Souvenirs de voyage : pourquoi en ramener? Et quoi ?
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Souvenirs de voyage, objets artisanaux, ramener quelque chose d’un voyage est un réflexe pour beaucoup de voyageurs. Mais quel intérêt au fond ? Pourquoi ne pas s’en passer ?
Mes souvenirs de voyage
Je n’ai jamais été très friand de souvenirs de voyage pour tout vous dire. Quand j’y pense, peut-être que cette attitude vient de mon enfance. Lorsque nous partions l’été quelques jours en France, il arrivait toujours un moment où mes parents me bassinaient au sujet des souvenirs de voyage. Je ne vous parle pas de l’écriture et de l’envoi des cartes postales à la famille…
Bon côté souvenirs, j’y ai trouvé mon compte parfois. Oui, à l’époque, ne rigolez pas, j’aimais bien les boules à neige…
A l’âge adulte, j’ai délaissé cela. Pourtant, un temps, je me suis dit qu’il serait chouette de ramener de chacun de mes voyages un bel objet qui ira plus tard décorer mon chez moi pour mes vieux jours.
Je crois que j’ai décroché de ce projet depuis. Au mieux, ce seront quelques photos qui habilleront les murs de la demeure.
Pourquoi ce changement d’attitude ?
Plusieurs raisons. Tout d’abord, acheter des objets rajoute du poids au sac à dos. Sur un long séjour, cela joue. Même si bien sûr, vous pouvez vous décharger en envoyant un colis en France.
Ensuite, j’évite de m’encombrer d’objets qui au fond ne sont pas utiles. C’est de la consommation et l’objet va terminer au fond d’une armoire ou d’une caisse un jour ou l’autre. Surtout pour moi qui bouge beaucoup.
Et puis, qui vous assure que ce que vous avez acheté est un objet local ? Beaucoup de souvenirs viennent de Chine…C’est le cas de la plupart des souvenirs des boutiques pour touristes en Egypte.
Non seulement, vous payez pour un objet chinois, mais en plus, ce n’est pas du tout écologique vu la distance qu’a fait l’objet pour venir à vous.
D’un autre côté, je sais qu’il peut être plaisant d’avoir un bel objet qui évoque un beau voyage chez soi. Et puis, c’est aussi soutenir d’une certaine façon les artisans locaux.
Un objet : une rencontre
Je fais tout de même des exceptions parfois. Ces exceptions sont liées à une chouette rencontre. Par exemple, au Népal, sur les rives du lac de Pokara, j’avais noué une conversation avec une jeune vendeuse.
Nous avions discuté un moment assis sous le soleil de l’Himalaya. Celle-ci n’était pas du tout insistante (toujours une bonne méthode), et finalement, je lui avais acheté un objet. Je ne le regrette pas, quand je me souviens de l’objet, je me rappelle ce moment agréable.
Les quelques objets que je ramène de voyage ont tous une histoire. Ils sont souvent liés à une rencontre, un moment agréable.
Au risque de passer pour un lieu commun, les souvenirs devraient être avant tout dans votre tête. Et pour moi, les souvenirs les plus beaux d’un voyage restent avant tout liés à des rencontres, à des lieux magiques et à des activités. En voyage comme dans la vie en général, je préfère mettre de l’argent dans des expériences : activités, sports, cours de langues, etc.
Pour le reste, j’aime beaucoup la photo. Ramener quelques beaux portraits me suffisent à vrai dire.
En Jordanie, il y a peu.
De l’intérêt de ramener des objets d’un voyage
Beaucoup de gens demandent souvent « que ramener de telle ou telle destination ? ». Et ceci, avant même d’y être allé.
Je suis un peu circonspect face à ce genre de questions à vrai dire. Je ne peux m’empêcher d’assimiler cela à une certaine habitude de consommation, voire à un certain matérialisme.
Bon, j’y vais sans doute un peu fort vous allez me dire. Cela doit être mon côté anticonformiste qui fait surface. Vous n’aurez sans doute pas tort. Je vais aller consulter promis :-).
Cela dit, je suis beaucoup plus ouvert pour ceux qui ramènent des objets pour réaliser ensuite un carnet de voyage ou un album de scrapbooking : tickets de transport, timbres, cartes de visites, factures de caisses…Souvent, le résultat est vraiment étonnant.
