Métier qui fait voyager : ma sélection de 42 professions où l’on voyage !
13- 1. 1. Hôtesse de l’air ou steward
- 2. 2. Pilote de ligne
- 3. 3. Accompagnateur de voyage
- 4. 4. Hôtesse sur des yachts et voiliers
- 5. 5. Moniteur de plongée
- 6. 6. Moniteur de ski
- 7. 7. Animateur
- 8. 8. Concepteur de voyage
- 9. 9. Enseignant de Français
- 10. 10. Auteur de guide de voyage
- 11. 11. Photographe
- 12. 12. Journaliste reporter
- 13. 13. Routier
- 14. 14. Marine marchande
- 15. 15. Cuisinier, restauration
- 16. 16. Diplomate
- 17. 17. Commercial
- 18. 18. Archéologue
- 19. 19. Réalisateur de documentaires
- 20. 20. Humanitaire
- 21. 21. L’armée
- 22. 22. Détective privé
- 23. 23. Technicien du son et métiers de l’événementiel
- 24. 24. Acteur
- 25. 25. Travail saisonnier
- 26. 26. Massage et enseignant de yoga
- 27. 27. Trader
- 28. 28. Joueur de poker
- 29. 29. Biologiste et autres professionnels de la vie animal
- 30. 30. Musiciens et autres artistes
- 31. 31. Guide touristique
- 32. 32. Volontariat et wwoofing
- 33. 33. Conducteur pour Google Street View
- 34. 34. Jeune fille au pair
- 35. 35. Porgrammeur freelance
- 36. 36. Rentier immobilier
- 37. 37. Digital nomad
- 38. 38. Traducteur
- 39. 39. Veilleur d’hôtels
- 40. 40. Hotellerie de luxe
- 41. 41. Blogueur voyage, influenceur voyage
- 42. 42. Les métiers de la croisière
1. Hôtesse de l’air ou steward
Forcément, quand il s’agit de trouver un métier pour voyager, on pense souvent en premier à une carrière dans l’aviation commerciale. Après tout, ce métier est 100% lié au voyage. Et si vous travaillez sur longs courriers, vous allez voir du pays. Vous avez en plus des avantages au niveau du prix des billets d’avion… Ce n’est pas rien.
2. Pilote de ligne
Logiquement, on passe ici au niveau supérieur en quelque sorte. Un métier encore de prestige et élitiste. Un métier pour les passionnés d’aviation. Il faut l’être vu les études demandées et les responsabilités ensuite. Mais en tout cas c’est sûr c’est un métier qui fait voyager
3. Accompagnateur de voyage
C’est une activité à laquelle on pense souvent en premier. C’est aussi la plus accessible, on vous demandera surtout de la passion et un peu d’expérience. Pas de diplôme demandé en général. Inconvénient : pas très bien payé. Ce métier qui fait voyager peut être fait en plus d’une autre activité professionnelle. À lire cet article sur le blog au sujet de ce métier.
4. Hôtesse sur des yachts et voiliers
C’est un métier peu connu pour voyager. Et pourtant, si vous aimez la mer, vous pouvez voir du pays… Vous allez en effet travailler à bord de yachts, de voiliers ou de bateaux privés. Des formations spécifiques existent pour ce métier. Estelle nous raconte son métier dans cette interview du podcast.
5. Moniteur de plongée
Ce métier pour voyager permet d’allier la passion de la plongée et du voyage. Les destinations ne manquent pas, l’ambiance est sympa, vous êtes payé pour plonger, et vous faites découvrir un nouveau monde fascinant à d’autres. C’est chouette.
Inconvénient de ce métier : pas forcément très bien payé à la longue, métier physique et insécurité et précarité selon les destinations. Pour poursuivre, écouter cet épisode du podcast sur la vie d’une monitrice plongée.
6. Moniteur de ski
Dans le même ordre d’idée que le moniteur de plongée ci-dessous, sauf qu’ici l’activité est saisonnière. En général, il s’agit ici de travailler d’une façon intense les 6 mois d’hiver en Europe (ou ailleurs), et ensuite de profiter des autres 6 mois pour voyager avec l’argent économisé.
Un véritable mode de vie pour certains. À noter que l’on peut appliquer cela pour beaucoup d’autres activités : enseignant de surf, de kitesurf, de parapente etc.
