J’ai kiffé la réserve de Paracas au Pérou ! Un documentaire du National Géographique !
31Vous connaissez les documentaires du National Géographique ? Et bien, j’ai eu l’impression d’en vivre un en vrai ! Et ceci grâce à la réserve naturelle de Paracas au Pérou, un incroyable endroit, une vraie beauté de la nature, et je pèse mes mots !
- 1. La réserve de Paracas : manchots, otaries, dauphins…
- 2. Paracas : les îles Ballestas
- 3. Que faire et que voir à Paracas ?
- 4. Le candélabre
- 5. Le centre d’interprétation de Paracas
- 6. Faire de la plongée sous-marine
- 8. Le parc de Paracas
- 9. Les cultures de coquilles Saint-Jacques
- 10. L’Oasis de Morón
- 11. Surfer à San Gallán
- 12. Où loger à Paracas ?
- 13. Comment aller à Paracas ?
- 14. Quand visiter Paracas ?
- 15. Instinct Pratique
La réserve de Paracas : manchots, otaries, dauphins…
Un des lieux les plus beaux que j’ai vu question nature. Imaginez : un désert qui tombe dans l’océan, les couleurs d’un paysage désertique rencontrent le bleu du Pacifique. Il y a peu d’endroits comme cela sur la Terre. Au large, les petites îles Ballestas sont pleines de vie, territoire des otaries, des manchots et de milliers d’oiseaux ! Il y a même des dauphins, oui j’en ai vu dans la baie !
Cette réserve, créée en 1975, s’étend sur une superficie de plus de 3300km carrés, englobant à la fois des terres et des zones marines. Connue pour ses formations rocheuses impressionnantes et ses plages de sable blanc immaculé, la réserve de Paracas offre un spectacle à couper le souffle.
Paracas est un gros village à 4 heures au sud de Lima, avant Nazca. C’est un village de pêcheurs, il n’y a qu’à voir les nombreuses embarcations ancrées dans la baie. C’est aussi un site naturel de premier plan au Pérou.
De nombreuses espèces viennent ici se reproduire. Il faut dire que l’océan est ici une vraie soupe, remplis de nutriments et de vie. Des milliers d’oiseaux peuplent les îles Ballestas : hérons, pélicans et bien d’autres.
Ici, les pélicans sont quasiment domestiqués ! On leur donne à manger et ils n’ont vraiment pas peur de la proximité de l’homme. J’ai même vu, dans le parc national, un cuisinier chassant un pélican qui voulait rentrer dans la cuisine se servir !
Les otaries, c’est quelque chose ! Les îles en abritent des milliers ! Elles sont affalées au soleil ou à l’ombre sur des plages de galets. C’est quelque chose le bruit de centaines d’otaries !
Je tombe bien en plus, c’est la période des naissances ! De nombreux petits apprennent les rudiments de la vie et notamment à nager sous l’œil attentif de leurs mères.
Les mâles se repèrent facilement : ils pèsent 300 kilos, deux fois le poids d’une femelle ! C’est eux qui font la loi !
Paracas : les îles Ballestas
Souvent surnommées les « Galapagos des pauvres », les îles Ballestas sont un autre point fort de la réserve de Paracas. Accessibles en bateau depuis la côte, ces îles abritent une faune impressionnante, notamment des colonies d’otaries, de pingouins de Humboldt et d’oiseaux marins. Vous pourrez observer des colonies d’otaries, de pingouins et d’oiseaux marins.
Les îles furent pendant des siècles une zone de production de guano.
Qu’est ce que le guano ? Et bien, ce sont les excréments des oiseaux marins et des chauves-souris. Et oui, vous avez bien lu ! C’est un très bon engrais, riche en composés nitrés. Au XIXème siècle, le Pérou était le premier producteur mondial ! Des centaines de travailleurs habitaient alors les îles pendant des mois en vase clos.
La visite est un peu « touristique », vous vous retrouverez en effet avec une dizaine de personnes dans un bateau rapide. Plusieurs bateaux se suivent, cela dit, cela reste correct. Les otaries n’ont pas l’air d’être trop dérangé !
Si vous souhaitez faire la visite avec un guide pour ne manquer aucune information et tout connaître des îles Ballestas, vous pouvez également profiter d’une excursion guidée. La plateforme Get Your Guide vous propose de partir pour une aventure mémorable en compagnie d’un guide expérimenté ! Ce périple est parfait pour ceux désirant explorer la nature et l’histoire du littoral péruvien.
