Road trip au Monténégro : mon itinéraire entre mer et montagne

Me voici partie pour un petit road trip au Monténégro de 6 jours au travers de ce petit pays grand comme 2 départements français. J’ai choisi volontairement l’arrière-saison, c’est-à-dire le mois d’octobre. En effet quand on voyage en mode road trip, c’est plus agréable de n’avoir pas grand monde sur les routes et de pouvoir se garer facilement pour profiter des paysages qui s’offrent à nous.

Mon arrivée au Monténégro et départ du road trip

En survolant le Monténégro, on est surpris par le nombre de montagnes et par l’étendue du lac de Skadar (Skadarsko Jezero). Cela annonce la couleur : voyage entre le bleu de la mer et des lacs et le vert des montagnes et tout cela au bord de la mer Adriatique.

En descendant de l’avion, je suis étonnée par ce petit aéroport à taille humaine. Je n’avais pas réalisé avant de partir, mais ce road trip au Monténégro va sûrement être un des plus reposants que je n’ai jamais fait, tant que tout à l’air facile d’accès par sa taille. Cela fait du bien je dois avouer.

Très vite je suis accueillie par l’agent de location de voitures qui gentiment m’accompagne jusqu’à l’agence à 5 minutes de là. Dans leur bureau me voici un peu revenu 20 ans en arrière : pas d’imprimante, juste de formulaire à remplir à la main, un téléphone portable qui ne prend pas de photos et une vérification de la voiture en « vrai », avec une personne qui m’explique le Code de la route et quelques modalités d’usage assez utiles. Cela ne m’était plus arrivé depuis longtemps.

Je prends donc en main ma petite voiture, une manuelle avec une direction assistée pas vraiment assistée mais assistée quand même. Me voici toujours 20 ans en arrière !

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En plus de côté humain de cet accueil qui donne le ton de mon voyage, je ressens que ce pays bien que développé, a su garder un côté simple et humble malgré les beautés de lieux.

Voici l’itinéraire de mon road trip :

• Lac de Skadar
• Virpazar
• Ulcinj
• Budva
• Les bouches de Kotor
• Sveti Stefan
• Cetinje
• Le Monastère d’Ostrog
• La région Durmitor et son lac noir
• Podgorica

Itinéraire de mon road trip au Monténégro

Jour 1 : Le Lac de Skadar et le village de Virpazar

La première étape de mon road trip au Monténégro est le lac de Skadar et le village de Virpazar. Ce lac est le plus grand lac du pays. Il est à cheval sur son pays frontalier qui est l’Albanie. Il est longé par une route panoramique qui débute à Virpazar en direction de l’Albanie.

La vue est magnifique, on a l’impression d’être sur un balcon avec l’étendue du lac et les hautes montagnes qui jouxtent au loin. La route est sinueuse, et il est parfois difficile de se croiser avec une autre voiture. En effet, ce lac et ses environs ont été décrétés parc national en 1983. C’est une des plus grandes réserves aviaires d’Europe avec 270 d’espèces d’oiseaux dont les derniers pélicans du continent.

Virpazar est un tout petit village traditionnel, avec quelques maisons en pierre et une vue panoramique sur le lac où partent de nombreuses petites croisières sur des bateaux traditionnels.

En arrivant dans mon premier logement, je suis accueillie par la grand-mère des lieux. Très gentiment elle me montre le petit appartement qui se situe au-dessus de sa maison et m’offre deux verres de Liqueur de Romarin accompagnés de 3 grappes de raisins et de 2 pommes du jardin, m’assurant que cela est 100% bio ! Je suis vraiment touchée, de ses quelques mots d’anglais, elle n’est absolument pas réservée et me pousse à me relaxer, à me détendre après ma journée de voyage.

Jour 2 : La Côte Adriatique, de Ulcinj à Budva, du sud au nord

Le lendemain, sur les recommandations de mon collègue Serbe, je prends la direction de la côte Adriatique, et plus précisément du sud pour Ulcinj à une heure de route. Petite station balnéaire avec sa vieille ville aux portes de l’Albanie.

