IVCAST 6 : Peur de l’avion ? La solution : regarder la série « Air Crash » !
1Le mal par le mal ? Peut-être, mais cette série passionnante va vous étonner j’en suis sûr. Peut-être, vous changerez de conception sur le voyage en avion. Je vous explique pourquoi à travers des récits et des chiffres.
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A propos de cet épisode :
Il y a quelques mois, j’ai découvert la série Air Crash sur le cable. Je suis tout de suite devenu accroc.
J’ai enfilé littéralement les épisodes. Cette série passionnante est intéressante pour tous ceux qui sont amenés à voyager en avion. Vous n’êtes pas à l’aise en avion ? Et bien paradoxalement, je vous conseil de regarder cette série. Vous allez comprendre pourquoi en écoutant le podcast.
Je me suis dis que c’était aussi l’occasion de parler de la sécurité du transports aérien travers quelques chiffres étonnants.
Mots clefs du podcast:
Air crash – Peur de l’avion – Voyager en avion – Sécurité – Crashs aériens
Ce que vous allez découvrir dans cet épisode :
– ce que la série Air Crash peut vous faire comprendre sur le voyage en avion.
– les causes de la plupart des crashs aériens.
– trois crashs qui ont marqué l’histoire.
– les statistiques sur la sécurité en avion : étonnantes !
– quelle est la meilleure place en cas de crash.
– pourquoi c’est un sujet qui m’interesse.
Liens et ressources mentionnées dans l’épisode :
– La peur de l’avion : comment la combattre.
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Transcription texte :
Bonjour. Bienvenu pour ce nouvel épisode du podcast. Alors, aujourd’hui, je vais vous parler d’un sujet un peu particulier. Je vais vous parler de la série Air Crash.
Alors, si vous ne connaissez pas c’est une série qui passe sur National Geographic France et je crois qu’elle est diffusée aussi sur France 5 enfin je ne sais pas si elle est encore diffusée… A un moment, du moins, elle l’était. Et donc, c’est une série canadienne qui existe depuis 2003 déjà. C’est une série documentaire qui s’attache à expliquer les catastrophes aériennes qui sont passées ces dernières années. Donc, chaque documentaire porte sur une catastrophe aérienne et voilà.
Cette série Air Crash est vraiment très bien faite puisque vous avez la reconstitution. Vous avez le déroulement de l’enquête avec des acteurs. Tout ça est vraiment très bien fait, très bien filmé. Les acteurs jouent bien. Les reconstitutions sont bien faites. Et en fait, c’est vraiment comme un trailer puisque vous pouvez vraiment suivre le cheminement de l’enquête et en fait, voilà découvrir souvent le crash d’un avion c’est vraiment une enquête et c’est là où on se rend compte en fait de la complexité de la chose et du travail phénoménal des enquêteurs puisqu’il y’a des enquêtes qui ont été résolues des années et des années après.
Et donc, voilà cette série Air Crash qui a une centaine d’épisodes déjà, je l’ai découverte il y’a quelques mois. Et depuis, j’avoue j’ai beaucoup regardé des épisodes sur youtube parce que vous en trouvez pas mal sur youtube et j’ai même un moment presque failli faire une overdose puisque je regardais un ou deux tous les soirs, voilà. Mais vraiment pour vous dire à quel point je trouvais ça passionnant.
Et donc, j’ai voulu vous parler de cette série aujourd’hui en relation avec la peur de l’avion qu’ont beaucoup de gens. Il y’a pas mal de personnes qui ont peur de l’avion et sans forcément aller jusqu’à une peur de prendre l’avion. Il y’a une étude qui disait qu’il y’avait environ 2/3 des passagers qui n’étaient pas à l’aise dans l’avion, ce qui fait beaucoup.
Moi au début, je n’étais pas très à l’aise non plus. Bon, c’est passé. Mais heureusement, je n’ai jamais eu peur de l’avion heureusement pour moi et donc, voilà il y’a pas mal de gens qui ont peur de l’avion et les catastrophes aériennes récentes qui sont très médiatisées n’arrangent pas les choses. Voilà.