7. Animateur
On pense tout de suite aux animateurs du Club Med ! Mais tous les clubs de vacances recrutent des animateurs. Cela dit, il y a aussi les croisières qui recrutent beaucoup d’animateurs.
8. Concepteur de voyage
Le concepteur de voyage travaille pour une agence de voyages et participe à concevoir un voyage à l’étranger. Il teste les transports, l’hôtellerie et les activités proposés lors du séjour. Les places sont rares mais c’est un bon moyen de travailler tout en voyageant aux quatre coins du monde.
9. Enseignant de Français
Le Français est une des langues les plus parlées dans le monde. Après l’anglais, il n’est pas rare que le français soit enseigné comme seconde langue avec l’espagnol. D’ailleurs, les Alliances Françaises sont un des réseaux culturels les plus importants à l’Etranger. Presque tous les pays du monde possèdent au moins un établissement.
À cela s’ajoutent les écoles privées et les universités locales, il y a de quoi faire si vous aimez enseigner. Autre option : enseigner le français aux étrangers en ligne !
Pratique, vous pouvez alors travailler et voyager à loisir ! Presque comme vous le souhaitez si vous dégagez assez de revenus. Freelance, vous pouvez aussi voir cela comme un revenu pour financer une partie de vos voyages.
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Vous pouvez aussi enseigner l’anglais ou une autre langue si vous avez un bon niveau !
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10. Auteur de guide de voyage
Le mythe de l’auteur de guide… Le travail pour voyager par excellence ! Déjà, il faut savoir qu’il y a peu d’élus… Les places sont chères et il faut savoir que c’est un travail épuisant et qui prends beaucoup de temps sur place et au retour lors de la rédaction de l’ouvrage. Mais, clairement, cela peut être une chouette expérience !
11. Photographe
Pour les amoureux de l’image ! Pas facile de percer dans ce domaine à l’air du smartphone et d’Instagram. Mais si vous avez la passion et le talent, c’est un métier où l’on voyage beaucoup !
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12. Journaliste reporter
Le métier de rêve pour beaucoup non ? Il le fut pour moi à un moment de ma vie. Je voulais en effet devenir photoreporter. J’ai par le passé fait des piges pour des magazines en vendant des reportages à l’étranger. Le métier de journaliste reporter est clairement un métier qui fait voyager mais comme souvent les places sont rares.
13. Routier
Le métier de routier souvent choisir par ceux qui aiment tracer la route en solitaire. C’est un métier qui fait voyager, du moins en Europe et autour. Inconvénients de cette profession : c’est fatigant et il faut aimer être seul et rouler !
14. Marine marchande
La Marine Marchande est un secteur qui recrute et qui permet de voir du pays. Ou des mers plutôt. Une formation adéquate vous ouvrira des portes. Pour ceux qui ont le pied marin, c’est le métier qui fait voyager.
15. Cuisinier, restauration
La cuisine française est réputée à travers le monde, vous le savez. Aussi, si vous êtes cuisinier, serveur, vous pouvez trouver du travail partout dans le monde, ou presque. Idem si vous êtes barman.
16. Diplomate
La carrière diplomatique vous ouvre le monde. Des postes réguliers tous les deux ou quatre ans. Des conditions de premier plan. Vous pensez bien sûr en premier aux ambassadeurs et autres. Pourtant, il y a aussi tous les autres postes : attachés culturels, économique, policiers affectés à l’étranger, secrétaires etc.
Le principal inconvénient de ce métier ce sont difficiles études ! Mais une option pour trouver un premier poste est de postuler pour un VIA. À écouter Jean-Michel consul honoraire en Colombie.
17. Commercial
De nombreux commerciaux parcourent la planète en long et en large pour une multitude d’entreprises. Trouver des fournisseurs, procéder à des achats sur place, démarcher et trouver de nouveaux clients, la palette des possibilités est large. C’est un métier qui fait voyager !
L’inconvénient majeur de ce métier est que vous n’aurez pas forcément beaucoup de temps pour profiter sur place.
Pour trouver un poste à l’étranger ou pour s’expatrier, il faut parfois montrer sa maîtrise de la langue. Pour cela, il y a des tests comme le TOIEC ou le TOEFL. Ils sont parfois demandés.