Certaines destinations sont vraiment attachées à des objets précis. Ainsi, vos amis vont s’attendre à ce que vous rameniez des cigares et du rhum de Cuba. Argent qui va aller dans les caisses de l’Etat-dictature cubain.
Pour l’Equateur, ramener un Panama (chapeau) est un classique.
En Inde, ce sera des épices, au Maroc un narguilé, au Sénégal, un masque africain etc. Je pourrais continuer longtemps comme cela.
Il y a enfin les souvenirs de voyage classiques et internationaux : aimants pour le frigo, tasses, t-shirts ( plus ou moins beaufs selon l’inscription), cartes postales kitch ou beaufs (vous savez genre une femme seins nus) et j’en passe.
J’ai été étonné de lire que 30% du budget voyage des Américains était consacré à l’achat d’objets et souvenirs de voyage ! Cela fait beaucoup !
D’une façon générale, l’achat de souvenirs fait partie de la culture touristique. C’est parfois un réflexe, une action que font beaucoup de touristes sans même réfléchir. Pour certains, il est vraiment inconcevable de ne pas ramener des souvenirs d’un voyage. Pour un peu, ce serait presque rater son voyage. Vous voyez ce que je veux dire ?
Selon une étude, il semblerait que les femmes achètent davantage de souvenirs que les hommes. Dans cet article, vous trouverez les détails de cette étude selon la catégorie d’objets.
Ce que vous ramenez de voyage
Certains aiment ramener toujours le même objet. Au fil du temps, une véritable collection se constitue. Quand on pense collection, on pense toujours en premier à une collection de timbres. Tiens, d’ailleurs, enfant, j’en avais une aussi. Elle m’a fait beaucoup voyager avant l’heure.
Une lectrice m’a parlé de sa collection. Depuis des années, elle ramène de ses voyages des cuillères en bois sculpté.
Une autre lectrice m’a raconté qu’elle aimait ramener des mugs de ses voyages. Voilà une bonne idée je trouve. Deux avantages à cela :
- C’est un objet utile
- Et comme le nom de la destination est inscrit sur le mug, cela permet de parler de son voyage au cours d’une conversation, l’air de rien, sympa non ?
Un autre lecteur me disait qu’il ramenait à chaque fois…un tatouage ! Carrément ! Bon, s’il est parti pour faire tous les pays du monde, je ne suis pas sûr qu’il ait de la place…On pourrait dire que le voyage lui colle à la peau :-).
Objets anciens, contrefaçon et douanes
Ayez à l’esprit certaines notions avant d’acheter des souvenirs. En effet, il faut avoir en tête certaines réglementations.
Dans certains pays, il est interdit de sortir du pays des objets anciens. Afin de prévenir le pillage du patrimoine national. Or, vous pouvez avoir la possibilité d’en acheter certains sur des marchés.
Renseignez vous avant sur la loi. Vous pouvez en effet être passible de prison. Pour l’achat de certains objets, il est possible que la douane vous demande ensuite une déclaration certifiant l’origine et l’achat.
La contrefaçon représente 10% du commerce mondial. Sachez en outre qu’elle est liée au crime organisé et à l’exploitation humaine. De plus, ces produits peuvent s’avérer dangereux pour la santé et la sécurité. Enfin, elle nuit au développement durable du pays.
Deux risques :
Sanctions douanières : les marchandises contrefaites sont saisies puis détruites. L’amende encourue est fonction du nombre d’objets détenus. Elle est calculée selon la valeur authentique des produits saisis. Vous pouvez être sanctionné à partir d’un seul produit.
Sanction pénale : la peine encourue est de 3 ans d’emprisonnement et 300.000 euros d’amende, soit une sanction similaire à celle retenue pour le vol. La contrefaçon est donc un délit.
Enfin, attention au nombre d’objets ramenés. Si vous ramenez 30 toiles de peintures dans votre sac et que le douanier les trouve, il risque de considérer cela comme du commerce. Vous risquez alors d’être taxé.
Acheter un cadeau souvenir
Quelques conseils pour acheter :
- Personnellement, j’achète toujours mes souvenirs de voyage dans les derniers jours. Sauf exception bien sûr. Cela évite d’ajouter du poids au sac à dos. De plus, vous serez plus à même de juger si le prix est bon ou pas après quelques jours de voyage.
