Comment Utiliser des Guides de Voyage Gratuits !
61Les guides de voyage sont un secteur prolifique de l’édition. Il n’y a qu’à voir le nombre de collections qui se bousculent sur les étagères des librairies. Or, il existe plusieurs solutions pour consulter des guides de voyage gratuit !
- 1. Les avantages des guides de voyage
- 2. Utiliser les guides de voyage en ligne gratuit
- 3. Utiliser les ressources locales
- 4. Astuces pour télécharger des guides sur votre smartphone ou tablette
- 5. L’échange de guide de voyage
- 6. Utilisez les bibliothèques
- 7. Acheter des guides de voyage d’occasions
- 8. Préférez les guides sur une région
- 9. Et si vous partiez sans guide de voyage ?
Les avantages des guides de voyage
Il faut dire que chaque guide se vend au bas mot une dizaine d’euros, voir plus pour certains comme le Lonely Planet.
Ce qui représente un certain coût si vous projetez un long voyage. Sans vouloir poser la question pertinente du « pourquoi se passer d’un guide de voyage » (qui fera l’objet d’un autre article), les guides de voyage ont plusieurs avantages ::
-synthése globale du pays : informations culturelles, histoire, ce qu’il faut savoir, ce qu’il faut voir, les sites, les adresses etc.
-il vous accompagne tout au long du voyage, soit sous forme numérique, soit en version papier. Vous pouvez y faire des annotations, le compléter etc.
Acheter un guide de voyage sous le pretexte d’obtenir des informations récentes ?
Malgré ce qu’ils affirment, toutes les informations ne sont pas mises à jour à chaque édition... Je l’ai maintes fois vérifié et peut-être que vous aussi. Je vous conseil Travelfish. On dit que les guides en ligne sont l’avenir de ce secteur. Sans doute !
Utiliser les guides de voyage en ligne gratuit
Plusieurs sources :
Sites web de voyage : De nombreux sites web de voyage proposent des guides gratuits à télécharger. Explorez des sites tels que Lonely Planet, Rough Guides, ou TripAdvisor pour voir s’ils offrent des ressources gratuites.
Forums de voyage : Rejoignez des forums de voyage en ligne comme TripAdvisor ou VoyageForum pour demander des recommandations aux voyageurs expérimentés. Ils peuvent partager des liens vers des guides de voyage gratuits ou vous donner des conseils pratiques.
Applications mobiles : Certaines applications mobiles de voyage offrent des guides gratuits pour les destinations populaires. Assurez-vous de vérifier les fonctionnalités hors ligne pour ne pas avoir à utiliser des données en itinérance.
Les blogs de voyage : ils sont tenus par des voyageurs qui racontent leurs voyages avec détails.
Utiliser les ressources locales
Les offices de tourisme sont souvent des mines d’informations gratuites. Vous y trouverez des cartes, des brochures, des dépliants et des conseils précieux sur les attractions locales, les événements et les offres spéciales.
Renseignez-vous également auprès des habitants, comme les employés de votre hébergement ou les gens que vous rencontrez dans les cafés locaux. Ils peuvent vous donner des conseils authentiques et vous diriger vers des endroits que vous ne trouverez pas dans les guides touristiques traditionnels.
Astuces pour télécharger des guides sur votre smartphone ou tablette
Pour profiter pleinement de vos guides de voyage gratuits, assurez-vous de les télécharger sur votre smartphone ou tablette avant votre voyage. Voici quelques astuces pour vous faciliter la tâche :
- Utilisez des applications de lecture de PDF pour parcourir les guides facilement.
- Téléchargez les cartes pour un accès hors ligne, ce qui est particulièrement utile si vous voyagez dans des endroits où la connectivité internet est limitée.
- Organisez vos guides en créant des dossiers spécifiques sur votre appareil pour chaque destination que vous prévoyez de visiter.
- N’oubliez pas de charger une batterie externe pour votre appareil pour éviter de vous retrouver sans batterie en plein milieu de votre exploration.
L’échange de guide de voyage
Dans les guest-houses ou les librairies, vous aurez souvent l’occasion de pouvoir échanger vos livres, guides y compris. Pratique et peu chère ! Idem lors de vos rencontres avec d’autres voyageurs !
