La Guajira : un des plus beaux paysages que j’ai pu voir !
34La Guajira est une péninsule située à l’extrême nord-est de la Colombie. C’est le point le plus haut du continent sud américain. Ce bout du monde isolé vous étonnera par sa beauté et ses dunes tombant dans l’océan ! Un paysage grandiose ! Venez pour une visite de La Guajira, un lieu juste dingue !
Bienvenue au désert de La Guajira, un territoire fascinant où le paysage oscille entre des plages immaculées, des dunes de sable, des salines étendues et des communautés indigènes wayuu.
Cette région aride et isolée offre une expérience unique, mêlant une nature sauvage et préservée à la richesse culturelle des traditions wayuu. Riohacha, la capitale, et des sites emblématiques tels que Cabo de la Vela et Punta Galinas font de La Guajira une destination captivante pour les voyageurs en quête d’aventure, de diversité culturelle et de paysages spectaculaires.
La Guajira, un incontournable à faire lors d’un voyage en Colombie !
Riohacha
Riohacha, située sur la côte caraïbe de la Colombie, est la porte d’entrée du désert de La Guajira. Cette ville colorée et animée est la capitale du département. Connue pour ses plages pittoresques, Riohacha offre un mélange captivant de culture indigène wayuu et d’influences caraïbes.
Le front de mer, bordé de palmiers, est un lieu de détente populaire pour les habitants et les visiteurs. Le marché de Riohacha propose une variété de produits locaux, mettant en lumière l’artisanat wayuu, notamment les célèbres mochilas aux motifs vibrants.
Riohacha est une étape incontournable pour ceux qui souhaitent explorer cette partie unique de la Colombie.
Les salines de Manaure
Après avoir parcouru quelques kilomètres au départ de Riohacha, vous ne tarderez pas à arriver aux Salines de Manaure, un paysage spectaculaire de salines étendues qui se perdent à perte de vue. Ces salines font partie des plus grandes exploitations de sel du pays. La région est connue pour ses étendues salines blanches qui contrastent magnifiquement avec le ciel bleu et la mer à proximité.
La production de sel est souvent associée à l’économie locale, et vous aurez l’occasion de découvrir le processus de fabrication lors de votre visite, tout en admirant la beauté du paysage !
Voici justement un tour tout compris pour visiter Salines de Manaure !
Les Wayuu
Les Wayuu sont un peuple autochtone vivant principalement dans la région de La Guajira. Ils sont connus pour leur résilience, leur attachement à leurs traditions et leur mode de vie nomade.
La société wayuu est organisée autour de structures familiales étendues appelées « rancherias ». Ils ont leur propre langue, le wayuunaiki, qui est une langue amérindienne de la famille des langues arawaki. L’artisanat traditionnel occupe une place importante dans leur culture, en particulier la fabrication de sacs appelés « mochilas », qui sont des œuvres d’art colorées et souvent complexes. Vous en verrez tout au long de votre séjour dans le désert, car les femmes les vendent sur le bord de la route.
L’économie des Wayuu repose souvent sur l’élevage de chèvres et de moutons, ainsi que sur la pêche. Le climat aride de La Guajira a façonné leur mode de vie et leur a appris à utiliser les ressources naturelles de manière durable. Malheureusement, les Wayuu ont également été confrontés à la pauvreté, à l’accès limité à l’eau potable et aux tensions sociales. La rencontre avec les Wayuu est l’un des moments forts de la visite de La Guajira.
Cabo de la Vela
Le plus économique et le plus facile est d’abord d’atteindre le village de Cabo de la Vela sur la côte ouest, avant de vous rendre à Punta Gallinas. Pour cela, partagez un pick up avec la population locale, les indiens Wayuu. La péninsule est leur territoire. Après 1h30 de route, le pick up quitte la piste principale pour s’enfoncer dans un paysage désertique.
Cabo de la Vela est un lieu emblématique où le désert rencontre la mer des Caraïbes. Cet endroit est renommé pour ses plages de sable doré, ses eaux cristallines et ses vents forts, en faisant un sport prisé par les amateurs de kitesurf.
C’est la fin de journée. Des montagnes au loin, des étendues d’herbes, le sable, des enfants se déplacent en vélo dans un paysage aride mais beau. Nous rejoignons l’océan et une série de huttes et de maisons le long d’une piste de sable. Bienvenue à Cabo de la Vela.
