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    Pierre, profession : grand voyageur en « business class »

    13
    • par Fabrice Dubesset
    • - Mis à jour le 5 Déc 2021

     Le commerce international est un des secteurs qui permet de voyager. Surtout quand on est spécialisé sur le développement international de PME comme Pierre! Il a visité plus de 50 pays les 4 dernières années, dont certains plus de 10 fois.

    Dans cet article, Pierre va nous parler de voyage et de son métier. Un passionné! Il est l’auteur d’un eBook dédié aux Stratégies Export et d’un blog: http://strategiesexport.blogspot.com.

    Sommaire

    • 1. « Changer son regard sur le monde »
    • 2. Les 5 villes qui m’ont le plus surpris
    • 3. Les 5 petits moments de vie dont je me souviendrais toujours
    • 4. Question de planning
    • 5. Le quotidien
    • 6. Sport en bien-être en voyage
    • 7. Gérer le décalage horaire

    « Changer son regard sur le monde »

    Il est des choix dans l’existence qui transforme une vie. Et certains font le choix comme moi de faire de leur métier un voyage perpétuel autour de la planète. Pourquoi voyageons-nous finalement ? Dans la vie, on peut choisir de rester dans son bureau et passer toute sa vie dans un rayon de 50km autour de son lieu d’habitation. D’autres décident de parcourir le monde pour découvrir « les autres ».

    Je dis souvent que le voyage, c’est le polissage de notre âme, de nos êtres. Car curieusement, on se découvre soi-même en voulant découvrir les autres, tel un voyage intérieur à la recherche de notre âme solitaire.

    En effet, on ne reste jamais le même après la rencontre d’une autre culture. Notre regard sur les choses et la condition humaine change, loin de préjugés gaulois parfois trop étriqués.

    Ces questions très personnelles doivent nous rappeler la complexité, mais aussi la richesse extrême d’une démarche de développement personnel à l’international.

    Et vous, que vous inspire le voyage ?

    Pour moi, c’est de réussir à être en enchantement devant les choses les plus simples.

    A lire : pourquoi je voyage ! 

    Les 5 villes qui m’ont le plus surpris

    Bien entendu, il est difficile de faire un classement et c’est largement suggestif puisque je m’y suis rendu dans le cadre de mon boulot c’est à dire un parcours en général du style ; aéroport, taxi, hôtel, client, client, client, taxi, aéroport. Mais je garde des souvenirs de l’ambiance générale.

    1- New Delhi, Inde

    Ce qui m’a surpris, c’est le monde, partout, tout le temps. Officiellement 16 millions d’habitants. Au milieu des autoroutes, sous les ponts, dans les endroits de végétation, au bord du Gange. D’ailleurs, au bord du fleuve, vous verrez quelqu’un faire sa toilette, un peu plus loin des cochons sauvages, quelqu’un laver son linge, un autre faisant ses besoins. Puis il y a les Klaxons incessants aussi que l’on utilise à tort et à travers partout en ville, vacarme ahurissant qui s’ajoute à l’odeur pesante de la ville. Les animaux au milieu de nulle part. Un éléphant au milieu de l’autoroute qui créé un bouchon d’une heure, les vaches sacrées, les singes. Enfin, comme dans tous les pays en développement, la pauvreté extrême.

    2- Tokyo, Japon

    Ce qui est surprenant au Japon, ce sont les contrastes entre le passé et le futur. Exemple, un jardin Zen où règne le calme absolu et la sérénité et une fois la porte passée, le monde, les buildings géants, les enseignes et les autoroutes sur 3 niveaux. Les Japonais, c’est l’ordre, la propreté. Vous serez surpris partout de l’extrême quiétude des gens et du soin avec lequel les japonais vont dans le détail dans tous les domaines, architecture, gastronomie, art, design, technologies. Un grand Disney Land dans lequel on est l’acteur. Ma destination préférée reste Kyoto, l’ancienne capitale restée un peu médiévale. J’adore m’y promener pour vivre comme au temps des samouraïs.