Le dépaysement est radical. Vieille ville qui rappelle l’héritage médiéval assez bien préservé malgré la guerre dans les années 90. Seuls quelques gravats sont encore à nettoyer dus au tremblement de terre de 1979.

Dans les quartiers plus modernes de la ville, les immeubles non finis d’un côté, suspendu dans le temps côtoient les immeubles flambant neufs, modernes et bien carrés qui me rappellent l’architecture Russe.

Je retrouverais en effet tout le long de mon road trip au Monténégro dans les stations balnéaires cette influence russe sur les nouveaux immeubles. Cela m’a tellement interpellé après quelques recherches je découvre que les promoteurs russes ont pariés sur ce petit pays après l’indépendance en 2006.

En faisant attention aux plaques d’immatriculations, je croise beaucoup de voitures de luxe russes. Je ne m’étendrais pas sur ce sujet, il existe de très bon article à ce sujet sur internet.

Après avoir fait un tour d’Ulcinj, je décide de remonter vers le nord en direction de Bar afin de déjeuner au bord de la mer. Cette ville a été complètement démolie à cause du tremblement de terre et reconstruite. Il n’existe plus de vieille ville.

Bar est surtout connu pour son port de porte-conteneurs pour le commerce international. A l’abri des pins, je trouve un petit restaurant au bord de la plage dégageant de délicieuses odeurs, je me laisse tenter pour y reprendre des forces. Je ne suis pas déçue.

Après ce bon déjeuner, je prends la route pour la direction de Budva sous un temps assez mitigé. Je croise les doigts pour qu’il ne pleuve pas trop. Hélas les dieux du ciel n’entendent pas mes prières. C’est sous la pluie que je visite le monastère de Praskiva perché au-dessus de la route principale et face à la mer. Un monastère typique du pays avec ses 3 clochés.

Sous la pluie toujours, j’arrive au niveau de la petite ville de Sveti Stefan (Saint Stefan) pour admirer la presqu’île aux toits rouges (reconvertie en Palace). La pluie étant de plus en plus intense je décide de ne pas m’y attarder et de me rentrer à Budva, dans mon logement afin de m’y réchauffer un peu.

Il est 17h, après une petite sieste, la pluie a cessé. Un morceau de ciel bleu fait son apparition, plus une minute à perdre avant que la nuit tombe, je chausse mes chaussures et me voici 5 minutes plus tard en marche pour visiter cette ville.

Après 20 minutes à longer la plage, je me retrouve à l’entrée de la vieille ville de Budva, ville médiévale avec sa citadelle et ses remparts datant du 15eme siècle et son petit port de pécheurs et ses barques traditionnelles.

La vieille ville doit son architecte de l’occupation vénitienne durant plus de 300 ans, en 1’400 et 1’700.

Je décide de déambuler au hasard des ruelles aux pavés blancs minutieusement soignées avec ses petits restaurants et ses petits magasins. Comme écrit plus haut lors de ma découverte d’Ulcinj, cette ville a aussi deux facettes : l’héritage du Moyen-âge et l’arrivée de promoteurs russes qui ont reconstruit petit à petit la ville depuis quelques années. La ville est comme coupée en deux.

Finalement c’est peut-être cela la côte Adriatique du Monténégro.

Sur le chemin de retour, je décide de m’arrêter dans une boulangerie pour acheter de quoi à dîner. Je découvre là les pitas au fromage, un véritable délice. Un mélange d’influence grecque et turque.

Jour 3 : Les bouches de Kotor

Le lendemain, troisième jour de mon road trip au Monténégro, je prends la direction des Bouches de Kotor. Elles sont une baie débouchant sur la mer Adriatique et formée de quatre golfes (Novi, Risan, Kotor et Tivat) où surplombent de hautes montagnes. La région est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1979.

Elles sont connues au départ pour ses bases navales militaires de marine austro-hongroise puis de la Marine militaire yougoslave. Elles sont maintenant un des lieux les plus touristiques du Monténégro. Bordées d’un enchaînement de petits villages au passé vénitien avec ses petits ports, on ne peut qu’être sous le charme de cet endroit.