Punta Gallinas
Punta Gallinas est le point le plus haut du continent. Pas de village, juste quelques maisons disséminées dans une steppe semi-désertique. Arriver ici se mérite. Depuis la ville de Riohacha, la porte d’entrée de cette péninsule, il vous faudra une heure de route en collectivo (petit bus) ou en taxi pour atteindre Uribia. Cette petite ville a des allures de far west ou plutôt de far east. La frontière avec le Venezuela n’est pas loin, drainant vous vous en doutez pas mal de trafic. A partir de là, terminé le bitume, place à la piste.
#1 Le faro de Punta Gallinas
Le phare de Punta Gallinas, située à l’extrême nord de La Guajira, se dresse comme un repère emblématique sur la péninsule. Offrant des vues panoramiques spectaculaires sur la mer des Caraïbes et le désert environnant, le phare est le point le plus septentrional de l’Amérique du Sud.
#2 Les dunes de Taroa
Les dunes de Taroa sont un spectacle naturel impressionnant où le désert rencontre la mer des Caraïbes. Ca fait évidemment partie de ce que vous devez voir lors de votre séjour dans le désert de La Guajira !
Ces vastes étendues de dunes de sable doré offrent un paysage à couper le souffle, évoquant une atmosphère presque irréelle. Le contraste saisissant entre le sable et les eaux turquoise de la mer crée une expérience visuelle inoubliable, faisant des dunes de Taroa un incontournable pour ceux qui explorent la beauté naturelle et unique de La Guajira.
A l’approche du gap de ce bout du monde
Mon coup de cœur pour la Guajira
Punta Gallinas
Les 1500 âmes de ce village vivent de la pêche et du tourisme qui reste encore marginal ici. Des familles proposent quelques chambres sommaires et surtout des hamacs pour dormir sur la plage… Peu de pollution lumineuse ici, la voie lactée apparaît sous nos yeux dans toute sa splendeur. Calme et fraîcheur de l’océan accompagnent une paisible soirée autour d’un repas fais de poissons frais. Un régal. Pas de réseau ici et encore moins d’internet. Un sentiment d’être loin de tout. Silence, beauté du site et des alentours, j’imagine qu’on peu se retrouver facilement à passer ici quelques jours.
L’étape suivante est plus éprouvante. Il s’agit de rejoindre le cap de Punta Gallinas tout au nord de la Guajira. Le voyage va d’abord s’effectuer à l’arrière d’un camion au petit matin. Puis deux heures plus tard, une barque nous attend pour deux heures de mer. Nous sommes huit avec nos gros sacs. Plutôt chargé et les vagues sont assez grosses.
La barque décolle, heurte les vagues, projetant des écumes sur le bateau. J’avoue qu’à un moment je fus un peu stressé, surtout quand vous voyez l’un des deux capitaines se ruer sur son gilet de sauvetage… J’ai même pensé à un moment au fait que nous pourrions chavirer. Que faudrait-il faire ? Attendre prés du canot ou tenter de rejoindre la côte à la nage ? Hum, heureusement la question ne sera pas résolue !
Voici enfin le cap. Nous passons au travers une mangrove pour accoster à l’intérieur d’une baie. Un court chemin mène vers une bâtisse. Victoria nous accueille et dresse les hamacs pour la nuit. Ici vit une famille Wayuu. La seule à proposer un hébergement. Tout autour, une lande semi-désertique fait de petits arbustes, d’herbes et de cactus. Des pistes fantômes la traversent. Des maisons ici et là. Les vagues de l’océan jamais très loin. Un paysage grandiose. Le genre que l’on peut voir dans certains films. Mythique. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.
Le vent a sculpté ces motifs.
Bluffé, je le suis par le paysage sous mes yeux. Peut-être un des plus beaux qu’il m’a été donné de voir. La Guajira, j’adore. Entre la lande et l’océan, une chaîne de hautes dunes de sable se dresse. Les dunes plongent littéralement dans l’océan. C’est sublime cette vue. Les couleurs du sable, de l’océan et du ciel se superposent. Le vent du large dessine sur le sable vierge de minces arrêtes. Je m’assois sur le sable au sommet d’une dune. Et j’admire. Un paysage étonnant en Colombie dont on ne soupçonne pas. Le soleil couchant enfonce le clou et clôt une bien belle journée.
Franchement, vous auriez pensé que cette photo vient de Colombie ?
Nous quittons ce paysage majestueux le lendemain. C’est reparti pour les joies de la chaloupe puis cette fois, nous enchaînons par deux heures de camion pour Uribia. Une heure de taxi plus tard et une crevaison, nous voici à Riohacha où nous prenons directement un bus pour Carthagène. Ouf ! Un long voyage ponctué par des contrôles de l’armée sur la route. A près d’une heure du matin, nous arrivons dans les faubourgs de l’ancienne et mythique Cartagena de Indias. Ces vieux remparts d’un demi siècle éclairés se profilent au loin…
Comment se rendre dans le désert de la Guajira ?
