Le syndrome de l’éternel voyageur : une vidéo qui touche !
27J’ai découvert cette vidéo de voyage réalisé par un couple de voyageurs espagnols. Un véritable court-métrage en fait ! De belles images, une narration intéressantes, le film risque bien de vous toucher en plein cœur…
Ce film a été réalisé en espagnol et il est sous-titré en anglais. Avec l’accord de l’auteur, j’ai décidé de le faire traduire en français afin d’en faire profiter le plus grand nombre.
La traduction peut sans doute être améliorée, merci de me signaler les passages qui pourraient être revus. Merci à Laura Osorio pour l’aide !
Je vous laisse regarder le syndrome de l’éternel voyageur, ainsi que le texte en français pour ceux qui ne sont pas à l’aise dans les deux langues du film.
Pour lire la traduction en français, il suffit de télécharger le PDF ci-dessous !
Merci à Ruben et Lucie pour avoir accepté que je traduise le texte en Français. Ils tiennent un (beau ) blog de voyage : http://algoquerecordar.com/
Vous avez aimez la vidéo ?
Merci de partager pour la faire connaître au plus grand nombre :
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Je me suis pas mal retrouvé dans ce qu’elle dit. Pour celui qui a fait un tour du monde ou un long voyage, forcément, il y a des réflexions qui touchent :
- L’envie et le plaisir de ne plus avoir de routine avec le découpage traditionnel de la semaine et ce week-end que tout le monde attend.
- La force du moment présent et cette intensité propre au voyage
- L’envie, parfois, de ne pas revenir sur un lieu qui nous a marqué par peur de perdre la magie de la première fois. A rapprocher de mon dernier billet.
- Un certain sentiment d’être de se retrouver chez soi dans certains lieux. Du moins, l’impression d’être un citoyen du monde.
- Les interrogations au sujet de ce mode de vie , par rapport à la majorité « normale ».
Comme nous sommes dans la réflexion sur le voyage, j’en profite pour vous inviter à lire d’autres articles du blog sur ce thème:
Je trouve que le film a un côté un peu tristounet non ?
J’aime en tout cas la dernière phrase :
« Le syndrome de l’éternel voyageur… C`est une maladie qui peut te sauver la vie… »
Que pensez-vous de cette vidéo voyage et de ce qu’elle dit ?
J’imagine que vous partager certaines de ces impressions…
Elle est très belle cette vidéo. C’est un peu le genre que je rêverais de produire.
C’est super bien écrit et elle décrit vraiment bien les ressentiments des grands voyageurs.
J’avais essayé de décrire ce sentiment du syndrome du voyageur en voyant plus le verre à moitié plein, c’est à dire cette impression de sentir à la maison un peu partout où on va.
Oui, de même, c’est le style de vidéo aussi que j’aimerais faire.
Que penses-tu du ton de la vidéo ? Du message ? Un peu tristounet non?
Un poil triste, mais ça change un peu de ce qu’on a l’habitude de voir aussi donc ça passe bien pour un quart d’heure. 🙂
Hello.
Je partage complètement ton point de vue Pierre, j’ai trouvé les images très belle, un bon niveau de caméra, des lieux biens choisis des beaux moments de vie tout cela bien enchainé avec un texte qui décrit bien nos problématiques du moment, mais par contre je ne partage pas non plus la phrase de fin, on se sent chez nous presque partout, sauf peut être … chez nous !
Salut Pierre, salut Fabrice,
je me permet de m’introduire dans votre conversation,
je ne suis pas fan du film, même si je lui reconnais de grands mérites dont celui de donner lieu à d’intéressantes discussions.
Je ne trouve pas tristounet le contenu, le texte exprime surtout des idées positives, dans l’ensemble. A part à la fin bien sur où Lucie avoue être un peu perdue. C’est surtout le traitement de l’image et l’ambiance sonore qui amènent cette vibe mélancolique.