Vous entamerez votre voyage depuis le port de Paracas, où vous monterez à bord d’un bateau respectueux de l’environnement en direction des îles Ballestas. En chemin, vous aurez l’occasion d’apercevoir le célèbre géoglyphe du Candelabre, qui a fasciné les chercheurs pendant des siècles. Une fois arrivés aux îles Ballestas, vous vivrez une expérience unique en observant une grande variété d’animaux marins, tels que des lions de mer, des manchots de Humboldt, des pélicans et de nombreux oiseaux marins.
Réserver son excursion aux îles Ballestas
Que faire et que voir à Paracas ?
A Paracas, vous trouverez une multitude d’activités passionnantes et de sites à explorer, suivez mes conseils !
Le candélabre
Vous connaissez bien sûr les lignes de Nazca. Et bien Paracas possède un motif du même type : une sorte de chandelier à trois branches. Le dessin est gravé sur le flanc d’une paroi rocheuse face au large. Le motif a traversé les années grâce au fait que la région est extrêmement sèche, il ne pleut que… 2 jours par an !
Le « Candélabre » de Paracas est une gigantesque figure géoglyphe gravée sur le flanc d’une colline. Cette immense figure en forme de chandelier mesure environ 180m de long et est taillée dans le sol rocailleux.
On estime que le Candélabre de Paracas a été crée entre 200 avant j.-C et 600 après J.-C, bien que sa signification exacte et les personnes qui l’ont créé restent un mystère. Certains pensent qu’il pourrait avoir été utilisé comme point de repère pour les navigateurs anciens, tandis que d’autres théories suggèrent qu’il avait une signification religieuse ou symbolique pour les anciennes cultures de la région.
Pour voir le Candélabre de Paracas, il est généralement possible de le faire en bateau lors d’une excursion depuis le port de Paracas. Les touristes peuvent admirer cette impressionnante figure géoglyphe depuis la mer, offrant une vue spectaculaire sur le littoral de Paracas.
L’histoire du Candélabre de Paracas est enveloppée de mystère et d’intrigue, ajoutant à son attrait pour les visiteurs et les chercheurs. Bien que son origine et sa signification exactes restent inconnues, cette impressionnante figure géoglyphe continue de fasciner ceux qui la voient et de susciter des spéculations sur son passé mystérieux.
Plusieurs hypothèses expliquent l’origine de ce dessin. Certains évoquent bien sûr une relation avec les lignes de Nazca. Le hic, c’est qu’à Nazca, les poteries locales portaient aussi ces motifs. Or, à Paracas, personne n’a rien trouvé…
Autre hypothèse : les pirates. Au XVIème siècle, la région était une zone de trafic. Le motif indiquerait l’emplacement d’un trésor qui serait caché dans une grotte sous la surface. Pas très discret je trouve comme aide mémoire non ? Où est la bonne vieille carte avec un X ?
Une autre hypothèse veut que ces lignes aient été faites par une civilisation venue d’ailleurs… Bon, je passe…
Le centre d’interprétation de Paracas
Le centre d’interprétation de Paracas est un lieu essentiel pour ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension de la réserve naturelle de Paracas et de son écosystème marin unique. Situé à proximité de l’entrée principale de la réserve, ce centre offre une gamme d’expositions interactives, d’informations éducatives et d’activités qui mettent en lumière la biodiversité de la région, son histoire naturelle et culturelle, ainsi que les efforts de conservation en cours.
Les visiteurs peuvent explorer des expositions sur la faune et la flore de Paracas, notamment les oiseaux marins, les flamants roses, les lions de mer et les tortues marines. Des panneaux informatifs, des maquettes, des vidéos et d’autres supports visuels sont utilisés pour illustrer les différents écosystèmes de la région et les espèces qui y vivent.
En plus des expositions sur la nature, vous pourrez, au centre d’interprétation de Paracas, trouver des informations sur l’histoire et la culture de la région, y compris les anciennes civilisations qui ont peuplé ces terres et les vestiges archéologiques qui témoignent de leur présence.
Si vous avez des questions, les guides et les naturalistes qualifiés sont disponibles pour fournir des visites guidées du centre d’interprétation et des environs pour une expérience éducative plus enrichissante.
Faire de la plongée sous-marine
La plongée sous-marine est une autre activité qu’il est possible de faire lors d’un séjour à Paracas. C’est, en effet, une destination populaire pour les amateurs de plongée en raison de ses eaux riches en vie marine et de ses sites de plongée variés.