Alors, le titre du podcast est peut être un peu exagéré. Bon, si vous avez peur de l’avion, en effet, je vous conseille et je vous dis que la solution c’est de regarder la série Air Crash… Si c’est un peu exagéré, il y’a un peu de vrai là-dedans parce que en fait, voilà regardons cette série Air Crash je me suis rendue compte et on se rend compte que la plupart des accidents d’avion en fait n’ont pas pour origine un problème technique.
Dans la plupart des cas, c’est une erreur humaine. Alors, parfois, il y’a un petit problème technique à la base. Mais, le problème se transforme en catastrophe parce qu’il y’a eu une erreur des pilotes ensuite.
Et donc, je trouve ça vraiment intéressant à savoir parce qu’en fait on se rend compte aussi dans cette série Air Crash alors ce n’est pas le cas de toutes les catastrophes , mais dans beaucoup d’accidents, c’est vraiment une succession assez incroyable de circonstances qui s’enchaînent.
Alors, à la base, peut être vous avez un petit problème mais vraiment un mini-problème technique qui ne peut être la cause du crash. Mais ensuite, vous avez le pilote qui va mal interpréter le problème, qui va mal réagir et donc, cela va entrainer une action de sa part qui va entraîner une autre mauvaise action de sa part, etc etc.
Dans certains cas, c’est une succession incroyable de circonstances. Voilà et en cela je trouve que c’est assez je trouve rassurant. Enfin, du moins, c’est mon point de vue par rapport à la sécurité des vols en avion. Bon, alors bien sûr, à côté vous avez aussi des crashs dont l’origine est un problème technique clair, un problème de maintenance, etc. Parfois un attentat, bon ça c’est vraiment encore plus rare, vous avez également parfois aussi bon ça c’est un peu lié à une erreur humaine du pilote vous avez aussi souvent une très grosse fatigue du pilote qui est un peu exploité par certaines compagnies aériennes et qui voilà avec la fatigue on juge mal – comment dire- on est plus stressé en situation où il ne faut pas l’être et on peut prendre les mauvaises décisions, voilà.
Mais, encore une fois c’est vrai qu’il y’a beaucoup d’accidents récents qui ont pour origine une erreur humaine. Par exemple, si vous prenez le très médiatisé crash d’Air-France Rio-Paris en 2009. Voilà, l’enquête a montré que si à la base il y’a eu un petit problème technique, c’est-à-dire le gel des sondes Pilote qui indique la vitesse de l’avion pilote. Voilà, ensuite la cause de crash c’est qu’il y’a une mauvaise interprétation des pilotes une mauvaise altitude des pilotes, des erreurs de pilotage qui ont entrainé le crash de l’avion.
Et ce crash c’est assez incroyable en fait puisque quand vous lisez le rapport du BEA, le copilote ne s’est pas rendu compte que l’avion était entrain de décrocher alors que c’est quelque chose d’hyper basique en pilotage, il ne s’est pas rendu compte que voilà l’avion décrochait, donc, il perdait de la vitesse et voilà il a tiré sur le manche pour lever le nez de l’avion. Et voilà si vous faites ça, vous diminuez la portance. Alors, la portance c’est en fait, en gris, l’air qui s’écoule sous les ails de l’avion et qui permet à l’avion de voler. Et donc, quand vous êtes en altitude, la plus forte raison et que vous cabrez l’avion, vous diminuez la vitesse, voilà vous mettez l’avion en situation de décrochage, l’air ne s’écoule pas suffisamment sous l’aile et l’avion tombe.
Et pour contrer ça, il faut baisser le nez, faire plonger l’avion en fait pour qu’il récupère de la vitesse et de la portance. Et voilà. Dans le cas du coût de crash Rio-Paris, les deux copilotes et le commandant de bord se sont à peine rendu compte de ça et voilà ils ont mal réagi.
Bon, ce cas du crash du vol Rio-Paris a fait posé pas mal de questions quant à la formation de pilotes parce que depuis quelques années, les avions sont de plus en plus automatisés c’est-à-dire que finalement en ce moment, là les pilotes ne prennent vraiment le pilotage que lors des phases de décollage et d’atterrissage.