Je trouve que pendant l’essentiel du docu, il y a un vrai décalage entre ce qu’on lit, et l’ambiance qui se dégage qui n’a aucun rapport. C’est un peu dommage d’ailleurs, de prendre cette pose « chuis vachement sensible » à la Sofia Coppola. C’est très joli, mais personnellement je trouve que ça trahit le propos qui est par contre très sincère.
Lucie ne donne pas de leçon, il n’y a pas vraiment de message, juste l’expression de son sentiment et de ses émotions. Quelque chose de très féminin et de très sensible.
Fallait-il pour autant l’emballer dans un quart d’heure de tons pluvieux et de piano neurasthénique ? Sur un air de polka ça aurait donné autre chose:)
Intéressant ton commentaire Sirhom.
En effet, Lucie a choisi de terminer le film par une note un peu moins gaie donne le ton du film. Et il est vrai que la musique est pour beaucoup dans cette impression de « spleen ».
Tu trouves que la manière dont elle est filmée n’est pas totalement en phase avec ses propos?
Je ne trouve pas perso? Que veux-tu dire?
Oui, je trouve dommage que la note finale teinte le film sur toute la longueur.
S’il y a des hauts et des bas dans le voyage, ce que Lucie dis très bien, c’est dommage de n’en faire ressentir qu’une seule. Je pense que c’est un peu par facilité, et beaucoup céder à une certaine esthétique. Le texte est très simple, très sincère. Je trouve par contre le travail sur l’image très « genre », très maniéré.
Je suis d’accord avec toi, cela fonctionne bien, mais c’est un peu une trahison quant à ce qui est dit.
J’ai l’impression que beaucoup de commentaires négatifs viennent de cette impression que l’ensemble est teinté par cette étrange émotion. On en vient à croire que tout le discours l’est aussi.
Bonjour Fabrice, merci pour cette belle vidéo. Je n’ai pas fait de long voyage (1 mois max) et ne bouge pas assez à mon goût, mais malgré tout je me retrouve dans pas mal de chose. Ce besoin de bouger, le plaisir et l’envie de ne pas avoir de routine. Je me déplume vite, si je reste trop longtemps dans un endroit avec une routine.
La force du moment présent que je retrouve en voyage, mais aussi dans la pratique de sports de montagne.
Merci à toi pour la traduction. J’ai regardé la vidéo, je m’en vais la lire pour voir ce que je n’ai pas compris, ou mal compris.
Hello, franchement je ne trouve pas ce film fabuleux. Il a la qualité d’exister et de témoigner et cela est indiscutable. Je trouve que c’est un point de vue auquel je n’adhère pas complètement. Voyager parce qu’on ne se sent pas bien nul part ou parce qu’on cherche un idéal est une chose courante en effet mais ce n’est vraiment pas le moteur de tous les voyageurs. La curiosité peut être en effet un élément plus important, la soif d’apprendre, de vérifier aussi, des confronter l’image qu’on a appris du monde avec notre propre expérience du monde.
Ce déplacer géographiquement n’est pas la seul façon de voyager. on peut voyager en ayant des expériences nouvelles simplement. De plus, il y existe aussi de nombreuses personnes qui ne voyagent pas et ne se sentent pas heureuses non plus.
Je suis un peu circonspect quant à la superficialité du traitement du sujet. Le voyage est philosophique et spirituel souvent, dans le sens où l’on se rend bien souvent compte au bout d’un moment qu’effectivement ce que l’on cherche c’est soi-même, son propre bonheur, son équilibre, chose qui ne dépend finalement pas vraiment du lieu où l’on est ni des personnes qui nous entourent mais bel et bien une concordances de rencontres dont la plus importante est nous-même.
Personnellement j’ai senti après des années de voyage que je n’avais plus besoin ni envie de cela pour me sentir bien. Mes années de découvertes m’ont permis de faire des choix, qui ne sont pas forcément les plus simples mais qui conviennent, aujourd’hui, c’est à dire à un moment, à la relation que j’ai avec moi-même.
Je pense que quand on se frotte au bonheur d’assumer de vivre, on peut le faire n’importe où, on s’adapte.