Les eaux de Paracas abritent une grande diversité de poissons tropicaux, de coraux colorés, de raies, de tortues de mer et même parfois de requins.
Les sites de plongée les plus célèbres de la région comprennent les îles Ballestas où vous pourrez observer une grande variété de vie marine. Parmi les nombreuses plages idéales pour la plongée et le snorkeling, on peut également citer La Mina, Lagunilla et Mendieta, des trésors naturels réputés pour leurs richesses sous-marines.
Réservez votre plongée sur le site internet de Get Your Guide et préparez vous à vivre des moments inoubliables pour moins de 150€ par personne !
Le parc de Paracas
Vous pouvez enchaîner l’après-midi par une ballade dans le parc en mini bus. Pas d’autres choix.
Le désert est toujours aussi beau avec ce mariage avec le bleu de l’océan. De petites falaises au pied desquelles les vagues se fracassent, un vent frais, et la pureté de l’atmosphère.
On tire du sel de ce désert. La route est d’ailleurs constituée d’un mélange de sel et de terre. Vu qu’il ne pleut pas, aucun risque que le sel se dissout ! La production est en partie exportée au Canada, en Italie et en France pou les routes l’hiver.
J’ai beaucoup aimé la beauté de la côte et de la plage rouge. La couleur du sable est due à des sédiments volcaniques déposés par l’océan.
Les cultures de coquilles Saint-Jacques
Les cultures de coquilles Saint-Jacques à Paracas représentent une activité importante dans cette région côtière riche en ressources marines. Les coquilles Saint-Jacques, également connues sous le nom de pétoncles, sont cultivées dans les eaux riches en nutriments au large de Paracas, offrant une source de revenus vitale pour les communautés locales et contribuant à l’économie régionale.
Des fermes marines sont situées le long de la côte où sont élevées les larves de coquilles Saint-Jacques jusqu’à ce qu’elles atteignent une taille appropriée pour être transférées dans les zones de culture principales. Une fois arrivée à maturité, les coquilles Saint-Jacques sont récoltées par les pêcheurs locaux à l’aide de bateaux et d’équipements spécialisés. Elles sont ensuite préparées pour la vente sur les marchés locaux ou exportées vers d’autres régions du Pérou et du monde.
Si le sujet vous intéresse, il est possible de visiter des cultures de coquilles Saint-Jacques lors de votre séjour à Paracas. Renseignez-vous auprès de votre hostel ou des agences de tourisme du village.
L’Oasis de Morón
Moins connue que sa célèbre voisine l’Oasis de Huacachina, l’Oasis de Moron est un véritable joyau caché au cœur du désert côtier. Cette oasis offre un contraste saisissant avec le paysage aride environnant, avec ses palmiers luxuriants, son eau cristalline et ses dunes de sable impressionnantes.
L’une des activités les plus populaires à Moron est le buggy et le sandboard. Les visiteurs peuvent louer des buggys tout-terrain et partir à l’aventure à travers les dunes de sable spectaculaires. Une expérience palpitante et des vues à couper le souffle sur le désert et l’océan Pacifique ! Les conducteurs expérimentés emmènent les visiteurs à travers des pistes passionnantes, en explorant les paysages désertiques variés de la région.
Une fois que vous avez exploré les dunes en buggy, il est temps de profiter du sandboard. Équipé d’une planche spéciale, vous pourrez glisser sur les pentes des dunes de sable, procurant une montée d’adrénaline et des souvenirs inoubliables.
Planche à sable et buggy dans l’oasis de Huacachina !
Surfer à San Gallán
San Gallán est une plage offrant des vagues idéales pour la pratique du surf. Nichée le long de la côte spectaculaire de Paracas, cette plage attire les surfeurs de tous niveaux avec ses conditions optimales et ses paysages à couper le souffle.
Les vagues de San Gallán sont réputées pour leur constance et leur puissance, en faisant un endroit parfait pour les amateurs de surf et quête d’adrénaline. Que vous soyez débutant ou expérimenté, vous trouverez des vagues adaptées à votre niveau, ce qui en fait un lieu attrayant pour les surfeurs de tous horizons.
En plus de ses vagues de classe mondiale, San Gallán offre également un cadre magnifique pour les amateurs de plein air. Les falaises imposantes, les eaux bleues cristallines et le sable doré créent une toile de fond impressionnante pour une journée de surf inoubliable.