Le paysage me fait penser à un doux mélange entre la Toscane italienne aux cyprès bien taillés en pointe, à des airs du lac de Côme avec ses palmiers bordant la mer et les montagnes dominantes. Les petits villages agrippés au bord des rives montent jusqu’au flanc de la montagne.

Afin d’avoir un aperçu complet de cet endroit, je décide de prendre le ferry après Tivat, pour me rendre à Herceg-Novi et d’emprunter la route qui fait le tour de la baie, en passant par Kotor jusqu’à mon hébergement de jour qui se trouve à côté du ferry.

Pour le déjeuner, je m’arrête dans un restaurant au bord de l’eau, un peu reculé des villages touristiques avec une vue sur les montagnes. L’endroit s’appelle Morinj. J’y déguste un poulpe grillé avec des légumes méditerranéens. Une fois bien rassasiée, je fais un petit détour en me rendant sur une route en hauteur afin d’admirer la vue sur cette baie. C’est magnifique.

Je redescends ensuite au niveau de la baie pour me rendre à Perast, un véritable coup de cœur. Perast est un des joyaux du pays. Le village date comme tous les autres villages de l’époque vénitienne avec ses églises et ses 2 clochers qui prédominent les lieux. Ses maisons et ses palais en pierre blanche sont intacts et magnifiquement bien conservés.

Le village fait face à deux petites îles, l’une est l’île Saint George abritant un monastère et l’autre île abrite l’église Notre-Dame-du-Récif.

Je termine ma journée sous la pluie de nouveau. Je décide de reporter ma visite de Kotor au lendemain puisque d’après la météo, le temps devrait être ensoleillé. J’arrive donc à mon logement du jour, une fois débarquée, la pluie se calme, le soleil réapparaît comme par magie, je me cale sur mon petit balcon avec une vue imprenable sur les Bouches de Kotor face à un magnifique coucher de soleil. Quoi demander de plus ?

Jour 4 : Kotor, Sveti Stefan, Cetinje et le Monastère d’Ostrog

Après une bonne nuit de sommeil, je me réveille de bonne heure vers 7h. Ce qui est parfait car ma journée s’annonce bien chargée au vu de beau temps qui est revenu et je veux en profiter. Je pars en direction de Kotor afin de visiter ses remparts. La vieille ville est entourée des hauts remparts. Entre 1420 et 1797, Kotor et ses environs dépendaient de Venise. On retrouve donc comme dans tous les villages, le même style architectural.

Encore une fois, je suis fascinée par la conservation des monuments ; les églises, les ruelles, les pavés et les petits immeubles. Kotor est aussi réputée pour ses chats, en effet il y a des dizaines de petits chats trop mignons qui font leurs premiers pas dans ces petites ruelles.

Je ne tarde pas trop à repartir en direction de Cetinje, une ville à mi-distance de mon objectif du jour : Le Monastère d’Ostrog. Je programme mon itinéraire en passant par les montagnes afin d’atteindre cette petite ville nichée dans l’arrière-pays. Une heure plus tard, je me retrouve avec vue sur la mer, en direction de Budva ! Google Maps a changé ma route et je ne m’en suis pas aperçue !

Mais rien de grave, tout au contraire, je vais profiter pour visiter Sveti Stefan au bord de la mer. Effectivement quand j’étais passée 2 jours plus tôt, il pleuvait fort et le paysage côtier était quelque peu triste. Avec un magnifique soleil, on ne voit pas le paysage de la même manière. Le bleu de la mer est intense, teinté de plusieurs dégradés : du turquoise au marine.

L’eau est transparente et à bonne température, c’est magnifique. Avec un peu plus de temps, je me serais volontiers jetée à l’eau.

Mais voilà, avec un programme un peu chargé je ne traîne pas pour ne pas arriver trop tard au Monastère. Je reprends donc la direction de Cetinje en faisant bien attention à ce que Google Maps ne me fasse pas encore une petite surprise ! J’emprunte donc une route qui remonte au-dessus de Budva. Je crois que pour moi c’est la plus belle route du monde !