La notion de fuite est souvent une image d’Epinal qui charrie aussi les qualificatifs d' »irresponsable » et d' »instable ». Celui qui est vraiment stable sait que cela ne va pas durer, il ne peut donc reprocher à autrui son instabilité. 😉
Parler du voyage comme un syndrome ou une maladie me semble fort peu judicieux, c’est simplement un moment qui n’a de valeur que pour celui qui le vit et parfois pour ceux qui le vivent par procuration.
A bientôt les amis.
Stefan
Salut Stefan,
Je pense que la curiosité fait aussi partie de son envie de voyager. Mais il est vrai que ce n’est pas le thème majeur qui revient le plus souvent dans le film.
Nous voyageons pour différentes raisons et ces raisons changent avec le temps.
« où l’on se rend bien souvent compte au bout d’un moment qu’effectivement ce que l’on cherche c’est soi-même, son propre bonheur, son équilibre, chose qui ne dépend finalement pas vraiment du lieu où l’on est ». Je suis bien d’accord avec toi Stefan. C’est une étape qui arrive souvent au bout d’un certain temps, en général.
Je ne dirais pas que le film est superficiel par contre. Du moins, en comparaison de la grande majorité de la production de vidéos de voyage.
La qualité de ce film, c’est qu’il y a du travaille derrière et que la démarche est intéressante. Il existe peu de vidéos où le voyageur se confit comme cela.
En tout cas, cette discussion est très intéressante, l’intérêt de ce film, c’est d’amener ces questionnements.
« Celui qui est vraiment stable sait que cela ne va pas durer, il ne peut donc reprocher à autrui son instabilité. 😉 »
Voilà une phrase que j’aime beaucoup, merci pour ta participation:-)
Salut Stefan,
tu soulèves une question fort intéressante,
comme tu le dis, ceux qui restent souffrent aussi.
Je ne pense pas qu’il y ait de réelle différence entre le mal du voyageur et la douleur du sédentaire. Le voyageur essaie de tromper le vide, en se mettant dans une situation qui nécessite d’avantage de ses capacités d’adaptation.
Les voyageurs ont l’occasion de se demander comment ces gens de pays plus pauvres peuvent avec évidence être si heureux. Cela ne se passe pas toujours comme ça, mais souvent les grandes exigences de la vie ne laissent pas de place à la morosité. Paradoxalement, dans nos société où tout est déterminé, du matin au soir, de la naissance à la mort, tout est sur des rails, mais on perd le sens des choses. On a le temps et le confort de se poser des questions. Souvent, c’est là que les problèmes commencent. Freud, le père de la psycho moderne a tout construit là dessus : la déprime, c’est une activité de bourgeois.
Certains voyageurs essaient de retrouver une vie plus proche de l’action, à distance « des prises de tête ». En se mettant « en danger » – par rapport à la morne tranquillité du quotidien, ils cherchent une voie vers leur naturelle et vitale animalité. Une voie comme une autre:)
‘Les gens qui sont heureux dans la routine, a passer leur été dans le moment endroit’ … Ce passage porte quand même à réflexion. Sont-ils vraiment heureux ? Savent-ils au moins ce qu’est vraiment d’être heureux ou l’aurait-il carrément oublié, sentiment égaré dans la monotonie de leur train-train quotidien … Si je n’aurais pas eu le déclic du voyage, je ne pense que j’aurais connaitre un jour quelque chose d’aussi fort que lorsque que je prends mon sac à dos et tourne le globe à la recherche du prochain trip, à réfléchir à ce qui va se produire une fois là bas. Et le sentiment sans cesse renouvelé à chaque destination, d’être juste en plénitude, de vivre quelque chose de ‘différent’. Je peux comprendre que cela peut être étranger à de nombreuses personnes comme elle le dit ‘Certains me voient comme un irresponsable’. Peut-être que si ces mêmes personnes se mettaient à voyager, ils comprendraient ce que ca fait …
Savoir si les gens sont heureux n’est pas facile. S’ils le disent eux-mêmes…
Mais en effet, quelqu’un qui n’a jamais été heureux ne sait peut-être pas ce que c’est.