Où loger à Paracas ?
Je vous propose une suggestion de 3 logements pour visiter Paracas, adapté aux envies et besoins de chaque voyageur.
#1 Paracas Backpackers house
Cette première option sera parfaite pour les voyageurs à la recherche d’un logement économique. Cette auberge de jeunesse est située à 100m de la plage d’El Chaco, et à 10m du centre d’interprétation. Le personnel de l’auberge se tient à votre disposition pour vous aider à organiser votre séjour à Paracas.
Vous pourrez profiter d’une cuisine commune, d’un espace de détente où sont suspendus des hamacs, d’une agréable terrasse et d’une connexion WI FI gratuite. Du thé et du café sont disponibles gratuitement tout au long de votre séjour à l’auberge Paracas backpackers house.
Les dortoirs et chambres privées sont équipés d’une salle de bain privative. Le lit dans un dortoir mixte est à moins de 10€ la nuit.
Cliquez ici pour vérifier la disponibilité du Paracas backpackers hostel
#2 Betania
Idéalement situé à seulement 500m de la promenade d’El Chaco, l’hôtel Betania vous permettra de visiter Paracas en toute détente. La réception est ouverte 24h/24 pour répondre à vos besoins et pour découvrir les environs, des visites guidées peuvent être organisées directement depuis l’établissement.
Le Betania propose un salon commun, offrant ainsi un espace de détente convivial, ainsi qu’une terrasse bien exposée pour profiter du soleil.
Les chambres familiales confortables sont dotées d’une salle de bains privative avec baignoire, et d’articles de toilette gratuits. Comptez une cinquantaine d’euros pour une chambre double.
Cliquez ici pour vérifier la disponibilité de l’hôtel Betania
#3 Viajero Kokopelli Paracas hostel
Le dernier hébergement où je vous suggère de séjourner à Paracas, est le Viajero kokopelli Paracas hostel. Cette auberge de jeunesse est parfaite pour les voyageurs solos qui pourront profiter des lits en dortoir à un prix économique, ou des couples ou amis qui souhaitent une chambre privée.
L’auberge de jeunesse jouit d’un emplacement privilégié en bord de mer, offrant une vue imprenable sur l’océan depuis sa terrasse avec bar. Une connexion WI FI gratuite est disponible dans tout l’établissement. Pour votre confort, le Viajero kokopelli hostel propose une réception ouverte 24h/24, un salon commun et une salle de jeux équipée d’un billard. Chaque matin, un petit-déjeuner inclus dans le tarif des hébergements vous sera servi.
Cliquez ici pour vérifier la disponibilité du Viajero Kokopelli hostel
Comment aller à Paracas ?
Pour se rendre à Paracas, plusieurs options de transport sont disponibles en fonction de votre point de départ.
Vous pouvez prendre un bus depuis Lima, la capitale du Pérou, jusqu’à Paracas. Plusieurs compagnies de bus, telle que « Cruz del Sur », proposent des trajets réguliers entre ces deux villes. Le trajet dure environ 4 à 5h en fonction des conditions de circulation et un billet simple coûte environ 15€.
Si vous commencer votre voyage au Pérou par visiter Paracas, au départ de la France, alors vous devrez prendre un vol jusqu’à l’aéroport international Jorge Chavez à Lima. Puis prendre un bus, une voiture ou un service de transfert jusqu’à Paracas.
Si vous préférez conduire, vous pouvez louer une voiture à Lima et prendre la route panaméricaine (Panaméricana Sur) en direction du sud jusqu’à Paracas.
Quand visiter Paracas ?
La meilleure période pour visiter Paracas au Pérou est généralement pendant la saison sèche, qui s’étend de mai à octobre. Pendant ces mois, le temps est plus stable, avec moins de pluie et des températures agréables, ce qui est idéal pour profiter des activités en plein air telles que les excursions en bateau vers les îles Ballestas, les visites de la réserve naturelle et les balades dans les dunes de sable.
Il est bon de garder à l’esprit que la période de juin à septembre est considérée comme la haute saison touristique, ce qui signifie que les tarifs des hébergements et des visites peuvent être légèrement plus élevés et que les attractions sont plus fréquentées.
Cependant, il est important de noter que Paracas est une destination populaire en raison de sa beauté naturelle et de ses attractions uniques. Même pendant la saison des pluies, qui va de novembre à avril, vous pouvez encore profiter de nombreuses activités, bien que vous puissiez rencontrer des averses sporadiques.
