenté certaines situations.
Tout ça pour dire qu’il ne faut surtout pas prendre le CDI (ou autres) comme prétexte car ne sachant de toutes façons pas ce que l’avenir nous réserve, il y aura toujours des opportunités. Il suffit d’avoir l’oeil ouvert et “éduqué” !
J’ai quand même signé un autre cdi un peu plus tard pour en démissionné aussi un an après, toujours sans remords !!!
Finalement le CDI, c’est un peu comme lorsqu’on s’engage avec un crédit pour une maison, que les enfants arrivent, etc. On se sert de ça pour se mettre des barrières, se trouver des excuses, s’empêcher de vivre en quelque sorte. Pourtant il y a bien des personnes qui décident de tout plaquer (matériellement parlant) et de partir en famille faire le tour du monde ou vivre dans tel endroit totalement exotique. Et que je sache il y en a pas beaucoup qui s’en sont plaint !
Alors moins de réflexion et plus d’action !
En effet Florent, le CDI sert parfois de prétexte.Il est vrai que c’est plus difficile dans ce cas là de tout plaquer. Du moins, j’ai cette impression. Comme tu le montres, c’est tout à fait possible!
Tu bosses dans quel domaine dans le tourisme?
Salut Fabrice,
Je bosse dans l’accueil touristique. C’est un domaine incroyablement diversifié pour qui aime le contact. Grâce à ça j’ai pu voyager, travailler dans des structures aussi diversifiées qu’un village vacances à la montagne, des offices de tourisme, un camping, une auberge de jeunesse, etc. Et je ne me suis jamais lassé, je peux voyager, rencontrer (et me confronter, dans le sens positif du terme évidement) des gens de différents horizons, cultures, positions et réalités sociales, etc. Et l’accueil touristique me permet ça.
Le tourisme étant un secteur très diversifié il est possible de trouver chaussure à son pied (ou devrais-je dire “boots à son pied” !) et de pouvoir essayer plein de choses durant une carrière. Mais il faut quand même savoir que contrairement aux idées reçus 80% (et peut-être même un peu plus je crois) des métiers du tourisme sont sédentaires !
Mais quelqu’un de curieux, mobile et ouvert (tout moi quoi :p) parviendra à tirer son épingle du jeu et à travailler avec plaisir, envie et motivation
Je te souhaite de belles découvertes, de vivre de belles expériences dans ta nouvelle destination et merci de partager tout ça.
Merci à toi Florent. C’est vrai que 80% des boulots y sont sédentaires. Mais en effet, si tu es mobile, tu peut bosser dans plein de structures différentes:-)Et souvent loin des grandes villes;-)
Oh oui ! J’ai eu la chance de bosser dans une très jolie petite auberge de jeunesse au Québec dans le Saguenay (pour ceux qui connaissent !), on était loin de tout, mais pas trop et surtout entouré par la nature et proche de plusieurs parcs naturels. Ca c’est le pied !
Après bosser dans des villes ça a ses avantages aussi… mais à petite dose svp !
Ah j’allais oublier !!
J’adore ton chapeau, où l’as-tu trouvé ? J’en cherche un exactement comme le tien mais impossible d’en trouver un !
En fait on m’en avait prêté un une fois et j’avais vraiment trop adoré mais j’ai perdu les références, c’est balo quand même !!!
Je l’avais achété au Cambodge, mais perdu après je sais plus où…
Du coup, j’en cherche un autre. Je sais que chez Nature et Découvertes, ils en ont des chouettes (assez cher)
Celui qu’on m’avait prêté était d’une marque canadienne et vraiment c’était pratiquement le même (de ce que j’en vois !).
Si jamais je trouve mon bonheur je te le dirais !!!
ha oui je veut bien!
Bin moi ça sera la guadeloupe dans 10 jours, pour 10 jours, pas vraiment l’aventure mais bon, on s’en contentera… 🙂
ha mais c’est déjà top! Je connais pas, cela doit être une belle île!