C’est un peu comme lorsque tu découvre la passion amoureuse pour la première fois, tu te dis « ha oui, en fait avant, c’était pas cela… »
Tu soulève un point : « Je trouve que le film a un côté un peu tristounet non ? »
C’est malheureusement presque toujours le cas dans les vidéos de voyage, dont, et le ton, et la musique de fond, laisse penser que la personne est plus proche du suicide que de la joie de vivre.
En l’occurrence, dans cette vidéo précisément, la dernière phrase ne laisse aucun doute quant à la réalité.
C’est voyager ou mourir en gros. Arriver à ce point de dépendance, je ne me risque plus à parler de voyage, mais de fuite. Même si les images sont belles, la fuite est aveugle et irraisonné. Découvrir le monde n’a selon moi aucun sens si le but ultime n’est pas la découverte de soi, la sagesse, le bonheur. Si on prétend être heureux ont l’est partout, et si on l’est partout on parvient aussi à l’être dans l’immobilité, sans quoi on ne le sera nul part, ou on se mentira par des artifices tel que le déplacement continuel, pour ne surtout avoir aucune responsabilité sur les épaules, pour en toutes circonstances, laisser (fuir) les problèmes, et n’emporter que le meilleur, de belles images, retravaillées en proportion du vide qu’elles cachent.
Quand je suis rentré de voyage, je n’avais qu’une envie : repartir. Et je me suis obligé à ne pas bouger tant que j’en ressentais un si fort besoin. Pour une raison très simple : je suis parti pour m’enrichir humainement, non pas pour m’appauvrir. La dépendance est un déséquilibre psychologique qui mène à l’appauvrissement puisqu’elle est par définition la non maîtrise de soi, de ses émotions, la perte de contrôle, la non connaissance de soi.
Cette vidéo est en effet excellente, elle montre exactement les dangers du voyage et les travers dans lesquels le voyage ne doit pas nous mener.
Casser la routine c’est génial, se sentir connecter à l’instant présent c’est encore mieux… Mais il ne faut pas se rendre dépendant de l’outil. C’est comme accrocher un tableau d’artiste au mur et tomber amoureux du marteau sous prétexte qu’il nous a permis d’accrocher le tableau. Le tableau c’est nous même, le voyage n’est que le marteau. Qui aurait idée de faire d’un marteau sa raison d’être !
« toujours le cas dans les vidéos de voyage »; tu y va foire Bertrand, il y a plein de vidéos de voyage super positive !
Tu es abonnés à la chaine « voyageur en déprime »?;-)
Tu voulais peut-être parler de ce type de vidéo de voyage dans laquelle l’auteur parle de son rapport au voyage.
Une chose qui est rare tout de même.
Pour le reste, je suis assez d’accord avec toi, il est vrai que la première fois que je l’ai vu, j’ai pensé aux mots fuite et dépendance.
Chose que l’auteure assume je pense. Bon, il d’ailleurs dommage qu’elle ne puisse répondre ici, n’étant pas francophone.
Cela dit, qui dit découverte, dit fuite dans un certains sens. Ce sont souvent deux mouvements qui sont dépendants l’un de l’autre non?
D’ailleurs, le mot fuite est péjoratif. Or, il y a de bonnes fuites dans le vie.
Là où je te rejoint complètement, c’est qu’il faut éviter d’être dépendant du voyage, ou d’ailleurs de quoi que ce soit dans la vie.
Dans l’idéal. Hum, cela me rappelle des discussions avec des moines bouddhistes en Inde =-)
Merci pour ton commentaire très intéressant !
J’ai aussi l’impression que l’auteur assume et qu’il en a conscience, c’est cela qui m’étonne encore plus : en avoir conscience et insister !
La « fuite » est positive tant qu’elle n’est pas une nécessité selon moi, dans le cas présent ça me semble même être une obligation psychologique.
Une fois j’avais écrit : « Partir pour mieux revenir (ce que tu appelles la découverte) ou partir pour ne pas revenir (ce que j’appelle la fuite, et l’aveuglement !) ». Elle se trouve la frontière. Encore faut-il ne pas se mentir à soi-même !