Pour se rendre au désert de La Guajira en Colombie, plusieurs étapes sont nécessaires.
#1 Se rendre à Riohacha
Riohacha est le chef-lieu du département de La Guajira et le point de départ des explorations dans le désert.
Vous pouvez prendre un vol vers l’aéroport international Almirante Padilla de Riohacha depuis des grandes villes colombiennes comme Bogota ou Medellin. Les vols directs depuis Bogota durent 1h30 et sont au prix de 65€.
Vous pouvez également vous y rendre en bus. Depuis Cartagena par exemple, le trajet dure 6h et le prix est de 15€.
#2 Route vers le désert
Une fois à Riohacha, vous pouvez emprunter la route vers le désert. Il est recommander d’engager un chauffeur local expérimenté ou de participer à des circuits organisés car les conditions routières peuvent être compliquées.
#3 Tours guidés
Opter pour un tour guidé est souvent l’option la plus simple pour explorer le désert en toute sécurité. De nombreuses agences proposent des circuits qui incluent des visites à Cabo de la Vela, Punta Gallines, les Salines de Manaure, les dunes de Taroa et d’autres sites emblématiques.
Voici une agence qui propose un tour de 3 jours, l’essentiel à voir donc !
#4 En autonomie
Vous pouvez trouver un taxi collectif à Riohacha pour vous rendre premièrement à Uribia, la capitale indigène de la Colombie. Une fois arrivé à Uribia vous devrez trouver un 4×4 collectif pour entrer dans le désert et parcourir des kilomètres sur le sable. Quelques heures plus tard vous arriverez à Cabo de la Vela.
Quelques conseils
Pour une visite réussie de La Guajira, il y a certains points qu’il est important de prendre en compte. Voici quelques conseils :
#1 Préparez-vous au climat
La Guajira est une région aride avec des températures élevées. Assurez-vous d’apporter des vêtements légers, des chapeaux, de la crème solaire et de l’eau en quantité suffisante.
#2 Respectez la culture wayuu
La population a ses propres coutumes et traditions. Soyez respectueux envers les habitants locaux, demandez la permission avant de prendre des photos, et soyez conscient des normes culturelles.
#3 Organisez votre voyage avec des guides locaux
La Guajira peut être un endroit isolé et certains sites sont mieux explorés avec des guides locaux qui connaissent bien la région et sa culture.
#4 Soyez responsable écologiquement
Respectez l’environnement naturel et évitez de perturber la faune et la flore locales. La région est très polluée, c’est un point qui m’a marqué dès mon arrivée… Alors ramenez vos déchets avec vous et minimisez votre impact sur l’écosystème fragile de La Guajira.
#5 Prévoyez de la nourriture pour les Wayuu
Tout au long de votre séjour dans le désert de La Guajira, vous serez arrêté sur la route par des « barrages » mis en place par la communauté Wayuu. Les habitants, souvent des enfants, tirent des cordes devant les 4×4, les forçant à s’arrêter. Difficile de comprendre comment et quand ces barrages ont été instaurés, mais chaque voiture suit la règle. Au passage de ces barrages les voitures doivent donner des denrées alimentaires aux Wayuu pour continuer la route.
Conseils pratiques
–Carte eSIM pour la Colombie !
N’oubliez pas une assurance voyage pour partir l’esprit tranquille.
J’ai visité La Guajira en février 2022, en arrivant de Minca. Je suis passée par une agence locale et je crois que je n’étais pas tellement préparée à ce qui m’attendait. Dès le début j’ai été rapidement confronté à la pollution et à la pauvreté dans cette région, ce qui m’a pas mal choqué. Puis, en continuant la route, vous serez confronté aux « barrages » organisés par les enfants Wayuu qui tirent des cordes devant les 4X4 pour les forcer à s’arrêter afin d’obtenir des gâteaux et de l’eau. La pauvreté dans cette région est saisissante… Je garde malgré tout un magnifique souvenir des paysages de La Guajira, que je ne reverrai probablement jamais ailleurs. Je garde également un beau souvenir de ma rencontre avec Noelia, une jeune Wayuu de 16 ans qui a partagé la culture de son peuple avec moi durant tout le séjour. L’avis de Sarah :
L'avis de Fabrice
La Guajira fut une de mes premières destinations en Colombie, en 2011. Et, comment dire…Je m’en suis pris plein les yeux.