En fait, si vous projetez un voyage au long cours, il suffit de vous procurer seulement les deux ou trois premiers guides des pays visités. Ensuite, vous savez ce qu’il vous reste à faire!
Utilisez les bibliothèques
Pour un cours voyage, empruntez un guide à la bibliothèque municipale du coin.
Pourquoi acheter un guide qui va avoir une durée de vie limitée à deux ou trois semaines ? Faire des photocopies des pages qui vous intéressent et une autre option.
Acheter des guides de voyage d’occasions
Inutile de s’offrir la dernière édition de votre guide préféré. Le marketing veut nous faire croire que la nouvelle édition d’un guide est nécessaire.
Que nenni ! Comparez deux éditions, vous verrez qu’il y a très peu de changements. Aussi, pourquoi ne pas se procurer des anciennes éditions à un prix modique ? J’ai pu ainsi pour ce voyage-ci acheter plusieurs guides à trois euros pièces, suite à une annonce sur Voyage Forum. Certains datent de 5 ans même. Et alors?
Préférez les guides sur une région
Dans le cas de longs voyages dans une zone de la planète, des guides offrent une synthèse de plusieurs pays. Je pense notamment aux guides du Lonely Planet et ses gros pavés sur une région du monde.
Par exemple, pour ce voyage, je me suis procuré le guide « Central america on a shoestring ». Les pays de la région y sont traités à travers 800 pages. Bien sûr, c’est moins complet que si vous aviez acheté chaque guide, mais que d’économie d’argent et de poids ! A noter que ces guides ne sont disponibles qu’en anglais.
Et si vous partiez sans guide de voyage ?
Lorsque vous voyagez avec un guide traditionnel, vous avez tendance à suivre un itinéraire fixe, ce qui peut parfois vous laisser l’impression de passer à côté des découvertes spontanées. Or, laissez une place aux imprévus, aux rencontres est une des plus belles choses à faire en voyage.
Sans ces livres, vous êtes plus à même de rester ouverts et de sortir des sentiers battus. Vous n’êtes pas lié à un itinéraire rigide, vous pouvez suivre vos intérêts et vos impulsions du moment.
Si vous avez d’autres suggestions, n’hésitez pas ! Et vous, achetez-vous tout le temps vos guides ?
Connaissez-vous et utilisez-vous des guides en ligne ?
A lire : quel guide de voyage choisir ?
Intéressant ton article Fabrice ! Merci
Hâte de lire « Pourquoi se passer d’un guide de voyage », car c’est ce que j’essaie de faire de plus en plus 🙂
Merci Julie! Oui, faut que je me réserve un moment pour l’écrire:-) Sûr que le débat serait riche!
Les guides en anglais sont une très bonne chose : ça permet d’apprendre le vocabulaire spécifique (par exemple, pour la Mongolie, le mot « yourte » est utile, mais qui sait dire ça en anglais ?) et donc de communiquer beaucoup plus facilement (pour les noms de monuments, par exemple, tous les « palais royaux » ne sont pas forcément des « royal palaces » !).
Tu as raison, les guides en anglais sont un plus pour la langue! J’essaie de même de prendre toujours un guide du lonely en anglais. D’ailleurs, je préfère ces guides au Routard dont le ton parfois moralisateur me tape sur les nerfs:-)
Ah, je vois que je ne suis pas le seul à ne plus supporter le ton bobo et et moralisateur du Routard 🙂
Perso, je ne prends que des guides en anglais. Généralement, le Lonely ou alors le Rough Guide.
Non tu es pas le seul, depuis celui sur la Thaïlande, je supporte plus! Un guide n’a pas à donner des conseils avec ce ton là.
Ne pas utiliser de guide de voyage est difficile les premiers jours de l’arrivée dans une nouvelle région. C’est certain que le poids est un problème important, il est toujours possible avec un smartphone de lire des pdf.
En tout cas, les guides en ligne ont développé leur appli pour iphone et Co.Sans doute, est-ce l’avenir des guides de voyage….
très bien ton blog!