Tout le reste, l’avion est en mode pilote automatique et en fait, le pilote n’est là que pour vérifier s’il n y a pas de problèmes durant le vol ce qui fait qu’en fait concrètement, ils ont beaucoup moins de pratique, faire beaucoup moins d’heures de vol en situation réelle en manche je veux dire avec le manche dans les mains que les pilotes des années 50.
Ce qui fait que lorsqu’il y’a un petit problème technique, il y’a une situation de stress qui est plus importante et cela peut conduire les pilotes à mal réagir. Enfin, c’est du moins les conclusions qu’en ont tiré certains.
Là ; par contre c’est un côté qui n’est pas vraiment très rassurante parce que finalement, on va de plus en plus vers une automatisation des avions et voilà, ce n’est pas une folie que de penser que dans quelques années du moins dans quelques dizaines d’années tout sera automatique c’est-à-dire que les avions pourront décoller et atterrir d’eux-mêmes sans vraiment une action du pilote.
Voilà, ça peut poser un problème dans le futur. Mais encore une fois, cette série Air Crash est vraiment intéressante et donc voilà je vous conseille vraiment de la regarder et voilà on se rend compte aussi qu’il y’a les avions par exemple un avion peut voler et atterrir sans moteur.
S’il y’a une panne de moteur, voilà un avion normalement peut planer et voilà c’est arrivé plusieurs fois dans l’histoire alors peut être le cas le plus célèbre d’ailleurs dont Air Crash a parlé, c’est le planeur de Gimli. Imaginez-vous, ça s’est passé en 1983 je crois, c’est le vol 143 d’Air-Canada qui – en plein vol – plus de carburons, en fait, le pilote s’est aperçu qu’il n’y a plus de carburons. Et donc, qui dit plus de carburons, dit moteur coupé. Et en fait, voilà, la cause ça était en fait – on s’est aperçu après – qu’il y’a un mauvais calcul lors du remplissage des réservoirs.
Enfin, bref, voilà vous êtes en plein vol, plus de carburant plus de moteur et bien le pilote a réussi quand même à poser l’appareil sur une piste en petit aéroport sans qu’il n’y ait eu de blessés ce qui démontre la qualité sans doute du pilote.
Il y’a eu un autre cas aussi où c’était le vol Taca 110 qui était – je crois entre Saint José au Costa-Rica ou au panama je ne sais plus la nouvelle Orléans qui pareil a atterri sur du gazon en fait. Et là aussi sans blessés. Et tiens je vais terminer par vous raconter un autre crash qui là aussi, c’est assez incroyable. Alors, là, c’est plutôt un enchaînement de circonstances assez incroyables qui ont mené à ce crash. C’est le cas du vol 522 d’Helios Airways.
Alors, ce vol, c’était un vol charter entre Chypre et Athènes je crois. Et figurez-vous que l’avion en fait est devenu un avion fantôme. C’est-à-dire qu’en plein vol, il n’y avait plus personne aux commandes. Tout le monde était endormi ou mort dans l’avion.
Donc, l’avion volait tout seul en pilote automatique et en fait quand il arrivait vers Athènes il a été escorté par des F16 parce que voilà, on n’avait pas de nouvelles. Évidemment personne n’arrivait à joindre les pilotes et voilà les pilotes du F16 se sont aperçus que tout le monde était endormi avec les masques à oxygène les pilotes également. Ils ont seulement vu vers la fin le Stewart qui miraculeusement était encore éveillé, qui était aux commandes de l’avion qui essayait de prendre les commandes de l’avion mais bon voilà malheureusement, il n’était pas pilote, il leur a fait signe, il y’a eu un échange mais voilà quelques minutes après à court de carburons, l’avion s’est écrasé.