    Vietnam

     A lire : le Japon pas cher

    3- Prague, République Tchèque

    J’adore cette ville facilement accessible depuis Paris. Idéale pour un week-end. On peu y flâner toute la journée et admirer l’architecture typique des pays de l’est. Si vous allez dans l’arrière pays, vous y découvrirez une Europe encore un peu protégée des ravages de l’urbanisation avec des restaurants pas chers du tout et une nourriture paysanne typique style ragout et choux.

    4- Sao Paulo, Brésil

    Ce qui surprend au Brésil, c’est le melting-pot des races. C’est vraiment agréable de s’apercevoir qu’il est impossible de faire une distinction à partir de la couleur des gens. Lorsqu’on se promène dans les parcs de la ville, les gens font du sport et ont le culte du corps, du physique et s’assume entièrement. Un mec gras ou une fille au fesses rondes n’ont aucun complexe ici et font du footing torse-nu ou en string. Surprenant pour nous. L’autre surprise, c’est effectivement le décalage entre les classes et la violence qui en résulte. Même constat en Afrique de sud d’ailleurs où vous passez d’un quartier de villas luxueuses au bidonville de l’autre côté de la route.

    5- New York, USA

    Comment ne pas évoquer cette ville de la démesure. Tout est gigantesque ici. Les grattes ciels, les lits à l’hôtel, les verres de coca, les hamburgers, les cafés d’un demi-litre !

    Paradoxalement, le contraste de se sentir minuscule mais complètement libre est surprenant. Peut-être l’abondance de choix dans tout ce que la ville nous offre nous donnes-t-elle cette impression de liberté ?

    Ici, la vitesse et le pragmatisme dans les relations sont aussi un paramètre à prendre en compte dans la démarche à l’autre. Pour travailler ici, autant être prêt !

    Les autres villes que j’ai adoré.

    Saint Petersbourg, Barcelone, Rome, Dakar, Cap Town, Saigon, Buenos-Aires, Munich, Dublin, Zurich et tant d’autres.

    Les 5 petits moments de vie dont je me souviendrais toujours

    Le goût des banh cuon (crêpe blanche à la viande) au petit matin dans l’arrière boutique d’une rue de Saïgon,

    Le coucher de soleil un soir de printemps sur le lac de bled en Slovénie,

    Le bruit des vagues sur une plage non loin de Cap Town en Afrique du sud sachant que de nombreux requins blancs nagent à quelques centaines de mètres…

    L’ivresse à Kiev dans un restaurant avec orchestre typique Ukrainien où la Vodka relie les hommes.

    Au Sénégal ma rencontre avec un marathonien sur une plage qui m’amena déguster un Tiep Bou Dien maison (Riz et poisson) chez lui cuisiné par sa femme dans un petit village de pêcheur,

    Question de planning

    En ce qui concerne mon organisation, j’organise mon planning à l’année en sachant que je fais en général chaque mois 2 semaines en Europe et une semaine sur le grand export.

     

    Un exemple de semaine en Europe

    Je pars en général le Lundi matin premier avion à 7h.

    Lundi : Taxi RDV, 2eme RDV, Taxi aéroport vers un 2eme pays. Hôtel

    Mardi : Taxi RDV, 2eme RDV, Taxi aéroport vers un 3eme pays. Hôtel

    Mercredi : Taxi RDV, 2eme RDV, Taxi aéroport vers un 4eme pays. Hôtel

    Jeudi : Taxi RDV, 2eme RDV, Taxi aéroport vers un 5eme pays. Hôtel

    Vendredi : Taxi RDV, Taxi aéroport puis retour maison.

    Un exemple de semaine en grand export

    Départ Samedi soir dernier vol.

    Arrivée Dimanche matin en Asie ou samedi soir aux USA en fonction du décalage. Hôtel et repos. Petit tour en ville.

    J’enchaine les RDV dans tous le pays toute la semaine par taxi, location de voiture ou avion ligne interne.

    Retour Samedi matin et enchainement avec une semaine Europe ou parfois une autre semaine grand export.