Salut Fabrice,
En résumé, je crois qu’effectivement la peur de quitter sa zone de confort influence de beaucoup la décision de voyager ou non. Chez moi, je me suis construis un paradis de confort. La seule ombre au tableau étant que je ne m’y plais pas! Ça explique les raisons pour lesquelles je pars constamment sur la route. Petit voyage, grand voyage, tout y passe.
Le truc, c’est de ne pas s’attacher à ce que l’on possède. Quand vient le temps de parir, c’est beaucoup plus facile.
Salut Yves!
Tu ne te plait pas dans ta maison à la campagne? Aimer le lieu où l’ont vit rentre en compte c’est sûr. Enfin, pas seulement.Tu comptes repartir bientôt?
Salut Fabrice,
Ironiquement, malgré le fait que je demeure sur une vaste propriété, j’ai adopté depuis quelques années déjà le mode de vie minimaliste. Du fait, je me suis débarassé de pleins de trucs inutiles. Mais pour la vie de tous les jours, je commence à trouver diificile le fait que la campagne m’éloigne des commodités de la ville. En vivant dans un camping-car ou encore dans un voilier, comme je m’apprête à le faire d’ici 2 à 3 ans, je réduirai donc mes frais de beaucoup tout en étant constamment mobile.
Pour ce qui est de repartir sur du long terme, rien de précis en ce moment. Par contre, je m’offre régulièrement de petites escapades, sans compter que je travaille présentement avec ma copine sur un projet stimulant qui je l’espère sera accrocheur. En bref, nous sommes à élaborer les bases d’un rallye/raid trans Québec pour juillet 2011. Le lancement du site aura lieu d’ici quelques jours et dépendemment de la réponse des participants, ça pourrait devenir un événement plus important que prévu. Et si jamais ça ne fonctionnait pas comme nous le souhaitons, rien ne nous empêche de le faire en solo. D’ailleurs, je te joins le lien du site http://www.rallyquebec.wordpress.com puisque j’avais pensé à toi pour que tu me livres tes impressions sur la formule. Il manque encore un peu d’info sur le site mais le reste viendra sous peu. Bonne journée à toi.
Amicalement
Yves
Salut Yves!
Bonne idée que ce raid! Cela n’existait pas avant, c’est presque étonnant! Le thème du blog est jolie quoique je mettrais plus de couleurs chaudes perso.A mon avis, avec une bonne com, tu devrais avoir du monde!
Tu habites loin des commerces et d’une grande ville?
Merci de ta réponse Fabrice,
Pour l’instant, ce ne sont que les bases premières. Mais plus j’y travaille, plus la formule évolue dans une direction que je n’avais pas imaginé comme au départ. Quand la formule finale sera enfin déposée (d’ici une semaine j’espère) je t’aviserai à nouveau.
Pour la deuxième question, je te répondrai que je n’habite pas tant loin de la ville (environ une quinzaine de minutes en voiture) mais je trouve de plus en plus difficile le fait de devoir sauter dans ma voiture à chaque fois que j,ai envie d’aller au bistrot, au cinéma, à l’épicerie… En fait, mon but est de devenir le plus mobile possible (même si j’ai déjà la bougeotte) mais sans toujours avoir à revenir à mon point de départ. Ce que je déteste le plus du voyage est justement de revenir sans cesse au point de départ. Bonne journée à toi!
Ha Yves, tu es un nomade dans le sang je vois:-)
Tout à fait d’accord avec ce que tu dis, en tout point. Bon j’avoue, le voyage au long cours pas encore fait (seulement trois expériences de plusieurs mois de vivre à l’étranger), mais ça va venir… j’ai décroché mon premier boulot, j’économise quelques temps et ensuite je pars…
Salut Fabrice,
J’ai fait un erreur sur le lien pour le projet raid rallye au Québec, voici le bon lien:
http://www.rallyequebec.wordpress.com
À +
Je te souhaite un excellent voyage Fabrice 🙂
Le départ a été assez facile pour moi, j’étais très impatiente de me confronter enfin à la réalité concrète d’un voyage au long cours.