Je suis d’accord avec toi sur le fait que ces guides deviennent vite « obsolètes », surtout dans les pays émergents tel que le Vietnam. En voyageant à un an voir quelques mois d’intervalles il m’est arrivé de ne pas reconnaître ma rue. La plupart des adresses de restaurants, salons de massage changent.
Néanmoins mon guide m’a beaucoup aidé dans la découverte de Ho CHi Minh Ville. Il m’est souvent arrivé de partir découvrir la ville à pied avec pour seul guide mon livre. C’est où j’ai pu vraiment connaitre la ville pratiquement sur le bout des doigts. Du moins le centre ville.
Hâte de découvrir ton prochain article sur comment se passé d’un guide.
C’est vrai que dans ces pays, les commerces changent à vitesse grand V, c’est assez impressionnant!
Moi, le flot des deux roues à HCMV m’a traumatisé:-) Jamais vu autant dans une ville! Tu as aimé la ville?
Oui j’ai beaucoup aimé l’amination de la ville. Le flux des deux roues m’a beaucoup impressionné surtout lors du baptême de traversée de route. Mais ce qui m’a le plus impressionné c’est le nombre de rencontres que j’ai pu faire en un temps record. Surtout lorsque que tu visite la ville comme Tewoz, en prenant une carte et ton sens de l’orientation.
Oui les guides, ça aide c’est sûr, mais ça formate aussi beaucoup nos comportements, vous ne trouvez pas ? On se retrouve souvent avec beaucoup d’autres, qui ont le même guide… (ça vaut surtout pour les best-sellers)
Personnellement, je trouve ça prémâché, et un peu « anti-aventure ». Avant d’arriver dans un endroit on sait déjà ce qu’on va y trouver. On se passerait aussi volontiers de se faire rappeler que beaucoup d’autres sont passés par là avant nous (oui bon, je le sais, bien sûr, mais laissez-moi rêver :)).
Et puis combien de fois avons-nous été déçus par les soit-disant trucs « immanquables », « à ne pas rater »… ! Tout ceci est tellement subjectif. Chacun n’attend pas la même chose d’un voyage. Pourtant en lisant le mot « incontournable » on se sent obligé d’aller les visiter, ces maudites ruines ! On passerait sinon à côté de quelque chose, c’est sûr.
Ne vaut t’il pas mieux ne rien lire du tout, être un imbécile heureux,… libéré ?
En fait je crois que c’est juste bien pour les hébergements. J’essaie de me limiter à cet usage maintenant, quand je galère.
(Bref, Fabrice tu l’auras compris on attend ton article avec impatience ^^)
Ça me rappelle une anecdote : en Inde, le Routard conseillait une « petite ville pas encore très touristique » dans le Shekhawati. Résultat, la ville comptait plus de touristes français que d’habitants !
Maintenant, j’ai le comportement inverse : je ne lis plus les conseils en matière d’hôtels (les « très bon rapport qualité prix à l’ambiance familiale » qui se transforment en cuisine sans chauffage qui pue la clope et où y’a juste un matelas dans un coin… ) mais j’apprends à faire du tri quant aux visites. Finalement, on sait quand même ce qui nous intéresse, que ça soit les vieilles pierres, les musées, les endroits « vivants » ou les coins sauvages.
Tout à fait d’accord avec toi Julie!
En fait, la fonction d’un guide c’est avant tout de rassurer finalement…
C’est vrai aussi qu’on arrive sur un lieu, un site avec un préjugé négatif ou positif. Ce qui formate ensuite notre opinion.
Un guide devrai être en fait subjectif, juste une liste de site sans opinion.
Le côté le plus interessant pour moi dans un guide, c’est la partie infos sur le pays et les sites. Sinon, pour les resto, hébergement, je trouve qu’on peut facilement s’en séparer. Mais promis, j’en reparlerais:-)
Salut Fabrice et bonjour aux lecteurs d’Instinct Voyageur
En Asie du Sud-Est on trouve un service d’échange de livres dans énormément de Guest House.