Et bien sûr, il n’y avait aucun survivant. D’ailleurs la plupart des passagers étaient sans doute déjà morts faute d’oxygène puisqu’en fait la cause du problème était ça. C’était une dépressurisation de la cabine de l’avion et en fait, tous les passagers sont devenus inconscients et ensuite sont morts faute d’oxygène et voilà comment on en est arrivé là, c’est que en fait, l’enquête a montré qu’à la base, il y’avait déjà un petit problème de pressurisation sur une porte de l’avion et en fait, les ingénieurs lorsque l’avion est passé au contrôle, ils ont fait des tests et un des mécaniciens – je ne sais plus le terme exact un des agents d’entretien – a oublié de remettre après le test le bouton sur le mode « cabine pressurisée », pressurisation automatique lors du vol, il a oublié de le remettre.
Alors, le problème c’est que les pilotes ont aussi fait l’erreur de ne pas remarquer ça lors de la check-list au décollage. Ils n’ont pas remarqué que le bouton n’était pas à sa place. Et ensuite, lorsque les premiers signes, les premiers problèmes ont commencé lors du vol, il y’a eu plusieurs alarmes, et en fait, ils ont mal interprété les alarmes, là encore, ils n’ont pas vérifié ce problème de pressurisation. Ils n’ont pas vérifié les bons quadrants, etc. Et voilà, une chose en entraîne une autre. Ils se sont endormis aussi et voilà un crash qui aurait pu être évité.
Alors, celui-ci est assez particulier parce qu’il frappe l’imagination un avion où tout le monde est endormi, qui s’écrase faute de carburons avec juste un Stewart au contrôle de l’avion qui fait signe. Voilà, c’est assez terrible. Donc, voilà pour cette série Air Crash.
Alors, je voulais terminer ce podcast par vous parler un peu statistiques justement toujours sur le voyage en avion. Alors, bon, je vais quand même revenir sur le fait que l’avion c’est le moyen de transport le plus sûr au monde. Ces dernières années, il faut quand même se dire qu’il y a eu 500 morts par an contre 3 milliards de passagers transportés. C’est quand même énorme 3 milliards de passagers, c’est presque la moitié de la population de la planète. C’est vraiment énorme. Je crois qu’il y’a deux accidents pour un million de vols. C’est vraiment des statistiques hyper basses qui n’augmentent pas contrairement à la rumeur non non !
Les accidents en avion n’augmentent pas les statistiques sont plutôt à la baisse. Et voilà, il faut juste savoir que l’Afrique, il y’a plus d’accidents qu’ailleurs puisque je crois qu’il y’a la moitié des accidents contre 3% du trafic. Donc, vous voyez la différence c’est assez énorme. Et d’ailleurs pour habiter en Afrique, j’habitais quelque temps au Nigéria et j’ai été amené à prendre des vols intérieurs et je peux vous dire que ce n’était pas très rassurant, j’avais un peu l’impression en fait là-bas quand vous prenez l’avion, enfin, c’est vraiment l’impression que j’avais.
J’avais l’impression que c’était comme si on prenait un taxi, vous voyez les gens arrivent comme ça, ils montent sur le tarmac, enfin, les procédures ne sont pas très poussées, voire absentes. J’avais l’impression que c’était un peu comme prendre un taxi et d’ailleurs il y’a eu pas mal de… quand j’y étais, je me rappelle qu’il y’avait 2 ou 3 crashs d’avion assez terribles dont une des victimes était la femme d’un ancien président il me semble. Enfin, bref voilà. L’Afrique c’est un point noir, il y’a pas mal de compagnies qui sont sur la liste noire de l’union européenne d’ailleurs.
Et voilà toujours pour parler statistiques, il faut savoir que la moitié des accidents ont lieu lors de la phase de décollage et d’atterrissage. Voilà, c’est des moments un peu plus sensibles, où il y’a un peu plus de risque lors d’un vol en avion.
Alors, il y’a une autre question aussi d’ailleurs qu’un lecteur m’avait posé c’est : « Quelle place est la plus safe et la plus sécurisée lorsqu’on prend un avion en cas de crash? »
Alors, bon, alors comment dire je ne pense pas qu’il y’a une énorme différence, j’ai fait des recherches mais apparemment il n’y a pas une énorme différence. Ce qui est sûr c’est que logiquement les places de devant sont si vous avez une place devant, vous êtes plus exposé. Donc, le taux de mortalité est plus élevé. Et voilà, il s’avère que d’après certaines études, c’est plutôt les places sur les ailes juste après les ailes ou sur les ails qui sont un peu moins mortelles parce que c’est là en fait où la structure de l’avion est la plus forte.