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18. Archéologue
Indiana Jones a fait rêver de nombreuses générations et ouverts des vocations. En effet archéologue permet de voyager et découvrir des lieux encore inconnus. Il faut savoir que cela nécessite de longues études et beaucoup de passion pour arriver à se faire une place. Mais après c’est le métier voyage par excellence !
19. Réalisateur de documentaires
Si vous aimez la vidéo et transmettre, c’est clairement un chouette métier. Encore faut-il savoir se vendre, un fondamental comme beaucoup de métiers créatifs et trouver des sujets qui vous font voyager.
20. Humanitaire
Un métier pas mal du tout si vous aimez voyager. Des métiers diversifiés : logistique, médicale, ingénieur… Il faut de plus en plus une vraie formation dans ce secteur. Un monde assez particulier, exigeant et qui demande beaucoup. À écouter l’interview d’un directeur de la Croix Rouge.
21. L’armée
Engagez-vous qu’ils disaient, vous verrez du pays… En vrai, oui, l’armée est un métier qui fait voyager à l’étranger dans le cadre de mission en opération ou pour de l’encadrement et de la formation par exemple. La Marine notamment offre pas mal de possibilités. Et puis, pensez à la retraite à 40 ans, vous aurez le temps ensuite !
22. Détective privé
C’est une profession secrète mais qui se développe de plus en plus. Pour contrer la fraude ou la tromperie, vous serez amené à traquer, surveiller et constituer des preuves en France ou à l’étranger. Selon les missions, c’est un métier qui peut faire beaucoup voyager !
23. Technicien du son et métiers de l’événementiel
Tous les métiers liés à l’événementiel sont intéressants pour voyager. Concerts, spectacles à l’étranger, parcs de loisirs etc.
24. Acteur
Oui, c’est une possibilité pour voyager et travailler. Nul besoin d’être une grosse star du grand écran pour cela. Et puis, il y a le théâtre aussi et les spectacles divers qui ont besoin de comédiens.
25. Travail saisonnier
Il ne s’agit pas vraiment d’un métier, mais plus d’un statut. Cela dit, vous pouvez en effet faire le tour de la planète en proposant vos services : ramasser le raisin dans les vignes, ramasser des fraises en Australie, etc.
Inconvénients de ce métier : précarité, physique, peut intéressant, pas forcément bien payé. À écouter Sandro qui a voyagé non-stop 10 ans autour du monde. Il a notamment gagné de l’argent pour ses voyages en étant travailleur saisonnier autour du monde.
26. Massage et enseignant de yoga
J’ai connu des voyageurs qui exerçaient cette activité au gré de leurs voyages. Certains étaient kiné, masseur, professeur de yoga etc. Vous travaillez en fonction de vos besoins et envies.
27. Trader
Cette activité s’exerce par définition à distance. Il suffit d’une connexion internet. Oui, beaucoup gagnent de l’argent de cette façon et ils travaillent un nombre d’heures fluctuantes. EN effet tout se fait à distance, devant son ordinateur et cela peut être fait partout dans le monde et ainsi permet de voyager.
28. Joueur de poker
Il y a quelques années, j’ai rencontré un français qui gagner de l’argent en voyageant en étant joueur de poker. Je l’avais d’ailleurs rencontré à Bucaramanga, au café que je tenais. Doué au jeu, il se renseignait alors dans chaque nouvelle ville sur les parties de poker qui avaient lieu. Introduit, il venait alors pour se faire quelques parties.
Certains joueurs préfèrent le jeu en ligne, de plus en plus sans doute. Plus pratique et simple. À lire cet article sur ce gars dont je vous parle sur le blog.
29. Biologiste et autres professionnels de la vie animal
Pour les amoureux de la nature et de la préservation de la nature, vivre et voyager autour du monde fait souvent partie de leur métier. Des métiers qui nécessitent de longues études mais qui permettent de voyager dans des lieux magnifiques.
30. Musiciens et autres artistes
Être artiste ou muscien est un métier qui permet de voyager. Masi il y a deux sortent d’artistes en voyage. Ceux qui joue sur la place publique et font la quête et d’autres qui se produisent lors de vrais tournée.