Vous n’avez pas de livres à échanger ? Pas de problème, vous pouvez également les acheter d’occasion. On trouve des romans, des guides, et même quelques surprises (j’ai déjà échangé un guide du routard contre un livre en japonais sur le management !)
J’ai pu voir au Cambodge des GH qui achètent des contrefaçons de Guide du Routards et de Lonely Planet et les revendent + cher dans en les mettant dans leur bibliothèque. J’ai été bluffé par la qualité des contrefaçons. On dirait presque des vrais !
Salut Arnaud!
Oui, la qualité des contrefaçons est pas mal! En fait, tu vois la différence sur les photos qui là par contre sont de mauvaises qualités!
Et oui en Asie d’une façon général, il est facile d’échanger dans les GH. Idem en Amérique Latine, quoique peut-être c’est moins développé.
Très bon article. Moi j’utilise les apps iPhone qui sont consultables hors-ligne, ce qui est très pratique à l’étranger. De plus Lonely Planet offre ses guides gratuitement au téléchargement dans l’année pour des événements spéciaux. A télécharger et à garder pour un prochain voyage 😉
Moi j’achète toujours les guides, ça me permet de voyager un peu avant de partir en lisant les parties culturelles et historiques… Sur place, j’aime avoir des détails historiques au moment de la visite donc franchement je ne m’en passerai pas.
Je les achète et je les garde même si ça coûte cher, car je suis une accro aux livres en général et me séparer un est un torture… Je pourrai envisager d’emmener avec moi la version dématérialiser, mais je continuerai à acheter la version papier, même si je la laisse à la maison, pour la lire avant de partir et en revenant!
Sinon il existe des sites de troc en ligne. Pour ma part j’utilise Bookmooch, mais il y en a bien d’autres…
Moi aussi, je préfère la version papier aux ebooks.
Lucie, tu met le doigt sur un avantage des guides: le plaisir de les parcourir avant un voyage: imaginer comment doit être ces paysages, rêver sur une carte, etc. J’adore aussi!
Au final les beaux livres et autres livres de voyages pourrait tout aussi bien faire l’affaire mais ce n’est pas forcément le même prix…
Oui! Cela dit, il reste les bibliothèques, très riches!
Comme Lucie, j’achète, neuf ou d’occasion, un guide avant chaque voyage. Je privilégie, quand plusieurs éditions sont disponibles, les guides avec des détails sur l’histoire, la faune et la flore, la géologie mais ne suis pas fan des listes d’adresses de restaurants…
Et systématiquement j’accompagne la lecture du guide de celle d’un roman sur le pays, d’un auteur du pays ou d’une biographie d’un personnage clé de son histoire en angle de vue complémentaire et en autre forme de plaisir pour découvrir l’endroit où je suis.
J’ai longtemps acheté les guides pour finalement me rendre compte que la plupart du temps ils ne sont plus à jour au moment de la visite.
Depuis j’utilise la technique d’internet, en allant sur des sites (blogs ou autres), je m’imprègne de la ville ou de la région que je vais visiter, je prend note des choses à ne pas rater, j’imprime, puis une fois sur place, je trouve une carte de la ville (centre d’information ou dans les gares ou aéroports), et je recoupe avec les infos que j’avais glané.
Après je me perd et je demande aux gens, ca permet de découvrir d’autres choses, souvent plus intéressantes.
Franchement, parfois, c’est limite de la pub mensongère quand ils disent que c’est mise à jour chaque année…
Oui, tout à fait d’accord, je perdre et demander aux gens et découvrir de nouveaux lieux à l’écart, c’est un sacré plaisir!
J’adore les guide et surtout le Lonely Planet. L’achat d’un guide n’exclut pas l’usage des mises à jour sur internet car en effet, les pays émergents sont en perpétuel mouvement et même le guide le plus récent s’avère dépassé sur certains éléments.
Le guide est, comme son nom l’indique, un guide et pas une bible avec des commandements à suivre à la lettre. Il est là pour permettre de s’orienter, pour nous aider à construire un itinéraire, pour les cartes. Pour le reste, c’est tellement agréable de suivre les conseils des autres voyageurs rencontrés en cours de parcours, de la population locale qui a toujours de bonnes adresses.