Instinct Pratique
– Préférez la ballade le matin tôt vers 8 heures
– Autour de 40 sols (12 euros) la balade de deux heures autour des îles. Je suis passé par Pisco Travel (regardez sur le net).
– 40 sols la ballade dans le parc.
L'avis de Fabrice
Des années aprés ce voyage, je garde de Paracas un super souvenir. Des paysages de dingue, la richesse de la faune, bref, un émerveillement, vraiment.
Impossible de rater ce site si vous passez dans le coin !
Avec Cuzco et le Machu Picchu, un de mes tops 3 au Pérou !
Préparer son voyage :
–Un hôtel où loger ? Voici une sélection sur cette page !
–Billet d’entrée Machu Picchu !
–Louer une voiture pour un roadtrip de fou !
Je ne m’attendais pas à autant de beauté vraiment, j’ai été emballé par le lieu ! Franchement, cela ne vous dit pas ? Visiter Paracas fait parti des incontournables à faire lors d’un voyage au Perou, vous ne pouvez pas passer à côté !
Salut Fabrice,
J’y étais allé lors de mon voyage au Pérou. J’avais apprécié mais le temps était très brumeux ce jour là en mer ce qui était un peu dommage.
Bon voyage dans ce super pays.
J’ai eu de la chance, malgré la période des pluies, le temps était top!
C’était un régal vraiment!
Tu donnes envie avec tes récits et tes photos… En tout cas ça devait être hilarant le Pélican essayant de voler de la nourriture dans la cuisine…
Et tu n’as pas essayé de chercher ce trésor des pirates?
ah, si j’avais eu mon équipement de plongée…J’imagine que toutes les caves ont dut être passés au peigne fin…
un article digue de national geo 🙂
J’adore et t’envie de vivre, voir ce que tu vis en ce moment. Je te souhaite vraiment de profiter un maximum, on le vie qu’une fois je pense !
J’espère pouvoir réaliser ce rêve bientôt. Compte sur moi pour suivre tes actu 🙂
Pas mal ce petit reportage au Pérou, j’aime bien le coup du chandelier, faut ouvrir l’oeil pour le voir si on n’est pas prévenu !
Concernant les travailleurs de guano, j’avais lu une histoire (je ne sais pas si c’est vrai car bon voila…) comme quoi sur certaines îles les travailleurs devenaient fous au bout de plusieurs mois d’isolation car on les avaient « abandonnés » et donc ils se suicidaient en se jetant du haut des falaises. Les corps permettaient de nourir les oiseaux qui ensuite allaient générer toujours plus de guano et ainsi de suite… C’est un peu gore xD !
@ Julien sérieux? C’est pas impossible pour les suicides vu l’isolement…J’espère quand même qu’ils récupéraient les corps par contre!
@Jenny, ah mais j’espère bien revenir un jour!
Je ne saurais te dire pour la véracité de l’histoire car ça me parait gros quand même.
Par contre si c’est vrai, c’est pas des corps qu’ils récupéraient mais des squelettes alors ! :p
un article intéressant comme d’hab
sachant que tu parles de national géographique,il lance un concours sur les chats et les chiens cela peut ,peut être intéresser toi et tes lecteurs
Tu vas participer j’en suis sûr non?
Sinon, au Pérou, ils sont pas très chats franchement! J’en ai pas vu beaucoup! Les chiens dominent largement!
Je ne savais pas que Paracas avait un symbole similaire à ceux de Nazca !
Et niveau taille c’est assez conséquent ?
En tout cas je réfère la version avec les trésors 🙂
Le symbole est bien plus petit oui. A Nazca, un symbole courent sur des kilomètres et là, c’est juste un flanc de montagne.
C’est un grand mystère cette ligne, mais aussi celles de Nazca car il y a encore débat sur leur origine!
Une autre hypothèse, c’est que c’est les troupes de Simon Bolivar qui auraient gravé ce symbole lors de la conquête du pays. Un signe de reconnaissance ou quelque chose comme cela…
J’aime beaucoup! Voila une raison de plus qui me pousse à quitter mon boulot pour changer de vie et partir à la conquête du monde!
Elles sont belles tes photos. Les paysages me rappellent la côte voisine du Chili (Arica) où je suis allé il y a plusieurs années.