Ce qui est en effet logique. Donc, cette partie de l’avion est un peu plus costaud, il y’a un peu plus de chances de survie et aussi il y a un peu plus de chances de survie si vous êtes à l’arrière, et un peu plus de chances de survie si vous êtes côté couloir, donc voilà côté fenêtre c’est sympa pour regarder le paysage mais côté couloir, ce n’est pas mal pour assurer sa survie.
Bon, voilà, tout ça, c’est des petits pourcentages – je ne pense pas que ça fasse une grosse différence et que vous soyez omnibulé par le choix de la place dans l’avion.
Alors, entre nous, je vais vous faire une confidence, c’est que j’aime beaucoup parler de l’aviation. C’est un thème qui m’a toujours intéressé. Je me rappelle enfant, j’ai même eu un moment presque une obsession pour l’aviation. Je voulais être pilote d’avion, pilote de chasse.
Après, je voulais aussi être pilote de ligne. Malheureusement, je n’ai pas pu. Il a fallu mettre ce désir de côté à cause d’un problème de vue. Je suis comme je crois que c’est 5% même 8% je ne sais plus de la population qui voilà – je suis daltonien. C’est léger. J’ai un petit problème avec le vert et le rouge. Enfin, certaines nuances. Mais, voilà, ça suffit. Avec ce problème vous ne pouvez pas passer la visite médicale pour commencer la formation de pilote professionnelle.
Vous pouvez être un peu daltonien, ça n’empêche pas de passer votre licence de pilote privé. Mais, voilà, vous ne pourrez pas être payé pour transporter des gens. Et je crois que même il y’a deux formations si je me rappelle bien, il y’a deux formations pour être pilote privé et la deuxième vous êtes limité vous ne pouvez pas voler de nuit je crois.
Bref, il faudrait que je regarde ça. Et donc, voilà. C’est la raison pour laquelle, je n’ai pas insisté. Mais, bon, j’ai toujours dans un coin de ma tête, voilà le rêve de passer mon brevet de pilote privé et voilà. Je pense qu’il faut vraiment que je le fasse un de ces jours. Bon, c’est quelque chose qui coûte cher malheureusement. Ce n’est quand même pas donné, mais voilà, c’est toujours quelque chose que j’ai dans un coin de ma tête. Il y’a un petit moment que je parle et voilà et donc, un petit rêve que j’ai dû mettre de côté.
Bonjour Fabrice,
j’ai lu ton article. J’ai une peur bleue de l’avion et pourtant je voyage pas mal aussi, en plus habitant désormais sur une île je suis obligée de monter dans toutes sortes d’avion si je veux en partir (du coucou 12 places à l’avion à double étages). Et ce n’est pas parce que je le prends que j’ai moins peur qu’un autre… Pour l’instant l’envie de voyager l’emporte mais c’est parfois trés compliqué.. Par exemple je ne rentre pas voir ma famille pour les fêtes car 20h d’avion pour deux semaines de vacances c’est trop difficile… Du vol serein à la crise d’angoisse qui fait venir le commandant de bord pour te rassurer j’ai tout connu… Je lis tout sur les crash d’avion et les statistiques juste avant de prendre un vol long courrier, je ne sais pas si c’est pour soigner le mal par le mal je pense que c’est plutôt obsessionnel, à savoir: plus de chance de mourir mordu par un serpent que dans un vol d’avion.. Aprés les médias, les images jouent un grand rôle dans la peur de l’avion.. Je ne sais pas si je regarderai la série car savoir que le plus souvent se sont des erreurs humaines ce n’est pas forcément plus rassurant.. et revivre dans sa tête les images de la série quand t’es en plein vol ça ne donne pas tellement envie non plus 🙂
A voir, si par curiosité je vais voir quand même je te dirais ce que j’en ai pensé.
Encore bravo pour ton blog et merci pour tes conseils.
Voyageseument
Laura