Entre nous, je ne suis pas fan de ces voyageurs qui font la manche à l’étranger pour voyager. Pour les locaux, c’est même parfois limite choquant de voir cela, dixit certains articles lus à ce sujet en Asie. Et cela peut se comprendre. Une grande part de la population de ces pays est déjà pauvre, alors voir des Occidentaux nantis venir faire cela…
Cela dit, la chose est différente à mes yeux si la personne propose vraiment une performance digne de ce nom. S’il joue de son art dans la rue ou, mieux, dans des bars et restaurants (avec parfois en plus un cachet), c’est déjà autre chose non ?
31. Guide touristique
Un métier classique du tourisme. Pourtant, ce n’est pas forcément le métier qui fait le plus voyager. En effet, les agences font appel à de nombreux guides locaux sur place pour leurs séjours. Ils sont beaucoup moins chers.
Les guides qui peuvent partir sur des séjours lointains ne sont plus légion. Et il faut être spécialisé.
32. Volontariat et wwoofing
Pour voyager vous pouvez également penser aux activités bénévoles qu’il est possible d’exercer autour du monde. Certes, vous ne recevez pas de salaire, mais vous êtes nourris et logez parfois, ce qui représente une sorte de rémunération en nature et qui permet de voyager.
Dans cette catégorie, on peut mentionner les volontariats divers dans les ONG et autres associations locales, les jobs dans les auberges de jeunesse et hôtels backpacker et surtout tout ce qui tourne autour du wwoofing. Pour ce dernier cas, vous pouvez en effet trouver un grand nombre d’offres divers à travers le monde !
33. Conducteur pour Google Street View
C’est un métier pas facile à décrocher mais après c’est le top pour sillonner la planète. Un métier 100% voyage si on aime rouler toute la journée !
34. Jeune fille au pair
C’est un métier rêvé pour toutes jeunes filles qui voudraient découvrir un pays tout n se faiant payer. Garder des enfants mais en contrepartie vous êtes logée et nourries et vous avez un peu d’argent de poches pour découvrir votre nouveau pays.
35. Porgrammeur freelance
Avec le développement d’internet, on a tous besoin de programmeur pour modifier quelques lignes de codes. Grâce à des sites qui regroupent ces freelances, vous pouvez acheter des missions aux meilleures d’entre-eux. L’avantage de ce métier c’est qu’il permet de travailler quand on veut et surtout d’où on veut. Un métier qui permet de voyager à loisir.
Devenir freelance est une des pistes pour devenir digital nomad.
Trouver ses clients, se vendre, trouver son domaine d’activité, s’organiser…Tous ces thèmes et bien d’autres sont abordés dans cette formation vidéo complète pour devenir free-lance.
Son auteur, Seth Godin, est un auteur,blogueur et marketeur réputé.
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36. Rentier immobilier
Oui, certains ont choisi d’investir dans l’immobilier locatif pour avoir plus de liberté de voyager ou de vivre à l’étranger. Ils ont pu acheter plusieurs biens, optimiser la rentabilité, déléguer la gestion même à distance, c’est largement possible.
Moi-même, je l’ai fait il y a quelques années avec un bien. Vous avez envie de revenus automatiques pour voyager plus librement ?
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37. Digital nomad
Digital nomad est un plus qu’un mtéier qui fait voyager, c’est un mode de vie. Je vous ai parlé de l’enseignement du français à distance avec Tutorjob.org. C’est un exemple parmi tant d’autres.
Il faut aussi mentionner que de plus en plus de salariés peuvent travailler à distance. Les digitals nomade jobs sont nombreux. Certes, voyager et vivre à l’étranger reste encore possible pour une minorité. Mais le mouvement se développe.
J’ai publié un livre à ce sujet « Libre d’être digital nomad », aux Editions Diateino :
38. Traducteur
C’st un métier dont on a de plus en plus besoin. Là encore, il peut exercer de partout dans le monde. Un métier qui permet d’allier le voyage et un travail rémunérateur.
39. Veilleur d’hôtels
Pas besoin de diplôme pour ce métier qui peut s’exercer partout dans le monde. Si veiller toute la nuit ne vous embête pas trop, vous pouvez ainsi exercer dans les hôtels et auberges de jeunesse.