Cela reste pour moi un super souvenir. Alors, certes, les premiers instants dans un pays, c’est toujours, ou presque, plus fort.
Pour autant, je garde encore des images du désert plongeant dans l’océan. Magique je vous dis. C’est pour moi un des tops 5 des plus beaux paysages de Colombie.
Aviez-vous déjà entendu parlé de la Guajira ? Cette région fait partie des plus reculées de la Colombie et c’est un incontournable à visiter lors de votre voyage. Je n’ai plus qu’à vous souhaiter un beau séjour dans le pays des Wayuu !
(qwerty)Magnifique image, description courte qui nous emmene dans des paysages que beaucoup d’entre nous reveraient de voir de leur propre yeux un jour… 😀
par contre, le bout de corde, je ne sais pas si c’est la fatigue ou si l’effet est voulu… mais au debut, j’ai cru que c’etait une chenille geante !
Elle a de drôles de couleurs ta chenille géante Piotr:-)
C’est vraiment un beau site. Et encore, tu as pas dans les photos le bruit de l’océan!
Fabrice,
Tes photos sont magnifiques !
Tu m’as rappelé un long week-end de cueillette d’algues sur une ile en mer, appartenant aux Tsimshians (Port Simpson, BC. Canada).
Nous étions sur un minuscule bateau de pêche qui plongeait en continu entre des vagues du Pacifique au moins 4 fois plus hautes que lui. Je n’ai jamais de ma vie autant chanté en mer: « Amazing Grace, It’s a long way to Tiperary », tout notre répetoire y est passé.
Merci pour ces descriptions qui donnent la bougeotte !
Merci Marie!
C’est dans quelle partie du Canada ton île?C’est loin de Vancouver? Tu habites de ce côté là au fait?
Port Simpson est environ à 600 milles au nord de Vancouver. http://www.roadsidethoughts.com/bc/port-simpson-nearby.htm
J’y ai enseigné 1 an. Au printemps, les Tsimshians avaient l’habitude de se rendre sur de petites iles inhabitées où ils récoltaient des algues. D’où le voyage en petit bateau de pêche et la nuit dans une longhouse. Je vais retrouver mes photos et je crois que je vais les mettre en ligne, dans un petit montage sur YouTube.
J’habite au Québec !
Le coin a l’air vraiment intéressant! Je note pour la fois où j’irais dans ton pays;-)
Pas mal tout ça !
Un petit coté bien sauvage que j’aime bien …
Vu ton blog, tu adorerais cet endroit!
Y a des chances, j’aime bien ce genre de paysages 😉
Très belles photos, fabrice. Quelle sera ta destination suivante? Sinon je me demandais comment tu découvrais ce genre d’endroit: tu demande a la population? Tu avais planifié en France? Car a te lire, j’ai l’impression de lire les aventures d’Indiana Jones, tu sors complètement des sentiers battus 🙂
En fait, c’est simplement en parcourant le Lonely:-)
C’est vrai que ce lieu est assez à l’écart, peu de voyageurs font l’effort pour y aller. Tant mieux remarque:-)
Je planifie rarement mes voyages en fait, sauf si je part 10 jours, et encore.
La population peut être aussi une bonne source d’info cela dit!
Prochaine destination dans une semaine: Medellín puis la cité perdue!
Salut Fabrice,
cette plage me fait étrangement penser à une portion de plage de Cap Cod, où tout est sauvage et boudé des touristes puisque non-conventionnel. Mais pourtant, c’est tellement un bel endroit. On pourrait y passer des heures sans jamais se lasser.
Il y a aussi des dunes à Cap Cod?
Tu sais quoi? J’ai toujours voulu y aller! Juste car j’ai lu avant beaucoup de romans qui s’y passent. Des thrillers notamment ceux de Marie Higgins Clark:
Tu sais quoi? La première fois de ma vie où j’ai mis les pieds à Cap Cod, j’ai été drôlement déçu… Justement pour l’aspect de la plage, avec ses dunes et ce vent constant qui selon ma perception de l’époque semblait détruire le paysage. Mais après quelques heures, je suis tombé sous le charme. Ma copine et moi avons donc passé la journée entière sur la plage à faire des pitreries, comme creuser un trou dans le sable et s’y enterrer pour ne laisser dépasser que la tête… Tu vois le genre?
Mais en fait, c’est l’aspect solitude de cette plage que j’ai aimé. Très sauvage comme endroit (du moins certaines parties) mais combien agréable. Et la voile là-bas est plutôt excitante. Tu aimerais.
Je pense que j’aimerais oui! Le côté sauvage, c’est bien l’idée que je m’en fait!