Oui, c’est la même région géologique, très similaire!
Le Perou est un pays que j’ai envie de visiter depuis longtemps (c’est fou comme regarder des documentaires donne des envies!), tes photos sont superbes et donnent encore plus envie d’aller y faire un tour. Tu dis que niveau logement c’est un peu limite. Au final personne ne sait d’ou elles viennent ces lignes? L’hypothese du tresor est plutot cool!
C’est sympa aussi des sites qui gardent leur mystères non? 🙂
Oui c’est sympa aussi. Je suis du genre super curieuse: je veux savoir et apres je me dis que finalement c’est mieux de garder le mystere 🙂
Ça me rappelle des beaux souvenirs! J’ai visité ces sites en buggy, c’était génial! Et le désert a quelque chose de particulier, surtout quand il y a l’Océan à côté! Bon mis à part qu’une fois le buggy ne voulait plus démarrer alors que le soleil commençait sérieusement à disparaître (et donc le vent se lever)..et je sentais le guide/chauffeur commencer à paniquer! hehe
Et le parc national de Paracas est le seul parc national marin au Pérou, alors en effet, ça vaut la peine de le visiter.
Par contre, on me dit qu’il est pas possible de piloter le buggy non? C’est moins drôle je trouve non?
Tu as essayé le surf des sables?
En fait pour la majorité des compagnies c’est un chauffeur/guide qui conduit, par contre la compagnie avec qui j’étais ont des buggy individuels donc oui on peut les conduire. Quand j’ai été ce n’était qu’un projet mais aujourd’hui ils sont en fonction et c’est paraît-il très populaire (tu m’étonnes!). Pour les dunes, oui j’ai essayé le sandboard, mais assise, notons que je n’ai jamais fait de ski/snowboard. C’était fou! Les dunes sont vraiment hautes, c’est long à monter et génial à descendre.
je vais essayer si j’ai le temps!
Jolies photos!
J’ai envie de réagir sur les buggy.
Quel dommage de détruire les magnifiques dunes qui entourent Ica avec ces drôles de machines. Et en plus elles sont bruyantes!
Elles gâchent une superbe montée pour aller admirer le coucher du soleil. Heureusement, il est possible de monter sur le versant opposé à celui que ces engins motorisés empruntent.
Allez Fabrice, prend le temps et monte à pied. C’est fabuleux!
Je ferais bien les deux:-)
Non, mais c’est vrai que c’est pas très écolo, et si tu es là pour la tranquillité…
Tu penses vraiment que ces machines les détruisent?
Malheureusement la pollution est bien réelle et pas que sonore! Les moteurs crachent tout ce qu’ils peuvent.
Les traces sur les dunes (traces de roues mais aussi rejets d’échappement) ne s’effacent pas malgré le vent.
J’ai fait les mêmes constats dans les déserts d’Afrique avec les 4X4
Je ne suis pas écolo intégriste, mais ici, vraiment, les buggy ne servent qu’à faire gagner de l’argent aux agences.
Le site se visite parfaitement à pied et s’apprécie d’autant plus!
Ensuite, c’est un choix individuel.
Tu as raison Michel, je ne suis pas non plus un fan des 4×4 et du Paris Dakar….
Probable, je n’ai pas été à Ica, mais à Paracas. J’ai fait 2 tours et je n’ai croisé personne. Après, il faut choisir son endroit et sa compagnie. Le boss de la compagnie avec laquelle j’ai été a acheté un oasis et il s’assure de préserver l’environnement (et d’avertir tous ceux qui passent par là). Aucun déchet, et l’eau reste absolument pure. Tu sais, c’est comme les autos, les bus, les avions, etc. On ne peut pas empêcher les gens de visiter. Oui c’est de la pollution (environnementale et auditive) mais il s’agit de trouver le bon coin! 😉
Tout simplement magique! Et sinon, toujours pas rencontrés d’étranges être venus d’ailleurs attirés par ces fameux signes? ;D
Des touristes? 😉
Une astuce pour voir la même faune sans le coté usine à touristes : les iles Palomino au large de Lima.
La visite permet en plus de se baigner avec les lions de mer.
Sinon pour l’avifaune, n’importe quel endroit sur la côte du Pérou fait l’affaire et l’on peut observer facilement 10 à 15 espèces à certains endroits… sans touristes, sans droit d’entrée, etc.
Merci Thomas, je ne connaissais pas ces îles.Elles sont toutes proches de la ville?