    Le quotidien

    L’aspect le plus important de mon métier est le facteur interculturel dans la relation. Avec le temps, je me suis forgé des techniques pour pénétrer dans l’âme des gens, sonder les non-dits. La grande majorité de la communication est non verbale, basée sur des facteurs personnels puissants.

    La vision que nous avons des hommes, du travail, de la société, de la nature, du temps, de l’argent, des hobbies sont des éléments qui impactent directement votre capacité à établir des bonnes relations… ou pas. Mon métier et de comprendre l’autre, donc de me comprendre moi-même. A partir de mon analyse, je dois créer à partir de mon discours des potentiels, convaincre mes interlocuteurs, les enchanter. Je travaille toujours longuement mes présentations que je bâtis selon un scenario de drame hollywoodien. Un drame, une énigme, une intrigue, un sauveur, et puis du rêve…

    Sport en bien-être en voyage

    Pour maintenir mon bien-être, je fais 10 minutes d’étirements lorsque je pose mes valises en arrivant à l’hôtel, quelques abdos , quelques pompes et quelques Katas . Ensuite, après la douche, je commande un room service et je mange devant mon pc portable pour traiter mes emails, faire mon rapport de la journée ou retaper un article pour mon blog que j’écris toujours à la main dans l’avion ou à l’aéroport. Où je suis tout le temps en fait. J’appelle aussi mes enfants via skype si possible avec la webcam.

    A lire : 10 conseils pour garder la ligne en voyage 

    Pour les repas du soir, au début, je sortais en ville pour profiter mais cela n’a pas duré longtemps. En effet, cela devient de plus en plus rare car c’est trop difficile pour l’organisme.  Et il me faut quand même bosser en revenant tard. Donc pas le choix. Et puis être seul tout le temps, c’est pesant.

    Par contre, lorsque je visite un de mes distributeurs, il est normal que l’on sorte ensemble dans un bon resto et qu’on boive quelques verres. C’est la tradition dans le métier. On refait le monde alors. Question nourriture, je prends toujours les plats et restaurants locaux loin des centres touristiques, si possible. J’aime découvrir et être surpris par les saveurs.

    Je sors aussi de courir le plus souvent possible au réveil avant le petit déjeuner une demi-heure pour éliminer la fatigue et rebooster mon corps. Je fais des parcours avec google earth autour de l’hôtel. Je cours avec une lampe frontale l’hiver. C’est à ce moment que je « recalcule tout mon mental », que je fais le vide et que je repars avec de nouvelles idées ou décisions pour ma journée. Je repense souvent aussi à ce que j’aurais pu faire de mieux ou différemment. Je fais du VTT les dimanches matins où je suis chez moi avec mes amis. C’est vital. Lorsque je suis en France, je vais au Karaté Contact le mercredi et Jitsu le Vendredi. Les arts martiaux me permettent de me fixer un cap mental qui m’est nécessaire.

    moscou

    Gérer le décalage horaire

    Pour les longues distances, c’est différent car il y a le décalage horaire. Avant de partir, j’essaie de retarder ou d’avancer progressivement mon heure de coucher dans la semaine qui précède mon départ. J’essaie aussi de dormir un maximum dans les avions en général pour récupérer. Maintenant, je prends des pilules qui s’achètent en pharmacie (Cyclamax) que l’on prend le repas juste avant de se coucher. Elles aident soi-disant à passer la nuit sans se réveiller au beau milieu. Mais honnêtement, je ne trouve pas qu’elles aient une grande efficacité.

    Je me tape donc très souvent des chaînes bizarres à 3 ou 4 heures du matin. Par exemple au Japon, mon faible, c’est de regarder les sumos ou leurs jeux débiles dans lesquels des participants doivent sauter des obstacles ahurissants en mouvement sans tomber dans la boue.

    Dans tous les cas au coucher, je lis 2 ou 3 pages de mon bouquin du moment pour m’endormir avant d’éteindre la lumière et de faire 1 ou 2 minutes d’exercices respiratoires dans le noir et faire le vide dans ma tête.

    Essayer de ne plus penser à rien et l’exercice le plus difficile qui existe.