Vivement le mois prochain que je puisse voir ce que mon guide sur l’Indonésie me promet.
Le LP est aussi mon guide préféré. En effet, le guide est comme son nom l’indique…un guide!
Avant le voyage, il a pour effet de faire rêver à sa prochaine destination. Et toi Aldona, dans quel coin de l’Indonésie vas-tu?
Je pars 1 semaine à Java et 2 à Bali où je compte plonger sur les îles alentours.
excellent Aldona! Tu plonges souvent? J’ai plongé seulement à Pulau Weh en Indonésie à Sumatra.
Pour l’indonésie, attention, aucun guide n’est à jour.
Le LP pour Java par exemple : les prix sont en général à majorer de 20 ou 30% minimum.
Les transports cités parfois n’existent plus.
Et je ne parle même pas des hôtels ou des restaus 🙂
Il faut avouer que le guide papier est quand même bien plus pratique que la version électronique. Je me vois mal sortir mon ordinateur pour lire un quart d’heure dans le bus par exemple.
Les « shoestring » guides sont intéressant pour les voyages au long cours. Ils restent succinct ce qui laisse de la découverte, tout en étant utile quand on débarque dans certains endroits !
Hâte de lire le prochain article sur le sujet 🙂
A+
Si tu as un iphone, c’est pratique! Si tu dois sortir ton ordi, en effet, laisses tomber!
Oui les shoestring sont franchement suffisant!
Hello Fabrice,
voilà j’ai fait une petite recherche pour toi concernant le helpexchange en Colombie et… malheureusement il n’y a pas d’hôtes pour l’instant dans le pays. Et le woofing, ça te tente? Je suis à peu près sûre que c’est possible là-bas, tu dois juste te procurer le guide répertoriant les adresses (dans un centre d’information touristique tu peux normalement te le procurer). Je sais qu’il y a des hôtes qui accueillent des voyageurs même pour des durées assez courtes (une semaine).
Bonne chance!
Aline
Merci Aline!
Personne donc dans le pays? Helpexchange est donc moins développé, j’irais faire un tour!
Ha si le woofing est au programme! Mais je pense le faire plutôt au Pérou, Bolivie ou Amérique centrale. Je crois que tu dois t’inscrire sur le site, et payer une cotisation pour avoir accès aux adresses, c’est bien cela? Je pensais pas que dans un centre d’info touristique, ils avaient ce genre d’adresses. Tu es passé par quoi toi pour trouver des adresses? Deux semaines, cela me dirait bien!
Bonjour Fabrice, j’ai déjà évoqué ce sujet une ou deux fois sur mon blog. Pour ma part je fais toujours ce que j’appelle un repérage virtuel sur le web : forums, blogs, offices de tourisme. Et je compile ce qui m’intéresse. Ensuite il y a aussi la possibilité d’acheter des chapitres seulement de certains guides sur le site de Lonely Planet par exemple : moins de 5 € le chapitre « histoire » ou « culture et traditions » sur un pays ou sur une région précise, tu télécharges sur ton ordi et tu emportes avec toi au bout du monde. Léger, peu cher, très pratique à lire aussi dans l’avion pendant le vol pour affiner ton programme…
🙂
Bonjour Marie-Ange!
Ce que LP présente est très pratique et intelligent je trouve, le guide à la demande en fait!
Je l’ai jamais utilisé mais à l’avenir, je vais y penser!
Cette solution est vraiment une des plus facile: on télécharge juste les chapitres dont on a besoin et on n’a pas besoin de porter un gros guide de voyage dans son sac à dos.
NowMadNow
Je partage beaucoup de sentiments un peu « anti’ guide de voyage, mais enfin j’ai trouvé utile pour Costa Rica ou notre guide a servi pour indiquer quelles routes il ne faut pas prendre pendant la saison de pluie au contraire de notre GPS… Si vous prenez des guides en anglais, amazon.co.uk est beaucoup moins cher que amazon.fr. Le LP Thaïlande est 29EUR en france et £8.50 (moins de 10EUR) en angleterre. Il reste encore les couts d’envoi par contre…
Merci pour l’info Nick! Il y a une sacré différence de prix! 3 fois plus cher en France? C’est étonnant!