40. Hotellerie de luxe
C’est un secteur qui recrute des personnes pour l’accueil de la clientèle haut de gamme. Les hôtels de luxe font partie de réseaux d’hôtels implantées aux quatre coins du monde. Embrasser une carrière dans ce secteur c’est avoir un métier qui fait voyager.
41. Blogueur voyage, influenceur voyage
Oui, c’est une possibilité pour voyager et gagner sa vie.
Mais ce n’est pas le plus facile et le plus sécurisant. Vous devez avoir un gros trafic et/ou une grosse communauté. Et ne jamais arrêter. Pas facile.
42. Les métiers de la croisière
Enfin, une dernière possibilité que beaucoup choisissent.
Le tourisme de la croisière ne connaît pas la crise et un bateau de croisière accueille un grand nombre de métiers : serveurs, cuisiniers, personnel naviguant, infirmière etc. Les possibilités sont nombreuses.
Cette liste de métier qui fait voyager tout en gagnant de l’argent est loin d’être exhaustive. De nouvelles activités apparaissent chaque année ou presque. Et vous pouvez aussi créer la vôtre !
Beaucoup de ces activités sont liées à une passion, ou du moins, elles demandent d’être un minimum passionné par son activité. En fait, l’idéal n’est-il pas au final de lier une passion professionnelle avec sa passion du voyage ?
Si vous avez d’autres idées de métiers qui font voyager, indiquez-le-moi en commentaires.
A propos de l'auteur
Bonjour , tu as oublié Infirmier je pense …
Oui et non. Car il me semble que c’est pas simple de trouver un job dans un pays du bout du monde :
formation différente, la langue etc ?
Bonjour, je m’appelle Damien
On peux ajouter les comédiens spécifique et qui sont reconnus.
Pour aussi les joueurs c’est possible et les chanteurs et les chanteuses.merci
Bonjour Fabrice,
Tu abordes le sujet de l’indépendance financière pour voyager « sans limite » avec le biais bien français du « faire » un métier mais il y a d’autres solutions.
Il faut garder à l’esprit que travailler ou « faire un métier » c’est dans tous les cas échanger son temps contre de l’argent. Notre temps est par définition limité : 700 000 heures environ à peine dans une vie et surtout seulement 24h par jour dont plusieurs nécessaires pour dormir, boire, manger, uriner et déféquer pendant lesquelles c’est difficile de « faire » un métier en même temps. Ca fait beaucoup de limites. Le temps est ce que nous avons de plus précieux et de plus rare et qui ne se rattrape pas.
Je ne t’en veux pas d’avoir ce biais dans ta réflexion car les limites, encadrements, seuils, plafonds, planchers, obligations et autres termes du même acabit sont une des grandes maladies de la France dont nous sommes quotidiennement contaminés dès nos plus jeunes ages à l’école et qui pullulent dans toutes les lois et règlements auxquels nous sommes contraints et confrontés.
Dans notre langage courant en langue française, il est souvent demandé aux enfants, « que veux-tu faire quand tu seras grand ? »
Alors que pour son épanouissement on devrait lui demander : « que veux-tu ETRE quand tu seras grand ? » Fait le test et tu verras que les réponses sont différentes.
D’autres solutions pour voyager sans limites (à part celle de notre durée de vie) quand on choisi d’être plutôt que de faire : Être minimaliste, rentier, investisseur, jet-setteur, gigolo, pique-assiettes, escroc, pensionné, allocataire, bailleur (avec gestion déléguée), retraité et bien d’autres mais dans tous les cas être malin et motivé. Vous pouvez aussi mixer plusieurs de ces solutions, il n’y a pas de clause de non concurrence. (et hop encore une « limite » qui saute !).
Pour plusieurs de ces solutions, il faut souvent préalablement échanger son temps contre de l’argent, mais être rentier (même modeste) et avoir des revenus passifs significatifs à 30-35 ans est un objectif atteignable et beaucoup y sont arrivés mais l’éducation financière n’est pas dans les gènes du système éducatif français.
Un des secret pour être financièrement indépendant et générer des revenus passifs c’est les intérêts composés aussi appelé l’effet boule de neige, où là encore c’est le temps qui joue en notre faveur. Mettre l’argent à notre service plutôt que notre temps au service de l’argent.