    Si mon emploi du temps le permet pendant la semaine mais c’est quand même rare, je me force à faire une sieste d’un quart d’heure, une demi heure pour récupérer.

    Je vis de ma passion, « la rencontre avec les autres » et c’est ce qui me fait avancer. Même si ce métier est parfois difficile et fatiguant, découvrir toutes les richesses de ce monde reste une expérience merveilleuse. A condition de savoir regarder les choses simples et les apprécier à chaque instant à leurs justes valeurs. Et très souvent, les images qui m’émerveillent ne sont pas forcément les visites de lieux fastueux, bien au contraire. J’aime le quotidien des gens et c’est pour çà que je me sens chez moi partout.

    Personnellement, je suis surpris par le rythme, cela ne doit pas être de tout repos ! J’apprécie beaucoup l’état d’esprit de Pierre en tout cas!

    Vous pouvez donc le retrouver sur son blog!

    Si vous avez des questions pour Pierre, entre deux avions, il devrait pouvoir vous répondre!

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    A propos de l'auteur

    Fabrice Dubesset

    Voyageur au long cours depuis plus de 25 ans, auteur et créateur d’Instinct Voyageur,j’ai créé ce blog de voyage en 2010. Je partage ici mes récits, conseils et réflexions pour voyager plus souvent, plus longtemps, plus intensément !
    Je suis l'auteur du livre « Libre d’être digital nomad », Ed Diateino, .
    À propos de Fabrice Dubesset, auteur d’Instinct Voyageur

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    13 Comments

    1. Pierre Blog Stratégies Export dit :
      11 novembre 2011 à 11 h 23 min

      Excellent post Frabrice 😉

      N’héistez pas à poster vos questions, j’y répondrais avec grand plaisir.

      Amicalement

      Répondre
      • Fabrice dit :
        11 novembre 2011 à 18 h 17 min

        Merci Pierre!
        Bon courage pour le job!

        Répondre
    2. Cédric Paradis Blanc dit :
      12 novembre 2011 à 13 h 33 min

      Dis donc, ça fait rêver… Il faut quand même respecter une certaine hygiène de vie, sinon c’est la surchauffe j’imagine. En tout cas, ça donne des idées pour des voyages, professionnels ou non 🙂

      Merci pour les tuyaux !

      Répondre
      • Fabrice dit :
        13 novembre 2011 à 17 h 53 min

        Tiens, j’avais eu l’idée de ton site:-)

        Répondre
    3. Pierre Blog Stratégies Export dit :
      13 novembre 2011 à 11 h 05 min

      L’hygiène de vie est essentielle sinon on explose et surtout l’organisation.
      Tout doit être préparé avec minutie. En premier lieu mon planning donc celui de ceux qui le partage avec moi. Mon épouse, la nounou de mes enfants. Ensuite mon assistante, mon DG et les membres de mon équipe.
      Ensuite mon bagage. Avec le temps j’ai éliminé le surperflu et je tourne toujours avec les mêmes éléments. En europe j’ai un seul bagage de type mallette ordinateur portable avec des roulettes dans lequel j’ajoute 4 chemises, 4 slips, 4 paires de chaussettes et ma trousse aux dimensions reglementaires.
      Pour les longs courriers, une valise légère reconnaissable (surtout pas de couleurs noire pour mieux l’a reperér à l’arrivage des bagages.) un bagage cabine avec mon ordi, un bouquin, un petit bloc de papier blanc et un stylo notament pour remplir les formulaires d’entrée dans le pays).
      Sur moi, mon telephone et un petit porte passeport en cuir avec dedans ma carte bleue, un peu de cash, mon passeport et les billets d’avions.
      Pour les voyages, je passe par une agence avec une personne qui m’est dédiée spécialement avec ligne directe. Il me suffit de dire l’heure de depart et la destination et elle reserve en direct et peu me changer de billets n’importe où dans le monde. Par exemple, si je suis déjà devant une porte d’embarquement et que mon avion est annulé, je l’appelle et elle me reserve en direct un nouveau billet dans une autre compagnie et je n’ai plus qu’a aller devant la nouvelle porte d’embarquement. Idem pour les hotels où elle sait immediatement combien il reste de chambre dans l’hotel par exemple. C’est aussi eux qui gere mes demandes de visa.