En face de Cape Cod, il y a l’île de Nantucket qui est à voir.
Attention, c’est assez friqué mais l’ambiance est absolument fascinante si l’on est sensible au genre.
Les baraques sont superbes, les plages peu visitées (surtout si l’on y va hors saison).
Personnellement, je n’avais pas été vraiment intéressé par Cape Cod…
L’Ile de Nantucket est effectivement quelque chose à voir! Vu des airs, elle ressemble au squelette d’une tête de poisson… Et tu as raison quand tu dis que c’est un endroit friqué. D’ailleurs, une toute petite habitation là-bas coûte souvent plus d’un million de dollars. C’est le prix de base en passant par le marché de l’immobilier.
Mais pour le reste c’est assez génial. 123 km carrés, entourée de plage (on peut même y faire du surf et du kyte) et toute cette brume qui l’entoure au petit matin pour ensuite se dissiper…
Pour s’y rendre, je conseille de prendre le ferry (environ 2 heures) plutôt que l’avion. Pourquoi? L’expérience est magique. 2 heures dans la brume la plus complète et l’ile qui apparait au tout dernier moment. Comme on dit, ça en vaut la peine.
ha oui en effet, décrit comme ca, c’est tentant:-)
Ha tu connais! Tu as fait la côte est?
Cette région est fréquentée par la jet set de la côte est; j’avais vu un reportage, de sacrés villas dans le coin!Mais bon, n’empêche, j’aimerais bien voir le coin!
Superbes photos, ça donne clairement envie !
Très jet-set en effet l’ile de Nantucket. Mais n’empêche. Très bel endroit à visiter. Non loin de là, il y a aussi Martha’s Vineyard (une autre ile) que fréquentait les Kennedy à l’époque. À Nantucket, on peut aussi louer des vélos, des scooters ou même une Jeep pour visiter l’Ile.
Pour ma part, ce qui m’attirait le plus de nantucket au départ était qu’elle fut le canevas sur lequel Melville, l’auteur de Moby Dick, a fait appareiller le Pequod au moment où le méchant capitaine Achab a décidé d’en finir avec la fameuse baleine. Même que pour un peu, on sent encore l’esprit des baleiniers juste à marcher en bordure du port et en visitant le musée de la baleine. D’ailleurs, à l’époque, plusieurs baleiniers partaient de Nantucket pour chasser le cétacé.
Tu as raison, j’avais complètement oublié le musée de la baleine qui est à faire absolument.
Voir les conditions dans lesquels ces gars allaient affronter des baleines des milliers de kilomètres plus loin…
Ca m’avait soufflé !
Je ne savais pas!
Note pour plus tard: lire un jour ce classique:-)
@Fabrice (Posted avril 6, 2011 at 6:37) :
Je pense que c’est à moi que tu posais la question ? Oui, je connais un peu. En fait, j’ai fait une grande partie des sites touristiques des Etats Unis quand j’étais plus jeune.
Dans le coin, je recommande aussi Boston qui est une ville avec une ambiance très sympa (et assez différente de celles qu’on rencontre habituellement aux States)
Tiens, sinon, on ne peut aller plus loin que 3 niveaux d’indentation dans la discussion on dirait ? (je ne pouvais pas te répondre directement)
Oui Boston a l’air sympa en effet, de ce que j’ai lu!
Merci pour la remarque sur les comms, c’est étrange, je ne savais pas. Je note! Si quelqu’un à une solution…
Fantastique, je prends note du lieu !
Ca a l’air somptueux 🙂
Il a l’air bien parti ton voyage, non?
NowMadNow
Ca va, je ne me plaint pas:-)
Magnifique endroit!!
Merci pour cet article Fabrice. Très intéressant. Je serai en Colombie tout le mois de mai et un détour par la Guajira s’impose 😉 je ne savais trop si j’allais trouver un moyen de locomotion sur place. Tout ce que j’ai pu lire avant ton article c’est que ce n’était pas desservi par les bus, ceux-ci s’arrêtant aux portes de la péninsule… Mais apparemment c’est possible ! Pour le taxi et le pick up t’as trouvé sans trop de difficultés ? ca t’a couté combien ?
Pas de soucis Laurent, tu trouveras sur place 🙂 Je ne me souviens plus du prix, mais pas très chère. Bon voyage 🙂
Bonjour Fabrice,
Je suis l’attachée de presse de l’Office du Tourisme de la Colombie, et je suis donc attentivement votre blog !
Pouvons- nous nous contacter ?
Bien cordialement,
Clémence Rebours
Bonjour Clémence,
Je vous envois un mail 🙂