«L’intérêt composé est la huitième merveille du monde. Celui qui peut bien comprendre l’intérêt composé en bénéficie, celui qui ne le comprend pas… le paie.» Cette citation est attribuée au lauréat du prix Nobel et physicien Albert Einstein.
Evidemment comme dans ce monde l’argent pourri les gens, il faut se former gratuitement (livres, blogs) et ne surtout pas faire confiance à quelqu’un qui a quelque-chose à vendre, que ce soit des formations ou des produits financiers ou des banquiers.
Bref les amis, pour voyager sans limite, choisir d’être plutôt que de faire est aussi une solution.
Je vous souhaite à tous de devenir rentier et de construire votre indépendance financière.
Bons voyages
Bonjour Sylvain,
Je connais bien ces thématiques, mais l’article portait sur les métiers pour voyager.
Sinon, j’apporterais des nuances à tes propos :
– « gigolo, pique-assiettes, escroc » sérieux, tu conseilles cela ?
– Le plus important, c’est aimer ce que l’on fait. Si le cas kiffe le fait d’être archéologue, c’est sa passion, et bien c’est top.
Pourquoi changer ? Si pour l’autre, aider son prochain, c’est le sens de sa vie, et bien, c’est chouette.
-D’autre part, rentier, ce n’est pas un but en soi.Tu parles des interêts, ok, mais bon, tu ne crées rien, je ne trouve pas cela très
valorisant ou autre.
On peut exercer un métier que l’on aime tout en ayant une stratégie pour développer des revenus à côté etc.
En fait j’ai du mal à conceptualiser de passer ses voyages à travailler plusieurs heures par jour.
C’est pour cela que j’ai abordé les revenus passifs et la constitution d’un patrimoine pour atteindre l’indépendance financière et donc se libérer du temps pour Voyager VRAIMENT sans limites comme le « promet » ton titre.
L’argent est évidemment un moyen, pas une finalité, mais c’est la seule chose que je connaisse qui permette d’acheter le temps d’un autre. Qu’on le veuille ou non, le système est ainsi fait. C’est d’ailleurs pour cela que les gens veulent gagner de l’argent, c’est pour acheter le temps de ceux qui ont préparé leurs repas, on fabriqué ou pilotent les moyens de transport, ont construit leurs hébergement, entretiennent les réseaux internet, fabriquent leurs habits, etc.
« gigolo, pique-assiettes, escroc » sont effectivement un peu provocateurs, désolé, je m’explique. Tout d’abord, je ne conseille rien, j’aborde juste quelques autres moyens de profiter de son temps en voyage autrement qu’en travaillant pour vivre en voyage.
Je revendique que s’intéresser aux vernissages, inaugurations, défilés, débats, tables rondes, campagnes électorales, journées mondiales, fêtes nationales des ambassades ou maisons culturelles, emploi du temps des ministres, etc permet de se joindre gratuitement à des cocktails mondains qui permettent de manger, boire du champagne, rencontrer des gens passionnant et parfois rentrer accompagné après de belles soirées dans des endroits souvent exceptionnels et rarement accessibles aux touristes (ambassades, unesco, ministères, etc), bah c’est génial.
Il y a des multitudes de bouillonnements culturels en tous genre partout dans le monde : Voici un exemple rien que pour Paris : http://agenda.germainpire.info/week.php mais je me suis aussi faufilé à Berlin, Milan, New-York, Copenhague, Osaka, vienne, …
Le secret est qu’il faut en savoir un minimum sur son hôte et savoir le reconnaître, mais il n’y a aucun mal à se cultiver et à s’intéresser à l’art ou toute autre festivité. Si en plus on est nourris, abreuvés et même parfois logés et câlinés, pourquoi s’en priver. Ces agapes sont fait pour créer des souvenirs inoubliables à ceux qui s’y intéressent et ne font du tort à personne. Chacun y trouve son compte, le voyageur comme l’organisateur. Renseigner le livre d’or permet aussi de flatter l’égaux et l’aura international de notre hôte et d’être invité à d’autres festivités le lendemain. Après si les archéologues en voyage peuvent se payer du champagne tous les soirs après leur boulot avec leur paie, pourquoi pas, c’est un autre concept.
Bons voyages à tous
A une époque, à la fac, j’avais pratiqué les vernissages, c’était marrant :-).