      Répondre
    4. Lucie dit :
      15 novembre 2011 à 0 h 19 min

      Article très intéressant! C’est génial de pouvoir vivre de sa passion. J’ai fait commerce international avec la même idée au départ, voyager et rencontre beaucoup de gens. Ca doit être fatiguant, non? Même avec une bonne hygiène de vie, entre les décalages horaires et le manque de sommeil. En tout cas, ça donne envie!

      Répondre
    5. Pierre Blog Stratégies Export dit :
      16 novembre 2011 à 15 h 06 min

      Oui, c’est usant sur le grand export. En europe, c’est moins fatiguant qu’un commercial qui fait de la route en France par exemple.
      Le plus dur, c’est la culpabilité permanente de ne pas être prêt de ses enfants. De ne pas vicre tous les petits moments du quotidien.
      Souvent je regrette de passer à côté de l’essentiel de ma vie, mes enfants.
      Mais la vie est faite de choix.
      C’est pour cela que j’ai changer recemment de statut et de créer ma propre structure pour bénéficier de pkus de temps avec ma famille.

      Répondre
    6. Carnet de voyahe dit :
      23 novembre 2011 à 10 h 58 min

      Je vous félicite pour votre choix de vie car c’est pas forcément évident d’être en perpétuel mouvement et de ne pas rester chez soi en famille. Profitez bien de cette chance de pouvoir voyager et de rencontrer des cultures et des modes de vies différentes des notres.

      Bonne continuation

      Chrissand

      Répondre
    7. Pierre Blog Stratégies Export dit :
      23 novembre 2011 à 12 h 49 min

      Merci Chrissand
      Effectivement, la rencontre des cultures et la decouverte d’autres modele de developpement est mon moteur.
      D’ailleurs, j’ai un nouveau projet ayant pour sujet le developpement des pays tiers par le developpement durable et la ré-industrialisation des bassins d’emplois sinistrés par le chomage en Europe.
      Amicalement

      Répondre
    8. Vincent Aventureo dit :
      26 novembre 2011 à 16 h 33 min

      Je suis pantois devant la dimension voyageur qui se cache derrière votre activité professionnelle, Pierre. On a souvent l’impression que les professionnels de l’export n’ont que peu de temps pour profiter des pays dans lesquels ils échouent. Vous m’apparaissez comme un contre exemple, le mythe change, merci pour votre retour d’expérience et merci à toi Fabrice d’avoir été chercher cette perle rare!
      Bon voyage!

      Répondre
    9. Pierre Blog Stratégies Export dit :
      30 novembre 2011 à 10 h 43 min

      Merci Vincent
      En fait, même si l’on voyage pour affaire, on est quand même présent dans le pays en question, on y vit une journée ou une semaine, mais en costard…
      La différence par rapport à un voyage touristique, c’est le rythme. A partir de là comme on sait que l’on ne profiteras pratiquement de rien, on essai d’apprécier chaque seconde de gagner sur le planning professionnel. Je pense que là est la grande différence, l’accélération de la nécessité de capter et mémoriser les extras.
      J’espère que c’est assez clair 😉

      Répondre
      • Vincent Aventureo dit :
        11 décembre 2011 à 14 h 03 min

        c’est très clair, merci Pierre!
        En tout cas tout une aventure ou un très beau challenge pour les gens peu organisés 🙂

        Répondre
    10. Marjorie / Histoire à Vivre dit :
      16 février 2012 à 14 h 37 min

      Merci à Fabrice et Pierre, dont je suis les blogs, pour cet article.
      Passionnant d’apprendre ce qu’est le métier de professionnel de l’export ! En effet, vu le rythme, mieux vaut être organisé !!
      Génial le fait d’avoir une agence « dédiée » qui règles toute la logistique, ça permet de voyager encore plus léger ! ^^

      Répondre

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