- Vérifier bien que l’objet n’est pas fabriqué en Chine…Sauf si vous voyagez en Chine !
- Essayez autant que possible d’acheter directement auprès de l’artisan.
- Évitez les marchés artisanaux touristiques, ce n’est pas ici que les prix sont forcément les meilleurs
- Si votre guide vous amène « faire une pause » dans une boutique, il y a des chances pour qu’il touche une commission et que le prix affiché ne soit pas vraiment bon marché.
- Bien sûr, négocier les prix !
Voilà pour cet article sur les souvenirs de voyage. Chacun ses goûts et ses préférences. L’important je pense est tout de même de se poser la question de l’intérêt de cet acte d’achat.
Et vous, ramenez-vous des objets de vos voyages ? Si oui, quoi ?
Tiens, quel est le pire souvenir de voyage qu’on vous ait offert ?
A propos de l'auteur
Moi j’adoooore ramener des souvenirs !! Bah oui, je suis une femme. :p
J’aime bien me ramener à minima un objet, et de préférence un objet dont je me servirai régulièrement (un petit bijou en argent, un marque-page ouvragé…)
Et l’aimant pour le frigo, oui c’est beauf, mais j’adore! 😀 Je les contemple chaque fois que j’ouvre mon frigo et ça me fait franchement plaisir. ^_^
Mon chéri lui collectionne les chapeaux. Ca a commencé avec de beaux chapeaux, mais il réalise petit à petit que les chapeaux locaux ne sont pas toujours très saillants, haha! XD
Et bon, forcément, l’envoi de cartes postales à la famille sinon je me fais engueuler. >_< Mais ce n'est vraiment pas mon truc, une petite phrase au dos et puis hop! 😉
Bonjour Cindy,
L’idée des chapeaux est sympa je trouve 🙂
Moi-même, j’aime assez cet accessoire, cela dit pas évident de trouver un chapeau sympa pour chaque destination.
Tu as des chapeau typiques d’une région comme les fameux Panama en Equateur par exemple, peut-être ton chéri en possède un 🙂
Après, cela doit prendre de la place dans la penderie
– Sable des plages ici et là
– Animaux en papyrus tressé du Maroc, par des enfants (j’en ai bien peur)
– Pierres sculptées par des artistes inuits au Canada
– Un morceaux de pierre arraché au Sphinx de Gizeh… [Nan j’déconne ^^]
– Thé de Chine et du Japon
– Renne fumé de Suède
– Beaux catalogues des collections des musées (c’est toujours mieux que l’éternel mug aux couleurs des nymphéas de Monet qu’on trouve partout !)
– Cd de musiques locales enregistrées par de micro maisons de disques qu’on ne trouvera jamais sur Amazon
Le pire cadeau reçu ? Un caribou en peluche made in China sans doute acheté à l’aéroport Mirabel de Montréal !
Bonjour Charles,
Ha oui, pas mal le coup du caribou made in China:-)
Par catalogues, tu veux dire les ouvrages présentant l’ensemble de la collection du musée?
Oui, Fabrice, les catalogues des expositions temporaires ou des bien collections permanentes. Les reproductions sont souvent de très bonne qualité, ce sont des cadeaux envisageables pour les amateurs d’art.
En effet, une bonne idée pour les amateurs d’art!
Je ramène moi aussi des mugs et j’en ai quelques uns. Merci pour cet article
Bonjour
De mes voyages je ramène toujours de tee shirts ! si possible fabriqué dans le pays du voyage
Hello !
Je ne ramène jamais rien de voyage… J’accorde peu d’importance aux choses en général, alors comme toi: aucune envie d’alourdir mon sac 🙂
Seuls des livres (parfois, quand je tombe sur une perle) ont pu me faire faire un écart à cette règle…
Perso, la course aux souvenirs que l’on doit réaliser pour ramener des bibelots aux amis ou à la famille me saoûle. Je ne ramène maintenant que si j’ai un vrai coup de coeur pour un objet.
Je pense que pour ceux qui font un ou deux voyages par an, cela peut se comprendre.