Oui, cela dit ton point de vue est très centré sur argent pour avoir du temps. Ok, mais pour faire quoi?
De plus, l’important, ce sont les combats que l’on a choisis dans sa vie, développer, construire quelque chose sur le long terme, passer du temps, malgré les difficultés parfois à faire ce que l’on aime. C’est une des composantes du bonheur. Les joueurs du loto qui ne bossent plus et qui restent à boire de mojitos sur la plage tombent en dépression.
Je caricature, mais tu vois l’idée.
Bonjour Fabrice,
Tu l’as dit toi même (dans des podcasts ou dans tes excellents mails sur le développement personnel que j’apprécie beaucoup d’ailleurs) : « se sentir vivre c’est avoir des émotions, et le sens de la vie c’est de transmettre ». Je suis assez d’accord avec ça.
Il faut donc avoir du temps pour vivre des émotions et les savourer, il faut avoir du temps pour transmettre (culture, valeurs humaines, éducation, savoirs, compétences, …). Pour moi le temps est donc la principale richesse ; et en travaillant, bah on perd du temps puisqu’on le vend contre de l’argent.
Maintenant tu écris que le plus important ce sont les combats choisis dans sa vie et de construire à long terme. Ah bon ? Combattre et construire rend heureux ?
Je comprends ton format de pensé et ton rapport à l’argent et la rente, tu as été formaté par le système scolaire français. Le problème de la mauvaise image de l’argent est particulièrement prégnant dans notre belle France où la propriété, la richesse et la rente sont aussi mal vus que la culture financière y est absente.
Tu as l’image inculquée par la littérature française (Etienne Lantier et consorts portés aux nues) du bourgeois banquier gras, oisif et détestable alors que le rentier est un peu devenu gestionnaire de (son) patrimoine et financeur du développement des évolutions du monde moderne, et ce n’est pas forcément une activité de tout repos ou moins prenante que certaines autres activités. D’ailleurs les retraités (bien qu’ils soient de modestes rentiers) sont plus occupés que ceux qui bossent.
Qui aujourd’hui investi dans l’avenir des laboratoires biotechnologiques, des emballages plastiques sans pétrole, des technologies hydrogène, etc. ? Ce ne sont pas des salariés, mais bien des rentiers alors que tout le monde les exècrent injustement. Est-ce que les lavandières se plaignent de l’invention de la machine à laver ou les bateleurs de la moissonneuse batteuse ? sans compter les emplois créés autour pour ceux qui choisissent de ne pas voyager sans limite (ingénieurs, fabricants, commerciaux, livreurs, techniciens, réparateurs, …) ? et ce sont les investisseurs rentiers qui ont financé cela.
Je parle bien de rentier investisseur, et surtout pas du spéculateur sans foi ni loi qui n’aura aucun scrupule à gagner de l’agent sur les armes, la pollution ou les Bitcoins qui financent les insanités et horreurs du Dark Web.
Beaucoup de tes lecteurs auront les mêmes réflexions que toi, je ne le prends pas mal car le jugement provient très souvent d’une non connaissance des choses. Je voulais simplement élargir le champs des possibles pour tes lecteurs et proposer une alternative afin qu’ils puissent vraiment voyager sans limite et sans exercer de métier.
Visiblement, tu as une vision négative du travail, pour toi on ne peut trouver aucun plaisir dans une activité.
C’est dommage. J’ai un ami qui aussi cette vision, cela m’est familier.
Je ne sais pas d’où te vient cette vision. Pourtant, il y a plein de gens qui éprouvent du plaisir dans une activité qu’ils aiment.
Moi le premier.
« Combattre et construire rend heureux ? » bien sûr. S’investir sur le long terme dans des projets qui tiennent à coeur, qui demandent de l’effort, voire de faire face à des difficultés, cela apporte beaucoup. Tu as bien dû t’en rendre compte, enfin j’espère. C’est un peu comme faire un trek de plusieurs jours et arriver au sommet. Le plaisir ne sera pas le même que si on te dépose en hélicoptère.
Bref, c’est pas que moi qui le dit, loin de là, les sciences aussi d’ailleurs.
« Je comprends ton format de pensé et ton rapport à l’argent et la rente, tu as été formaté par le système scolaire français. »,Heu, je pense que tu fais un gros raccourci tout en jugeant, alors que tu dis plus bas que le jugement tient d’une méconnaissance…Tout à fait.