Là ça ne fait que trois mois que je suis sur les routes et je n’ai pas regretté un instant ma décision.
Le plus dur, c’est d’entretenir uniquement des relations virtuelles avec les proches.
😉
NowMadNow
C’est sûr qu’en général, on ne regrette pas:-)
Pour les relations à distance, bon c’est pas évident, mais cela n’est qu’une parenthèse!
L’essentiel c’est que tu l’ai franchi le pas !
Car après, tout devient vite très naturel, effectivement l’homme s’adapte à tout, et rapidement. Mais je pense comme toi, ce n’est pas un défaut, mais une qualité, cela permet d’aller toujours plus loin et de repousser ses limites.
Buen viaje amigo !
Merci Sandro:-)
“Quitter sa zone de confort”, sa résume tout à fais ce que représente le fait de partir voyager tout seul. Il faut ce faire à l’idée que l’on va quitter tout ce auquel on est attaché pour aller vers la découvertes de nouvelles choses. C’est important de ce faire à cette idée avant de prendre “la décision”. Très bon article qui en aideront plus d’un 😉
Merci Dave!
Et une fois le pas franchi, on le regrette rarement!:-)
C’est le but de cet article Dave. J’espère que cela sera la cas!
Hello Fabrice!!
Je me balade sur ton site depuis tout à l’heure et j’aime beaucoup ce que j’y vois, ce que j’y lis. Well done 😉
Se lancer, mettre ses chaussures, prendre son sac et partir… C’est précisément ça! Ce qui est marrant, c’est qu’on est peut-être même pas parti, qu’on se demande déjà ce qui nous attendra au retour. Ah, cette chère sécurité affective! Elle demande beaucoup.
L’adaptabilité est une force, certes. Ce qui est fou ou disons plutôt surprenant (et cela n’est pas à comprendre dans un sens négatif), c’est la capacité que cette dite adaptabilité a de nous permettre de reprendre notre vie là où on l’avait laissée, comme si de rien, alors qu’entre le moment du départ et celui du retour, il y a un monde. C’est parce qu’on est adaptable qu’on peut voyager et s’accommoder du monde. Et c’est parce qu’on est adaptable qu’on peut rentrer.
S’adapter est parfois un processus difficile, long. Il faut juste se méfier lorsque cette capacité d’adaptation, qui cherche la sécurité pour nous, une fois celle-ci trouvée voudrait nous faire oublier pour s’épargner la fatigue de devoir recommencer son travail. Notre adaptabilité va essayer de se reposer et elle risque fort de s’assoupir. Ne lui laissons pas cette chance. Prenons des risques, toujours, renouvelons nos expériences et ne nous laissons pas anesthésier par l’illusion de la sécurité.
Sur la route, les découvertes, les expériences, les rencontres sont tellement riches qu’il serait dommage de s’endormir et d’en rêver au lieu de les vivre.
Peut-être est-ce là ce que la Suissesse du Laos voulait dire.
Bonne route et peut-être qu’on se croisera sur les chemins du monde prochainement!
Pour finir, une citation de Mark Twain que j’aime particulièrement (en espérant que ça convaincra les derniers qui hésitent encore):
“Twenty years from now you will be more disappointed by the things that you didn’t do than by the ones you did do. So throw off the bowlines. Sail away from the safe harbor. Catch the trade winds in your sails. Explore. Dream. Discover.”
Désolé pour le retard!
J’aime beaucoup cette citation aussi
Je crois que tu as tout dit! Tu l’as même très bien dit Saskia! D’une jolie façon!
Elle cherche toujours la sécurité…
Et toi, quoi de neuf?
Je suis tes aventures et je me prends à rêver!! Mais il faut que je termine mon Master avant tout. On verra en décembre si je refais mon sac et pour combien de temps… 🙂
En attendant, je voyage grâce à toi par procuration!
Tu as raison!
Bon ben si jamais tu passes dans le coin , fais mois signe;-)