Tu sais à combien ce monte les frais d’envoi pour la France? Tu dois être gagnant je pense non?
ca mériterait que je rajoute un paragraphe à l’article sinon!
Voir aussi les guides anglophones Bradt que j’utilise beaucoup et surtout sur les destinations très peu voyagées par les visiteurs français. J’avais acheté le premier avant mon voyage au Malawi et au Botswana. Sérieux, et plus fiable que le Routard qui euh… (bof). Malheureusement Bradt n’a pas encore de version électronique mais très très utile avant le voyage pour faire un vrai repérage.
Merci du conseil ! Bradt je ne connaissais pas : je vais tester pour l’Islande
En effet, les guides Bradt sont une référence pour les pays hors sentiers battus. A l’époque, je l’avais utilisé pour l’Ukraine. Ils font même la Corée du nord….Peut-être l’Irak?:-)
C’est quoi le problème des conseils du routard sur la thailande? Je demande avant d’acheter…
A bientot
Prend le LP plutôt!
Non mais c’est un détail mais il y a des passages moralisateurs sur la prostitution à Pucket et autre. Genre . Même Houellebecq en parle dans son roman « plateforme » . (que je conseil, j’en parle sur mon blog). Moi, perso, j’aime pas trop ces remarques dans un guide.
Oui, on m’a dit aussi qu’il y avait des partis pris évident. Notamment Pattaya qui est presque entièrement sauté. Passé votre chemin -> il n’y a rien à voir. Un peu dommage…
Faut dire que c’est assez la débauche dans le coin…N’empêche un guide se doit de traiter un lieu objectivement sans y mettre un filtre personnel non?
C’est d’autant plus idiot que Pattaya devient de plus en plus un lieu vacances ‘ordinaire’ du fait de l’afflux de touristes russes qui sont là pour la plage (qui est pourtant assez moche et polluée…) et le soleil.
L’aspect ‘débauche’ est toujours là (mais c’est le cas de plein d’endroits de Thailande après tout. Et que je sache le routard parle bien de Phuket voire des quartiers chauds de Bangkok ce qui montre bien leur hypocrisie) mais la municipalité travaille beaucoup à transformer son image.
Pour tout te dire, je ne connais pas ce lieu. Mais en effet Phuket ou les quartiers chauds de BK, c’est kiff kiff.
Par contre les touristes russes, c’est spécial:-)
J’avais vu que parfois ils offraient des guides gratuits en pdf pour smartphone.
Je suis antiportable en voyage mais cette petite bête devient de plus polyvalente je trouve.
de plus en plus polyvalente….d’ici peu, cela deviendra plus difficile de s’en passer.
Les sites internets sont d’excellents guides! On peut aussi acheter des guides dans le pays lui même, exemple lorsque j’étais en Thaîlande, le guide coutait 10 euros alors que le livre coute 3 fois plus chers en France, le seul bémol c’est que c’est en Anglais 🙁
et c’est piraté aussi:-), ce dont des copies
ça coute une blinde généralement ça donc merci des tuyaux 🙂
Globalement, je pense qu’on rencontre tellement de monde sur place qui sont susceptibles de nous donner de bons plans que les guides ne s’imposent plus tellement, hormis pour le vocabulaire spécifique éventuellement 🙂
Tu as tord Jérémy, tu passes peut-être à côté de beaucoup de choses;-)
C’est sur, mais j’en découvre surement d’autres 🙂 Ceci dit, je pars quand même avec des guides pour le moment, le bon vieux Lonely Planet papier.
Tu vois, c’est complémentaire:-)
bonjour
je me rends courant aout au vietnam,,( hanoi hué ho chi minh la baie d halong,, et apparement il y a des guide pdf,. Pouvez vous m’aiguiller vers quelques un de ces guides?
merci
Bonjour,
Si tu parles des guides pdf,il suffit de te rendre sur le site du Lonely:-)
Je suis vietnamienne, guide à Húe. Quand vous irez à Húe, me contact. Merci beaucoupe 🙂