Passée d’une altitude 0 à 600 mètres avec une vue sur la mer Adriatique par beau temps, c’est à couper le souffle. Un véritable balcon sur la mer ! La route bascule ensuite sur l’arrière-pays avec une vue dominante sur les montagnes et le lac de Skarda en toile de fond. Encore une fois je reste sans voix.

J’arrive à Cetinje, cette petite ville nichée dans les basses montagnes sans empreinte russe ou vénitienne. L’architecture est locale avec des habitations de toutes les couleurs.

Elle est la capitale historique du Monténégro et accueille aujourd’hui la résidence principale du président de la République. Elle se situe à 30 km de la capitale Économique qui est Podgorica. Je ne suis pas spécialement attirée par cet endroit. J’en profite tout de même pour déjeuner avant de reprendre la route avec hâte pour ce fameux monastère recommandé chaudement pour mon collègue Serbe.

1h30 plus tard me voici arrivée. Après avoir franchi les quelques dizaines de virages étroits et vertigineux pour s’y rendre, on y ressent très vite l’intensité des pèlerinages en masse qui doivent se faire pendant la haute saison touristique. Cet endroit est chargé de quiétude et de bienveillance.

L’édifice est juché en haut et à flanc de la falaise du Mont Ostrog, cela me fait penser au Monastère de la Panagia Chozoviotissa de l’île d’Armogos, dans les Cyclades grecques.

Le monastère d’Ostrog est un monastère de l’Église orthodoxe serbe. Cet édifice est dédié à Saint Basile d’Ostrog. C’est un lieu de pèlerinage réputé pour ses guérisons miraculeuses.

Je finis ma journée par 1h40 de route pour ma dernière étape de mon road trip au Monténégro : Les montagnes Durmitor perchées à 1’500 mètres d’altitude pour dormir dans une hutte, les maisons traditionnelles en forme triangulaire.

Jour 5 : La région Durmitor et son lac noir

Le Durmitor est un massif karstique se situant dans les Alpes Dinariques. Son sommet, le Bobotov Kuk culmine à 2’428 mètres d’altitude. Je suis accueillie par la maman du prioritaire des lieux. Une dame très gentille qui m’installe malgré le fait qu’elle ne parle pas anglais. Dans ces cas-là, le langage des mains et un sourire effectuent le travail !

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Une heure plus tard, son fils arrive pour me souhaiter la bienvenue et pour m’expliquer un peu le fonctionnement de cet endroit. En effet il ne fait pas chaud, j’ai mis le chauffage électrique à fond et je suis en train de me faire une bonne tisane afin de me réchauffer.

Après ma première nuit dans ma hutte au toit triangle, je me réveille au milieu de couleurs automnales. Le fils vient vérifier si ma nuit s’est bien passée. En effet en cette saison je suis la seule cliente et de plus une cliente qui fait un road trip solo. Mon objectif du jour est de faire une grande boucle dans ce parc national. La route oscille entre 1200 mètres et 2000 mètres d’altitude.

Avec cette alternance de dénivelés, je découvre des paysages complètement différents d’une dizaine de kilomètres à l’autre. De 1’500 mètres d’altitude, mon départ où les arbres commencent à se faire rares, je continue à monter sur une route très bien entretenue jusqu’à 2’000 mètres d’altitude avec un paysage de haute montagne où les températures se rafraîchissent clairement.

Les arbres se sont transformés en pierres rocheuses. L’herbe et les chardons bleus sont recouverts de givre. Le paysage est blanc.

Après 1h15 en haute montagne, la route redescend petit à petit jusqu’à 1’500 mètres d’altitude où je m’arrête déjeuner au seul restaurant de cette grande boucle encore ouvert en cette saison. Le restaurant se situe dans le petit hameau de Trsà, à la croisée de 2 routes de montagne.

Les gens de passage ou les ouvriers du coin viennent y manger. La cuisine est une cuisine de grand-mère, du fait maison, où les odeurs de la cuisine sentent bon. La télévision est allumée sur la chaîne des téléréalités. La serveuse rigole avec un ami tout en incluant dans leurs conversations, les 3 ouvriers venus se réchauffer.