Mais si tu voyages souvent, oui, c’est assez prise de tête si tu fais cela à chaque fois 🙂
L’idée du sable me tente aussi même si je dois avouer que les souvenirs de voyage dépendent de chacun. Pour ma part, ce ne sera en aucun cas des tee shirt ou mug portant le nom d’une ville, trop attrape touristes à mon gout!
Quand j’ai commencé à voyager je ramenais des mugs, mais j’ai arrêté quand mon placard a été plein, soit très vite.
Maintenant si je dois ramener quelque chose pour quelqu’un (je le fais toujours si un anniversaire approche par exemple), c’est de la nourriture. D’ailleurs j’en achète aussi pour moi, de l’alcool, des bonbons, etc.
J’aime bien également m’acheter un album de littérature jeunesse d’un auteur et illustrateur local. Je ne le fais pas systématiquement mais comme je suis accro aux librairies, c’est de plus en plus fréquent. Au départ, c’était par hasard, maintenant je cherche de belle création.
Par contre pour ma fille, nous avons une autre approche. Elle se choisit une carte postale qu’elle décore elle-même (du haut de ses deux ans, mais dès son premier voyage à quelques mois) et on l’envoie à la maison. Une carte par voyage, et le tout dans un album photo. Le but est de lui permettre d’avoir une trace personnelle de ses différents périples.
Salut Fabrice.
Pour moi le problème n’a pas été, pour mon retour au Guatémala, ce que j’en rapporterais (je m’étais occupé de ça qq semaines plus tôt en revenant avec des objets artisanaux (écharpes, sacs, chemises, etc.), que j’ai offerts à mes parents… mais bien plutôt de ce que j’ai apporté là-bas : des kilos de littérature ! Y’a beau y avoir des Alliances françaises et j’ai beau être équipé d’une liseuse numérique (j’aime pas trop, du reste, trop attaché au papier), la perspective d’un an ou davantage sans certaines lectures prioritaires me semblait pas possible ! Résultat, j’ai apporté une valise de 31,8 kilos (limite : 32 !) dont plus d’une demi-douzaine en livres (Pascal, saint Augustin, Mann, Musil, Broch, Sterne, Bakounine, Kropotkine, Aridjis…). Et j’en suis même à envisager d’acheter une imprimante pour sortir sur papier des articles (archives préparatoires de travaux d’enquêtes) et des essais de théorie politique dans le domaine public !
Par contre, rapporter des trucs de mes voyages… je crois que ça m’a jamais traversé l’esprit. Ca paraîtra paradoxal sans doute, eu égard à ce que je viens d’écrire, mais je n’ai pas le goût de l’accumulation ; du reste, quand on déménage bcp, on se lasse de se trimbaler un tas de choses inessentielles… Même mes quelques centaines de CDs me paraissent désormais un poids inutile, qui prend la poussière chez mes parents…
Salutations,
Mikaël
Il est vrai que tous les titres ne sont pas encore sous format électronique.
Moi-même, je rapporte toujours quelques livres de France.
Pour le reste, une liseuse, c’est bien pratique, tous les classiques sont dispo je pense dans ce format.
Mais que vas-tu faire ensuite de tes livres papiers?
Remarque, tu peux les donner à une Alliance Française, ou dans mon café si tu passes!
Quand il s’agit de livres que je n’ai pas aimé ou qui me paraissent quelconques, je les laisse. J’en ai laissé deux très médiocres dans un hôtel de Flores, par ex, que j’avais acheté pour pas grand chose ici à la capitale.
Pour ceux achetés en France, je les garderai tous. Tôt ou tard, on ira sans doute vivre avec ma future femme en France… Faudra bien ramener les trucs laissés ici. J’exclus pas non plus de demander à ma mère ou des amis d’en rapporter quand ils passeront (et d’en apporter de France itou !).
Là j’ai un ami qui est retourné voir ses parents avant de revenir ici : paf ! j’en ai acheté 4 que je fais livrer chez lui, deux sur l’histoire du libéralisme, le Capital de Marx et un livre de Christopher Lasch ! Olé ! Et ma fiancée va me filer son imprimante : je vais sûrement imprimer pas mal d’articles (pour mes travaux préparatoires) et des livres dans le domaine public…
Quand c’est court, sur la liseuse num, ça va, mais quand c’est long je décroche. Je tâcherai de surmonter ça car j’ai tout de même trop de choses de grand intérêt sur ma liseuse pour continuer à chercher des livres papier… en plus, quel nom de Dieu d’encombrement ! Tu imagines bien !