Tu déformes mes propos, je ne condamne pas le fait d’investir, d’avoir des rentes etc, j’en ai moi-même. Je connais pas mal ces thèmes :-). Mon propos est de dire que la vie est une question d’équilibre et qu’ériger le fait d’être rentier comme une fin en soi et comme le meilleur système est une erreur.
Bonjour,
Je viens réagir sur cet échange assez ancien mais dont le sujet est remis en lumière de nouveau avec la réforme actuelle sur les retraites.
Fabrice vous parlez du travail en terme de combat, peut-être s’agit il plus justement et en termes plus positifs, de créativité, de lieu de sociabilité, de partage, au service de causes et projets communs, eux qui donnent sens à l’existence. Le travail demande bien sûr effort et discipline même s’il répond à une passion.
Ce qui devient triste c’est la dépossession de l’initiative dans beaucoup de métiers et d’emplois, la non reconnaissance et l’abrutissement qui précipitent désormais les salariés et indépendants dans des effondrements physiques et psychologiques au travail .
Les points de vue et positions de Sylvain assez marginales ont tendance à se propager, en autre au regard de l’évolution négative des conditions de travail.
Vivre sans travailler en soi m’importe peu, vivre en profitant de ceux qui construisent et à leurs crochets est une vision détestable et surtout un manque d’amour propre et de considération pour soi !
Je connais autour de moi quelques discours et comportements de ce type, pour lesquels le droit aux soins, à l osto, aux RSA ou chômage ect… sont un droit. Alors là pardon je ne suis plus d’accord. Il faut assumer la jouissances de l’oisiveté dans toute sa dimension. Voyager sans avion, sans train, sans routes… vous verrez, on ne va pas très loin… et pour se faire à part des courageux je ne vois pas.
Oui
Sylvain j’ai adoré ton commentaire. Très pertinent. Puis-je te demander qui es tu dans la vie :-)??
Sylvain et Fabrice, je me suis régalée de vos commentaires qui, ont meublé ma soirée d’apprentissages intéressants.
Pour ma pars, je n’ai pas considéré l’argent comme une nécessité pour avoir une vie riche où, j’ai réaliser mes envies et, mes rêves.
À 16 ans, j’ai parcourue ma province Québécoise avec 20$, en poche, un sac à dos sur les épaules et, des rêves pleins la tête !
J’ai rencontré des personnes épatantes avec lesquelles ont a échangés autant nos capacités d’apprentissage de connaissances que des réalisations par des travaux physiques.
Ma rénumeration fut, le gîte et, le couvert qui a nourrit autant mon esprit que mon estomac.
À 18 ans, j’ai discuté avec une connaissance qui offrait des vacances auprès d’amis pré-sélectionnés. Je lui ai offert mon temps et, mes services comme concepteur de voyage en Amérique.
Avec elle, ma famille ou, des amies… J’ai visité maints endroits fabuleux découverts des endroits paradisiaques tels que ; Jonh’s Pennekamp Reserve, Miami, ect… J’ai effectuée des activités magiques en mer, sans omettre, les plages fabuleuses d’Acapulco.
D’autres réalisations tels que : L’alpiniste, la plongée sous-marine, des expéditions,
incroyables et mémorables ! Dont, la Jamaïque qui m’a séduite où, j’étais logé dans une villa comprenant Majordome, cuisinier et, jardinier…
Naturellement, j’ai eu plusieurs métiers mais tous furent enrechissant parfois plus aux niveaux des réalisations et des expériences, qu’aux niveau financier !
Mais sérieusement qu’est-ce qui doit être nourris en priorité ? L’esprit et, la connaissance où, les valeurs matérielles ? Sans chercher à combler mes finances, j’y suis quand même parvenue… Aujourd’hui, j’ai trouvé l’amour inconditionnel, en France. l’Europe est devenue ma nouvelle nation ! Dont j’offrirais mes découvertes de la France, de la Suisse, de l’Espagne et, de la Belgique à ma famille lors, de leurs prochaines visites ! Et, je n’ai pas terminé d’apprendre, d’explorer et de vivre pleinement ma vie, en relation de couple cette fois-ci !