Après ce petit aparté avec des locaux, je continue ma boucle qui me fait vaciller dans la forêt aux milles couleurs orangées, rouges ou jaunes qu’offre cette saison. La route est plus étroite, heureusement peu de touristes mais quelques troupeaux de moutons. La route domine une profonde vallée avant de s’y plonger à cœur perdu dans un canyon jusqu’à 1’000 mètres d’altitude pour y regagner nos mètres perdus de manière radicale.

La végétation change, me voici dans une forêt avec de majestueux sapins verts géants qui petit à petit sont de plus en plus saupoudrés de neige fine.

Je commence par redescendre sur Zabljak où je fais un dernier stop au lac de Noir. Ce lac est un lac glacière composé de deux petits lacs qui suivant la saison peuvent se rejoindre. Je décide de me dégourdir un peu les jambes et de faire le tour du lac. Les côtés du lac sont intéressants à voir et offrent des points de vue assez différents pour les amateurs de photos.

De retour à la hutte, le propriétaire des lieux vient prendre de mes nouvelles pour s’assurer que je suis toujours « en vie » et si ma journée s’est bien passée. Je suis assez touchée par les habitants de ce pays qui tout au long de ce séjour ont été à mes petits soins.

Jour 6 : Retour vers Podgorica et l’aéroport

Je me réveille avec un paysage blanc. La nuit a été froide et la neige a commencé à bien tomber. Je réalise que j’ai eu beaucoup de chance par rapport au temps, il n’aurait pas fallu que je fasse la boucle du Durmitor aujourd’hui avec ma petite voiture pas vraiment équipée pour des temps de neige.

Le temps de faire ma valise et de déblayer la neige qui a recouvert la voiture, me voici parti. C’est la fin de mon road trip au Monténégro. Sur le chemin je me fais une petite analyse de ce pays et de ses habitants. Comme je le disais plus haut et en commençant mon voyage, je n’ai eu de cesse que de me dire que ce pays était facile, à échelle humaine et les gens étaient touchants et bienveillants.

Conseils pratiques

–Louer une voiture pour un road trip de fou !

–Liste des hôtels

-Réserver une activité

-Vols pas chers !

Bilan de mon road trip au Monténégro

Budget de mon road trip

• Hôtels au Monténégro : 35-40 € x 5 nuits = 200 €
• Un plein d’essence = 70 €
• Location voiture (petite voiture) = 120 €
• Vols depuis Zurich = 300 €
• Restaurants x 3 = 60 €
• Pique-niques, dîners et petits-déjeuners dans mes logements = 70 €

Distance parcourue

• Jour 1 : Aéroport/ Virpazar / un morceau de la route panoramique du lac : 60 km
• Jour 2 : Virpazar / Ulcinj (50 km) / Budva (65km) : 115 km
• Jour 3 : Budva / Ferry des bouches (29 km) / Herceg Novi (16 km) / Perast (31 km) / Logement à côté du Ferry (27 km) = 103 km
• Jour 4 : Logement / Kotor (13 km) / Sveti Stefan (32 km) / Cetinje (37 km) / Monastère d’Ostrog (73 km) / Logement durmitor (88 km) = 243 km
• Jour 5 : Tour de la montagne : 80 km
• Jour 6 : Retour vers l’aéroport 128 km

Dans un monde où l’humanité se fait rare, où les grandes puissances mondiales veulent profiter des « petites gens » comme nous pour se faire toujours plus d’argent, ce road trip au Monténégro m’a touché pour retrouver ce qu’on tend à perdre : la générosité.

Je n’aurais que 2 mots à dire pour conclure : « Allez-y ! »

Si vous avez déjà réalisé un road trip au Monténégro, n’hésitez pas à partager vos bons plans en commentaire. 

A propos de l'auteur

Marion

Globetrotteuse et curieuse des différentes cultures et paysages qui font que notre planète est si riche, grâce à ces articles je partage mes expériences parfois insolites et mes photos. Bonne lecture :)