Mais on est d’accord sur la dépendance.
C’est peut-être en effet une certaine nécessité.
Dans ce cas là, tu sais, tu as deux choix:
– soit tu luttes contre
– soit tu fais avec.
En psychologie, on dit parfois qu’il faut accepter ce genre de choses afin de pouvoir mieux les dépasser par la suite…
Salut Bertrand, re Fabrice,
je suis d’accord avec ton ultime conclusion Fabrice,
si le choix – en grossissant le trait – c’est voyager ou mourir,
voyager reste une option intéressante:)
Si le but comme tu dis Bertrand, c’est de pouvoir être heureux ici et maintenant, cela n’empêche que l’on puisse le chercher ailleurs en attendant de l’atteindre.
La question de la dépendance est assez délicate, parce que truquée à la base. Dire que la dépendance c’est pas bien, ne mène pas bien loin, c’est un peu une tautologie. Le terme dépendance contient par défaut une connotation péjorative, dire que c’est mal c’est se répéter sans rien ajouter. On ne parle pas de dépendance pour les nécessités évidentes. Pas de dépendance à l’oxygène, pas de dépendance à l’eau, etc. Y’en a qui ont essayé d’arrêter…
Si le voyage c’est une bouffée d’oxygène, est-ce vraiment une méchante dépendance ?
D’ailleurs, nous sommes tous dépends de quelque chose ou quelqu’un.
Déjà, nous le sommes des autres, par nature, l’homme est un animal sociale, il ne peut se passer longtemps d’interactions.
Et en effet, ce mot a une connotation péjorative alors que finalement, c’est fort discutable.
Je vois que le sujet t’inspire Sirhom =-)
Oui, c’est clair,
même s’il y a bien quelques cas – forcément isolés – d’ermites totaux,
nous sommes tous passés par la case sociale. C’est la condition de l’humanité.
C’est paradoxal, mais c’est aussi la condition de la libération que certains – dont je suis, même si je ne suis pas un voyageur – cherchent entre autre dans le voyage.
Sans le carcan éducatif, on est pas un « humain ». Avec, on doit souvent apprendre à s’en libérer, lâcher du leste.
Hi everybodody!
Thank you very much Fabrice to translate the script in to French. We really would love to have the video in all the language of the world but unfortunately we don’t have enough knowledge.
Thank you everybody for your comments, positive, negative, likes or dislikes we always love to listen feelings of travelers around the world when all of them saw the movie. Our main focus is to generate a debate about human feelings in connection with traveling. Travelling could be a real travel or a metaphora of life so this short movie is not only for travelers.
One more time thank you to take your time in watching the video and explain your feelings.
love to everybody!
Rubén y Lucy
Hi Rubén y Lucy,
It was a pleasure 🙂
Again, you did a great job !
Hope, maybe, i will met you on the road in the future…
Jolie vidéo, un peu nostalgique… Ça image bien ce que l’on ressent lorsqu’on est de retour en France (pour plus ou moins long terme), et qu’on se remémore ces souvenirs de voyages incroyables, au départ si vifs, qui s’effacent petit à petit à mesure que le temps passe, si bien qu’on a parfois l’impression de ne pas les avoir vraiment vécus !
Beau mais un peu trop bavard.
Bonjour !
j’avais aussi traduit le texte sur mon blog, il m’avait aussi beaucoup plu, beaucoup parlé. Evidemment, nous sommes beaucoup à nous sentir concernés ! En tant que traductrice, c’est toujours un plaisir de traduire des textes comme celui-là !
A bientôt !
Salut Emi !
Tu es traductrice de métier au fait? Français-espagnol?
Vraiment très sympa cette vidéo et merci beaucoup de l’avoir traduite. J’accroche sur beaucoup de points énoncés. Et ça me donne très envie de me lancer réellement dans un voyage au long court… Perdre cette routine dont elle parle, dont attendre le we avec impatience par exemple… 😉