A bientôt !
J’en ai par milliers de ces objets de décoration inutiles, surtout des bibelots. Et en plus je n’arrive pas à les jeter. Merci les copains 🙂 . Personnellement, je n’aime pas trop…comme on dit si bien ici (Argentine) ce ne sont que des « junta polvo » (recueille poussière) et rien d’autre.
« Recueille de poussière », voilà un joli terme je trouve 🙂
C’est vrai que je suis plutôt du côté de ceux qui voyagent léger. Dans un sac à dos, le nombre de souvenirs matériels est plutôt limité. Par contre, l’aventure et le voyage restent gravés dans ma mémoire et bien sûr dans les clés USB. Blogueur voyageur oblige 😉 😉
Tu parts avec un gros sac d’habitude Richard?
Plutôt 8OL ou 30L ? 🙂
C’est vrai qu’on peut ramener tout et n’importe quoi de voyage…
Lors de mon séjour aux USA, comme c’était l’époque où j’emménageais, je prenais un petit verre à shoot de chaque endroit que je visitais. Aujourd’hui, mon bar est fourni correctement, et ça fait discuter quand on boit un coup à la maison! 🙂
Je ne suis pas trop du genre à ramener des bibelots voués au role de « ramasse poussière »
Les seuls objets rapportés de voyages : Une peinture cubaine et un nécessaire à mate argentin
Par contre je garde toujours quelques billets de banques et pièces de monnaie, les tickets d’entrées des divers sites et les plans de villes obtenus auprès des offices de tourisme
Et j’ai une petite collections de cailloux ramassés dans des lieux « symboliques » : à Ushuaïa, dans la montagne à plus de 5000m au Pérou, à El Cobre (haut lieu religieux cubain), etc …
Bonjour Fabrice
C’est en cherchant des photos souvenirs voyage que je tombe sur ce blog, j’aime le voyage que j’appelle souvent voie-âge ou voix -âge car voyager pour moi c’est suivre ma voie écouter ma voix, créer ma voix au fil des âge et oser ma voie et partager. Je ne ramène pas vraiment de souvenir si ce n’est les richesses des éxpériences vécues qui me rendent plus grande et plus authentique mon cadeau aux autres c’est le bonheur que je peux partager car comme dit une phrase « le bonheur n’est pas de rendre l’autre heureux mais de se rendre heureux soit même et d’offrir ce bonheur aux autre » je pars cette année avec un groupe de jeune via mon boulot asbl Gratte qui favorise la rencontre par le biai du loisir dans ce groupe il y a des personnes en situation de handicap mental car le loisir est un droit pour tous et des jeunes valides.Bref, nous partons 10 jours et je prépare la « boite à merveille » : ou chacun pourra il déposer un souvenir de la journée (une pierre, un ticket, une annecdote, un feuille d’arbre ou tout ce qui peut rentrer dans cette boite). Il pourra y glisser des idées à réaliser, les réaliser, et puis au retour de piocher un objet, une image, un mot et de partager autour de soi cette ambiance du voyage.
Je te souhaite bon voie âge.
Je vous souhaite a tous belle route
AMelie
Bonjour Amelie,
Sympa cette idée de la « boite à merveille »:-)
mes premiers voyages ont été pleins de cadeaux souvenirs (famille et amis) , et , au fil des pays ,se sont allégés
au point de me passionner pour quelques pierres ou coquillages ramassés au sol , et , par ma quête de rencontres humaines passionnantes, et de photos à consulter quand l’âge me bloquera sur un fauteuil !!!!!!
de toute façon , je donnais tout aux autres ,en Leur racontant les trésors de ces gens lointains et SI CHALEUREUX , qui m’ ont tellement ENRICHIE !!!!!!!!
Bonjour,
Je suis marocaine et je voudrais juste corriger une erreur que j’ai relevée dans votre article.
Le narguilé ne fait pas partie de notre culture, c’est quelque chose qui nous a été introduite par je ne sais qui mais ce n’est pas du tout marocain.
Vous avez raison Sanae, je pense que c’est plutôt Egyptien non?